Spider-Man : At your home

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Depuis l'étrange soirée où j'avais trouvé un cadavre, je n'arrêtais pas de penser à Tyler et à son bras en sang. Le lundi matin, j'avais presque zappé mes amies tellement je n'arrêtais pas de penser à cette histoire. Alors que je marchais dans les couloirs pour me rendre à mon second cours de la matinée et que Betty se remémorait l'étrange soirée, je pensais de nouveau a Tyler. Je tentais, comme je pouvais, de me rappelle du moindre détail de notre rencontré d'hier soir.

Finalement avoir rendez-vous avec lui n'est pas si mal que ça. Je pourrais lui poser des questions discrètement sur ce qu'il avait fait dans la soirée, et ainsi me rassurer sur compte. Tout en pensant l'acceptation son offre, je m'asseyais sur ma chaise. C'est ainsi que mon regard tomba sur Ned qui semblait vouloir attirer mon regard. Je me mets à le regarder tout en fronçant les sourcils en ne comprenant pas ses signes. Il gigota ses mains discrètement avant que ne puisse lire sur ses levés "toilettes hommes". Je compris directement où il voulait en venir. Peter Parker m'y attendait de pied ferme. Je détourne le regarde vers notre professeur qui s'installait à son bureau. Devrais-je aller le voir ? Où rester ici ? Devrais-je essayer de parler avec lui ? Au lieu de lui mettre en une claque ? Je ne réfléchis que quelques secondes avant de lever la main afin de demander à mon professeur si je pouvais sortir allez aux toilettes. Et juste un hochement de tête, et je récupérai mes affaires pour aller en direction des toilettes. Je sors de ma classe, et je m'avance dans les couloirs. En quelques pas, je me retrouve devant les toilettes. J'allais pousser les portes, lorsque j'entendis une voix féminine dernière moi.

« - Qu'est-ce que Michelle Jones va faire dans les toilettes des hommes en plein milieu de la matinée au lieu d'être en cours ? Me dit-elle avant que je de me retourne vers elle.
- Que fait Gwendoline Stacy dans les couloirs en plein milieu de la matinée au lieu d'être en cours ? Lui demande-je dans le même ton qu'elle.
- Je fais ma peste. Me répond-elle au tac qu'au tac.
- C'est vraiment une super activité. Lui répondais-je un peu désespérément.
- Et toi ? Alors ? Me demande-t-elle à nouveau.
- J'enquête.
- Tu enquêtes... Me dit-elle en regardant le vide avant de reposer le regard sur moi. Je pensais que tu avais arrêté.
- Finalement, j'aime bien et arrêter n'était pas une bonne idée. Lui réponds-je. J'ai trop l'action, l'adrénaline pour arrêté. C'est pire qu'une drogue.
- Et du coup, la raison des toilettes pour homme ? M'interroge-t-elle.
- Il y a une super drogue qui m'attend dernier. Lui chuchotais-je.
- Je te souhaite une bonne consommation de celui-ci. Allez à ce soir. Me dit en rigolant avant de partir et de quitter le couloir en tournant à droite. »

J'attends quelques secondes, puis-je pousse la porte. J'entre dans les toilettes, mais pas de Peter en vue. Je m'avance jusqu'aux fonds des toilettes, mais personne. Il se fout de moi ? Non, mais sérieusement pour qui si se prend pour me mettre un lapin. Je me mets tout de même en tousser toutes les portes des WC pour voir s'il n'était pas caché derrière l'une d'entre elles. Tandis que je pousse la dernière porte, j'entends le bruit d'une fenêtre ouvrir derrière moi. J'entends ensuite, deux pieds touchant le sol.

« - Michelle ? L'entendis-je dire derrière moi. Je voulais vérifier que tout allait bien. Tu as trouvé un corps mort, et ce n'est pas anodin. Et je voulais te remercier pour les échantillons. C'est fascinant ce que tu as trouvé.
- Tout va bien. Lui répondais-je en me tournant vers lui. Et je suis content que cela ait pu t'aider. Tu pourrais m'envoyer les résultats d'analyse ? Lui questionnais-je.
- Non, désoler. Me répond-il en baissant la tête.
- Pardon ? Parker, je t'ai aidé et tu dois un service pour ça. Commençais-je à m'énerver contre lui.
- Ce n'est pas contre toi, MJ. Il fit une grimace avant de répondre. Michelle, le problème est ton employeur.
- Et c'est quoi précisément le problème ? Dis-je pour avoir plus d'information.
- Oscorp n'est pas très fiable. On pense qu'il cache un gros truc. Ils surveillent les communications de tous leurs employés dont toi. M'explique-t-il.
- Qui on ? Comment tu peux savoir ça ?
- Avec les lunettes de Stark, on peut faire beaucoup de choses, tu sais. Commence t-il à expliquer. J'ai entendu deux-trois trucs bizarres sur cette entreprise. C'est compliquer à expliquer. Mais ils sont dangereux et... et je t'en supplie... Commence-t-il à me dire en s'approchant de moi. Michelle quitte ton poste, ne retourne pas là-bas, ils sont dangereux et je ne veux pas que quelque chose t'arrive. Me supplie-t-il.
- Peter... Dis-je sans trop savoir quoi lui dire. Je ne peux pas... C'est la meilleure chose qui me soit arrivé après ton départ. Je... Je ne peux pas. Désoler, mais tu ne peux pas me demander ça. Néanmoins, je vais sûrement faire une grosse bêtise.
- Qu'est-ce que tu vas faire qui soit encore plus pire que ne pas quitter ton poste ? Me répond-il agacé que je refuse de l'écoute tout en fessant les cent pas.
- Je vais aller manger avec un mec de l'entreprise... Il se stoppa directement avant de me regarder avec ses gros yeux.
- Pardon ? Me dit-il bloquer dans la même position.
- Je ne vais pas manger avec lui, car il me plaît ! Lui dis-je presque pour m'expliquer. Pourquoi je m'explique ?! On est plus ensemble Peter ! Mais c'est juste que quand tu m'as laissé seul dans le labo après que j'aie trouvé le corps, il est rentré avec du sang sur lui dans le labo. Lui avouais-je. Du coup...
- Du coup, tu vas manger avec un mec, qui en plus avait du sang sur lui ! Me dit-il abasourdit. MJ ! Bon sang ! Qu'est-ce qui me tourne pas round chez toi ? C'est sûrement un single comme tous les mecs de cette entreprise ! Non. Tu n'y vas pas. Non.
- Très drôle Parker. Lui dis-je avec un rire nerveux. Tu n'as rien à dire sur ce que je fais. Je te dis juste ce que je vais faire au cas où. Ton avis m'importe peu.
- Michelle, je veux juste d'aider. Me dit-il. Tu prends des risques, tu ne connais pas cette personne.
- J'ai pris des risques tout comme toi Peter. Lui avouais-je. Tout comme toi. Lui dis-je en m'avançant vers là sortir. Je t'en informe, c'est tout. Et je t'informerai s'il est aussi taré que tu le dis... Bonne journée Parker. Je mis ma main sur la poignée avant de la pousser et de sortir de la pièce. »