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Carys avait passée une nuit mouvementée. Elle n’avait pas très bien dormie. Elle n’avait fait que pensée à sa mère. C’était comme si elle l’a hantait, la surveillait. Carys avait mal dormie, mais à l’idée qu’elle allait encore réunir deux personnes ensembles par les liens de l’amour, lui remonta le morale. Même si elle était comme au plus bas, elle remontait comme même en selle. Elle était comme cela Carys. Même au plus mal, elle faisait tout pour ne pas que quelqu’un le remarque et elle faisait comme même son travail. Elle se disait qu’aujourd’hui n’allait pas être pas une journée normale, qu’il allait se passée quelque chose de spéciale. C’était vrai, cela n’allait pas être une journée normale, une journée comme elle en a déjà connue. Carys se laissait submergée par les pensées qu’elle appréhendait sur cette journée. Elle se méfiait de ce que la vie allait lui réservée aujourd’hui comme surprise, ce que l’amour allait lui donné comme cas aujourd’hui. Elle ne se serait jamais doutée de ce qu’elle allait avoir aujourd’hui. Si elle aurait sue, elle aurait, à la fois voulue et aussi à la fois non, sortir de son lit ce matin. Carys avançait nonchalamment vers le parc. Même si elle était en bon terme, qu’elle espérait que la journée soit meilleure qu’elle ne le pressentait, elle avait eue une nuit tellement plus dure et atroce qu’elle avançait sans but précis, qu’elle n’avait pas la même mine d’enfant sur les lèvres que l’on pouvait le voir habituellement. Carys se sentait comme une bombe nucléaire. Elle se sentait presque à explosée. Elle avait mal au cœur. Elle avait rêvée de sa maman, de celle que les anges avaient oubliées, tout comme elle, mais qui n’en avait pas eue besoin. C’était comme si les anges, les avaient vus, et avaient décrétés qu’aucunes de ces deux personnes n’avaient besoin qu’ils passent. Carys empoignait les rebords de sa veste. Elle se sentait étrangement mal à l’aise. Elle se sentait tellement mal. Ce n’est pas possible qu’elle se sente comme cela. Elle n’en pouvait vraiment plus, elle avait besoin d’être rassurée pour certaines choses, qu’on lui confirme tout sur sa génitrice. Carys avait besoin de réponses. Elle sentait la journée être totalement différente de toutes les autres journées qu’elle avait déjà passées sur terre. Elle avait besoin de que cette journée se finisse, qu’on soit un autre jour. Carys se sentait mal à l’aise. Elle avait de mauvais pressentiments. Elle sentait qu’elle allait avoir un cas qui va lui donner du fil à retorde. Elle avait envie d’être sereine, d’avoir un cas facile, après la nuit qu’elle venait de passée, mais non, on ne pouvait décidément jamais la laissée tranquille. Carys voulait restée dans son lit, mais sans savoir pourquoi, l’amour, l’avait fait se levée, et même se réveillée de bonne heure. Pas de bonne humeur, mais de bonne heure. Carys soutenait la cause de l’amour, de toujours se levée tôt pour les personnes que l’on aime et se couchée tard aussi, mais elle n’était pas amoureuse d’un être humain, mais juste d’un mot, d’un sentiment. Elle n’avait pas grand-chose d’exceptionnel, alors elle se demandait pourquoi c’était elle qui avait eue le droit à ce don, à la chance de faire de l’amour ce que c’était vraiment il y a quelques années. Au fur et à mesure, l’amour c’est détériorée, elle a perdue l’image qu’elle avait vraiment, Carys était là pour rétablir de l’ordre. Elle n’avait jamais rien demandée en retour, même si plusieurs fois on avait tenté de la remerciée, elle avait refusée en disant que c’était naturel, personne n’avait comprit, il n’y avait qu’elle et l’amour qui comprenait. Maintenant, l’amour la remerciait, d’une manière dont jamais Carys aurait été contente, au moment présent, mais qu’elle remercierait dès le lendemain. L’amour faisait bien des merveilles toute seule, elle n’avait plus besoin de l’aide de Carys, elle pouvait donc reprendre sa « retraite ». Carys ne voulait pas, elle ne voudra jamais. L’amour utilisa alors la manière forte pour al faire arrêtée. L’amour se connaissait bien, comme Carys la connaissait bien. Carys était une humaine qui s’envolait tel un papillon, tel un oiseau. Maintenant qu’elle avait prit son envol, personne ne pourrait l’arrêtée. Elle est une adulte, de 21 ans. Elle avait prit son envol depuis plusieurs années, et même si elle accordait tout son