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Le mal n'est que la vérité du bien (pas une commande) FICTION de mon imagination

Voila je viens de penser à cela et paf je le met dans mon livre.

TRASH ⚠️ ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR SVP⚠️ AU SUJET DU CHRISTIANISME QUI NE VA PAS PLAIR AUX GENS MAIS C'EST DE LA FICTION JE VOUS LE RAPPEL DONC JE NE VEUX PAS DE COMMENTAIRE DE REVOLTE CONTRE MON HISTOIRE CAR "C PAS VRAI C HORRIBLE" ⚠️ JE VOUS AI PRÉVENU
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Elle a encore frappé.

Une jeune femme, se faisant nommée Flipper (comme les jeux de casino), a encore détruit une église. Elle ne va donc jamais s'arrêter ?

Elle n'a que 20 ans d'après nos sources mais cultive ses idées sombres depuis sa plus tendre jeunesse. Elle dit faire ce qui est juste pour l'humanité, ramener l'humain sur le droit chemin. C'est n'importe quoi ! Elle détruit ce qu'il y a de plus sacré au monde: la maison de Dieu. Dieu, notre Créateur, notre Sauveur, celui qui nous protège du mal et de la tristesse. Celui qui nous surveille avec bienveillance et celui qui nous conduira au Paradis. Notre Père a tous. Sauf elle. Ce n'est que le Diable en personne, la cruauté qui n'a aucun respect envers la vie d'autrui. Quel monstre...

Quelques heures avant la découverte.
Destruction de l'église, 6 juin 1923. 23h16.

Je me dirige avec mes compaires, en cette si belle soirée d'été, vers la maison de la folie.

Il fait chaud, une douce chaleur qui réchauffe les cœurs perdus, les âmes corrompues. Il fait agréable, un petit vent venant bercé les esprits enchaînés aux idées divines, célestes. Je me sens si paisible de pouvoir éliminer la vermine une fois de plus.

Nous entrons dans l'église normalement fermée tout en douceur, sans brusquer l'air qui nous entoure. Ma robe blanche pure accompagnée de sa longue trainée tout aussi blanche se raccorde avec merveille au lieu et les rayons de la lune. Le marbre massif décorant les murs me fait de la peine. Jamais il n'a pu connaître le véritable air de liberté, enfermé dans cet asile de raclures. Je me doit de leur redonner du sens. Mes disciples rentrent eux-aussi, habillés d'une longue robe à capuche noir comme la nuit. Deux d'entre eux transporte notre sacrifice, qui essaye en vain de se défaire de ses liens. C'est un chrétien et comme tout ses frères et sœurs, il doit retrouver le droit chemin.

-Mettons tout en place mes chers disciples.

Ils s'exécutent pendant que moi je reste au début des rangées de bancs. Je me met à chanter des chants de messe pendant que tous se mettaient autour de l'autel et préparaient le sacrifice. Une fois que tout fût prêt, je m'avançai, toujours en chantant. Un de mes élèves s'avança vers moi avec une male ouverte contenant la lame de la délivrance, posée sur un cousin de velours blanc. Je pris l'arme et arrivai devant notre victime, arrêtant doucement de chanter. Une fois fini, je regardai l'homme, terrifié, pleurant silencieusement. Je fis alors mon sourire maternel, ne pouvant m'empêcher de ressentir ce sentiment de maternité envers lui. Je me mis à lui parler avec calme.

-Mon pauvre enfant...si entouré de ses fres et sœurs mais si seul a la fois... délaissé par le Seigneur... à mes yeux tu n'es qu'un pauvre orphelin qui cherche désespérément un sens à la vie et à la mort. Tu sais mon chéri, je suis là, le sens de la vie et de la mort. Sais-tu pourquoi je me fais surnommée Flipper?

L'homme me fit non de la tête, ses iris ayant prit la couleur de la peur. Je pris ses mains ligotées entre les miennes.

-Et bien parce tu sais, la vie est comme un jeu de flipper. La balle représente la vie, les barres représentent notre espérance de vie. Une fois que la balle est lancée, elle ne peut plus s'arrêter. Durant tout son trajet, elle rencontrera des obstacles auxquels elle devra se cogner. Les barres l'empêchent de finir sa course, mais elles ne pourront pas la retenir aussi longtemps. A la fin de son périples, la balle tombera dans le trou, qui représente la mort. Tout s'arrête. Puis tout recommence. Malheureusement, quelque chose est venu déranger tout cela. Sais-tu ce que c'est?

