MY BOY

« Il s'en impregnait »

Le matelas s'affaissait sous nos poids alors que de mon côté, je m'amusais à parsemer le coup laiteux et tentateur de mon partenaire, de baisers humides et chauds. Son souffle était rapide et des soupirs de bien être échappaient de temps à autres de ses lèvres charnues, que je m'étais précédemment amusé à maltraiter dans le sauna.
Il était en dessous de moi, totalement contrôlé par mes caresses et la luxure.

« Eren... dépêche toi, dit-il d'une voix suppliante.

- Chut... répondis-je, lui faisant bien comprendre qu'il devait être patient. »

Après s'être langoureusement embrassé dans le sauna, Livai m'avait demandé d'aller directement chez lui plutôt que de risquer quoi que ce soit dans cet endroit public, nous nous étions habiller et je l'avais suivi sans broncher. J'appris ce soir là qu'il habitait dans l'hôtel, mais ne pus visiter la maisonnette car à peine avais-je poser mon pied dans cet habitacles, qui me semblait chaleureux, qu'il me sauta littéralement dessus tout en m'embrassant fougueusement.

Je nous avais donc emmené jusqu'à sa chambre, qu'il prit tout de même le temps de m'indiquer, et lui avait enlevé son haut de Kimono, une fois allongé sur le lit. Je découvrais ce corps dont j'avais tant rêvé de toucher, bien que celui-ci soit musclé et élancé, il détenait tout de même des courbes tentatrices peu présente chez les hommes et une pilosité presque inexistante, le rendant ainsi encore plus somptueux. Il n'était point efféminé, ni androgyne, il possédait juste une part de féminité qui s'alliaient parfaitement à sa masculinité.

« Je veux que tu deviennes accroc à moi, autant que je le suis pour toi, confiai-je contre sa peau. »

Il frissonna à la confession que je venais de lui faire et remonta lentement ses mains vers ma tête pour me ôter le filet traditionnel qu'il m'avait donné, suivit de mon élastique, laissant ainsi mes longs cheveux bruns cascader sur ma nuques et mes épaules encore vêtu.
Pris d'un certain doute, j'hésitais à lui faire part de cette brutalité dont je pouvais faire preuve lors de mes ébats mais le dit tout de même voulant être à cent pour-cent honnête avec mon fruit défendu.

« Je dois te dire, je suis assez violent au lit mais si tu pr-

- Fais moi ce que tu veux, m'interrompit-il alors qu'il essayait difficilement de reprendre son souffle, si je suis le seul à prendre du plaisir, ça ne sert à rien de faire quoi que ce soit. Mon cœur se réchauffa à ses mots et je continuai mon affaire. »

Deux suçons violacés trônaient sur son coup, je n'en avais jamais fait à Historia trouvant ce type d'action puérile et ridicule, mais pour lui cela me semblait nécessaire. Je pris avec douceur, pour ne pas le brusquer, ses deux deux poignets que je bloquais sur le haut de sa tête. Je lui mordis le coup sauvagement, tel un prédateur qui marquait sa proie afin que personne d'autre ne puisse y goûter, lui provoquant un crie de surprise.
De ma main libre je lui ôtai son bas de Kimono et son caleçon, dans un mouvement commun, et pris d'une violente pulsion, le fit rouler sur moi.

« Retourne toi. Ordonnai-je durement. »

Il suivit docilement mon ordre et un rictus de satisfaction prit place sur mon visage au teint halé, j'avais devant mes yeux son postérieur ferme mais quelques peu potelé et sa verge dressée par l'excitation, je la pris en main et lui fis de long va et viens tout en lui malaxant l'une de ses joues rebondies.

« Suce-moi, demandai-je d'une voix rauque provoquée par le plaisir. »

Il s'exécuta, suçotant dans un premier temps le gland de mon penis bien relevé tout en faisant des bruits de succions exagérées, qui eurent comme conséquence d'augmenter deux fois plus ma libido qui était déjà pourtant à son maximum, il bougea plusieurs fois des hanches pour me faire comprendre qu'il en voulait beaucoup plus. Je lui giflai violemment son fessier tout en guettant ses réactions, ayant peur d'y aller un peu trop fort, cependant après constatation il réagit positivement -bien qu'il ai été surpris- à cette action, gémissant fortement mon nom et m'en demandant même plus.