temps à l’amour, elle en avait encore pour elle, même si elle était comme l’amour, elle arrivait comme même à gérée sa vie, sans avoir besoin de son père. Carys n’avait plus parlée à son paternel depuis qu’elle avait quittée la maison. Il avait but, pendant 2 mois, et avait appelé Carys plusieurs fois, mais lorsqu’il se rendit compte qu’elle en reviendra jamais, qu’il n’avait pas d’adresse non plus pour lui parlé, il abandonna et laissa sa fille se débrouillée toute seule, comme elle l’avait fait toute sa vie. Elle n’avait jamais eue réellement de son père, et ce n’était pas maintenant qu’elle en aurait besoin. Jamais elle n’en avait eue besoin, et elle n’en aurait plus jamais besoin. Même si cet homme, qui lui a pourrit une partie de sa vie, était son père, elle se dit que le passé c’est le passé, le présent est le présent, alors comme elle a tournée la page, il fait partie de son passé et plus de son présent. Carys avait un peu du mal à respirée, elle était sûrement tombée malade. Hier, elle n’avait pas vraiment de couche de vêtements sur elle. Carys était une petite fille, mais elle n’avait pas de tout petit cœur, elle en avait un gros et assez fragile en plus. Elle ne le montrait pas, cette fille forte était fragile. Très fragile même. Elle était sensible mais ne le montrait pas. Alors, que tout le monde la croyait forte et résistante comme de la roche, si on faisait plus attention à elle, elle reste toujours une petite enfant, rêvant d’oiseaux et de papillons, d’amour et de justice, fragile et effrayée par la vie. Carys avait peur de la vie, du futur, de tout ce qu’elle allait encore vivre. Elle avait peur, peur de tout. Carys restait comme même elle-même, une petite fille qui a peur de tout, un petit oiseau fragile qui apprenait à volé, ce petit papillon qui venait de sortir de sa carapace qui avait finit sa cristallise et allait  prendre son envol. Elle était tellement belle et jolie, elle avait tellement besoin qu’on l’épaule, mais personne n’était pour le remarqué, pour le sentir. Carys se sentait comme libre, légère. Mal à l’aise mais légère. Elle avait l’impression qu’elle pouvait volée. Elle s’assit sur son banc habituel. Jamais elle ne changeait son banc. Carys sentait le regard de quelqu’un sur elle. C’était peut-être ce qu’elle sentait de mal dans la journée, un regard de trop. Carys tournait le regard. Un petit garçon pleurait et la regardait. Il l’appelait à l’aide. Elle n’avait pas sue résistée, elle alla vers lui et lui fit un quelqu’un. Carys savait ce dont il avait besoin. D’amour. Mais elle n’en avait pas vraiment à lui en donner. Elle n’en avait pas elle-même. Elle avait utilisée toute sa réserve d’amour durant la nuit qu’elle avait passée. Elle savait ce dont il avait besoin, mais elle ne savait pas le lui donné. Il faudra que le petit garçon attende. Mais le petit garçon n’était que le fruit de son illusion. Ce n’était qu’elle, au masculin lorsqu’elle petite. Elle serait bien quelque chose. Le vide. On la regardait bizarrement, mais elle était elle-même. Carys c’était juste faite avoir par son imagination. Elle avait trop crue, elle c’était mal réveillée, et elle voyait des choses qu’elle n’était pas censée voir. La haine. La colère. L’injustice. La guerre. La violence. Son petit monde, venait de se brisé. Sa petit bulle avait explosée. Carys sentait tout le mal qui faisait partie de ce monde. Elle qui ne l’avait jamais sentie, qui n’avait jamais sentie que l’amour. Elle se méprenait à être encore plus mal. Tellement mal, qu’elle remarqua qu’elle serait le vide. Carys se raidit. Elle se mit à courir, dans sa tête. Elle fuyait. Elle fuyait son monde, elle-même. Carys aurait aimée que se soit dans la réalité. Elle aurait aimée se fuir elle-même. Carys se relevait. Elle époussetait ses vêtements, sans aucune raison valable. Carys retourna sur son banc, cachant son visage derrière ses cheveux. Elle ne voulait plus qu’on la regarde, elle voulait devenir invisible. Sa petite bulle venait d’être percée, et elle ne voulait plus être au milieu de tout le monde, au milieu de toutes ses personnes qui pourraient savoir qu’elle n’est pas si forte qu’elle ne le laisse prétendre. Carys sentait quelqu’un s’assoir à côté d’elle. Elle n’avait pas envide parlée ni de voir quelqu’un. Même l’amour, n’était pas au rendez-vous dans sa tête.

Mémoire volatile||e.sDonde viven las historias. Descúbrelo ahora