Il me refit non de la tête.

-C'est Dieu. Cette chose stupide que vous avez inventé il y a de cela 1923 ans. Vous vous raccrochez à l'idée qu'après le passage dans le trou, il y a le paradis et l'enfer. Vous avez si tord. Vous êtes si fautifs dès la naissance d'avoir dérangé le cycle de la vie avec cette idéologie qu'il y ait Dieu ainsi que tout ce qui se raccroche avec. Vous vous accrochez tels des sangsues a des choses qui n'ont jamais existées seulement pour donner un éventuel sens au cycle de la vie, alors qu'il n'y en a aucun. Et je vais rectifié tout ça. Ne t'en fais plus, mon petit cœur, tout cela va bientôt se finir pour toi et tu verras, tu vas pouvoir enfin respirer l'air de la délivrance et de la vérité. N'ai plus aucunes craintes.

Je passai avec douceur ma main contre sa joue avant de me mettre en face de la croix, toujours près de l'homme. Mes disciples réagissent et maintiennent l'homme couché. Il se débat mais il ne peut rien faire face à la vérité. Il ne peur rien faire face à la réalité.

Je me remit à chanter mais cet fois ci, des chants valorisant les pouvoirs de Satan et dénigrant tout ce qui se raccroche à Dieu. Je levai petit à petit le poignard au-dessus de son cœur. Mes disciples chantent eux-aussi.

Quand je sentis que le moment était venu, j'abattis en une fraction de seconde la lame dans le cœur de notre sacrifice qui mourut sur le coup. Du sang gicla partout, tâchant la soi-disante pureté de l'église et ma robe. Du cœur, je continu le chemin du couteau pour couper son corps en deux. Le sang coulait à flot, il recouvrait tout l'autel et dégoulinait déjà entre les rangées de bancs. C'etait un spectacle magnifique. Je continuai encore ainsi jusqu.a ce sue j'eu fini de le démembrer complètement. Chaque phalanges, chaque articulations. Sectionnées. Se tête coupée en deux, laissant apercevoir le cerveau de ce fautif.

Nous prenons chacun un membre et nous amusons alors à dessiner sur les murs des messages, des dessins ou tout simplement mettre du sang partout. Un pur plaisir. Détruire Dieu, c'est tout ce qui m'importe. Il n'existe pas, jesus n'existe pas, jamais rien de cela n'a existé. Ça détruit l'humanité, a cause de ce fichu christianisme, il y a eu tellement de mort, de guerre, je me dois donc de leur apprendre une bonne leçon.

Une fois que notre amusement fut fini, et que l'église était pleine de sang, nous nous mettons tous à genoux devant la croix principale, désormais recouverte de rouge et à l'envers, où nous commençons une prière pour informer Dieu que nous lui avons encore détruit sa maison.

-Tu sais Dieu, tu n'as jamais existé. Personne ne croit réellement en toi. Tu as détruit tant d'innocents et tu ose dire que tu es la sagesse incarnée et le bien en personne. Tu n'es qu'un vil escroc. Un menteur. Un traître. Tu es venu germer dans l'esprit des nobles gens et tu leur a fait croire l'histoire du christianisme. Tu n'es qu'un pêcheur à tes propres règles. Mais dis moi, tu as créé l'homme à ton image pas vrai? Comme tu le dis si bien. Nous sommes ton parfait reflet. Ce qui veut dire que tu n'es qu'une ville créature ne pensant qu'à lui et à l'argent, tu n'es qu'un Homme qui se croit au dessus de tout les autres Hommes alors que tu n'es en rien supérieur aux autres. Qu'as tu fais de bien dans l'histoire? Rien. Des guerres et des morts, imposé ta présence dans les esprits de gens heureux. Je te déteste même si tu n'existe pas. Je te hais. C'est pour cela que j'existe. Depuis toute petite je le sais que je suis spéciale. Et j'ai découvert pourquoi. Pour remettre de l'ordre dans ce monde. Compte sur moi pour que, après la mort, les gens sur cette planète trouverons leur véritable fin. A une prochaine fois, pour te détruire encore plus.

Tout le monde se releva et quitta par automatisme la bâtisse.

Retour à l'enquête.

Je tourne encore en rond sur moi-même pour voir encore tout le massacre qui a été fait. Et un message plutôt grand attira mon attention.

-"La pureté n'existe que dans la vérité, la réalité".

Mon dieu...





Recueil Short Story- One Shot (COMMANDES FERMÉE)Where stories live. Discover now