Prisonnière [Histoire terminer✔️]

Chapitte 1

Malchance

L'odeur du fromage et de la pizza fraîche flottait dans l'air et la chaleur des fours envoyait des vagues de chaleur dans tout le restaurant pendant que j'attendais que ma commande soit finie. Je ne pouvais pas croire que j'étais réduite à cet état désolé, travaillant mes fesses comme livreuse de pizza. Travailler les nuits de la semaine pour apporter de la nourriture aux gens paresseux, ce travail est vraiment honteux.

"Ana tes deux pizzas peperoni avec sauce légère sont terminées! Tu peux partir maintenant!" Cria Mark, mon manager, alors qu'il me tendait deux boîtes à pizza puis partait crier après quelques cuisiniers.

J'ai poussé un soupir, puis j'ai décollé par la porte dans la froide nuit d'hiver. Le ciel était sombre et la lune était sortie, envoyant des lumière argentées à travers les bâtiments autour de moi.

J'avais si froid que je pouvais voir mon souffle, Dieu merci, j'avais les pizzas pour me garder au chaud.

J'ai mis ma main dans ma poche, j'ai sorti mes clés de voiture et déverrouillé ma vieille Honda en panne. J'ai ensuite mis les pizzas dans un sac isotherme pour les garder au chaud et je me suis dirigé vers la porte côté conducteur.

Il n'y a même pas un an, j'étais secrétaire d'une grande entreprise et vivais dans un bel appartement avec mon petit ami du lycée et qui aller devenir mon futur fiancé. Bien sûr, l'ami de mon père m'a beaucoup aidé en me décrochant ce travaille, mais tout comme mon père pour m'aidé à l'obtenir, il m'a aidé à le perdre. La dette de mon père a bouleversé toutes les choses de ma vie. J'ai été renvoyé de mon travail et mon copain m'a largué. J'ai perdu mon appart et ma fierté.

Maintenant, je suis esclave d'emplois stupides comme celui-ci pour payer sa dette. Depuis que mon père est décédé l'année dernière, toute sa dette m'a été imposée. J'étais la seule famille que le vieil homme avait, et j'étais la seule à pousser sa dette.

Je dois encore payer 780 000 $ de plus, mais avec chaque mois qui passe, elle n'est pas payé, il y a de plus en plus d'intérêts.

Ça pourrait être pire, non? Je pourrais être sans abri. Tout ce dont je dois m'inquiéter maintenant, c'est de savoir où livrer ces pizzas.

Ça ressemble à la chambre 364 de l'hôtel Hilton à quelques pâtés de maisons. Cela devrait être facile. En neuf minutes, j'étais arrivé et je suis entrer dans l'ascenseur en direction du troisième étage.

Les portes se sont ouvertes et j'ai commencé ma recherche de la chambre 364.

"359 ... 360 ... 361 ... 362 ... 363--" marmonnai-je alors qu'un soudain bruit de claquement retenait mon attention. Cela venait de la porte marquée 374. On aurait dit que quelqu'un se disputait dans une langue différente ... le russe peut-être.

Je n'ai pas pu m'empêcher d'écouter ce qui se passait. Quand j'ai mis mon oreille sur la porte pour écouter, elle s'est ouverte. Moi, étant une personne super maladroite bien sûr, je suis tombé dans la pièce en laissant tomber les pizzas et en me ridiculisant.

Je me suis rapidement assise et j'ai remarqué que j'étais entouré d'un groupe d'hommes menaçants avec des armes. Une odeur de fumée de cigare et un léger soupçon de sang flottaient dans l'air. L'odeur même m'a fait mal au ventre. J'ai regardé vers la porte, sur le point de courir vers elle, quand l'un des hommes s'est approché et a fermé la porte. Un froid glacial parcourut ma colonne vertébrale alors que je réalisais enfin à quel point ma situation actuelle était désastreuse. Ces gars-là n'avaient pas l'air du genre à pardonner et à oublier.