Chapitre 47 - Ethan

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Moi: Tu regrettes? Tu veux qu'on arrête? 

Elle vient de sentir sa première grosse vague de plaisir et de désir, je comprends que ça la secoue. 

Mia: Non, c'est juste que tout ça, c'est nouveau pour moi. 

Moi: On y va pas à pas. Si tu veux qu'on se stoppe, qu'on fasse une pause, ou je ne sais quoi, tu le dis. On est deux dans l'histoire, alors il faut qu'on parle, tu comprends?

Mia: Oui... 

Moi: Tu es sûre que tu veux continuer? 

Mia: Oui. 

Moi: Vraiment certaine? 

Je préfère insister pour être sûr de ne pas la forcer à faire quelque chose qu'elle ne veut pas. D'une main, je l'attire contre moi. 

Mia: A cent pour cent. 

Elle presse sa bouche sur le haut de mon torse, aspire légèrement ma peau et laisse sa langue dériver vers ma pomme d'Adam. De mes deux pouces, je lui soulève le menton et, tandis que j'incline la tête, elle pose les mains sur mes épaules et y prend appui pour se hisser vers mes lèvres. Nous ne sommes qu'à un millimètre. Je soupire, puis écrase ma bouche sur la sienne en toute délicatesse. J'ai trop besoin de la toucher, de la goûter, de la dévorer... Au moment où le bout de ma langue rencontre les lèvres de Mia, celle-ci les ouvre. Elle caresse ma joue et la fièvre s'empare de mon esprit lorsqu'elle se presse encore plus fort contre moi. Est-elle aussi excitée que moi?

Moi: Allez, viens par ici. 

Je lui offre un petit côté charmeur et elle se laisse guider d'un pas léger sur le parquet doré. Elle a enlevé ses escarpins et je la domine à présent d'une bonne tête et demie. Quand je m'allonge en l'entraînant avec moi, elle retrousse sa robe afin de plaquer ses jambes de part et d'autre des miennes. Ses gestes sont peu assurés mais j'apprécie qu'elle suive le mouvement et qu'on découvre les sensations ensemble. 

A califourchon, elle finit de déboutonner le bas de ma chemise et tire sur les pans pour me la retirer. Lentement, elle caresse du bout de ses doigts mes pectoraux, les côtés, les abdominaux qui se contractent sous ses doigts. Mon souffle est court et je me déhanche tandis que de l'index, elle atteint la boucle de sa ceinture. Ses yeux brillent lorsqu'elle m'embrasse de nouveau et je me laisse faire volontiers, dévorant sa bouche et laissant courir mes mains de haut en bas, le long de ses flancs.

Je reprends alors les rennes et remonte la robe de Mia en la tirant délicatement au-dessus de sa tête. Comme je l'avais vu précédemment, elle ne porte pas de soutien-gorge et ses tétons durs se retrouvent qu'à quelques centimètres de mon visage. J'ai le souffle court et je ne parviens pas à détacher mon regard d'elle. Elle est magnifique et elle a les plus jolis mamelons rose pâle que j'aie jamais vus. Je lui jette un petit coup d'œil puis je les touche, les prenant dans mes paumes pour passer mon pouce sur le devant. Un doux gémissement vient récompenser mes effort et je les suce à tour de rôle, les titillant et tournant ma langue sur son auréole jusqu'à ce qu'elle soupire. Je joue à attiser notre désir et j'ai l'impression que je vais exploser. Elle parvient ensuite à détacher ma ceinture, mais ses doigts tremblent tant qu'elle peine à déboutonner la braguette. Sa nervosité me fait rire et je viens vie à sa rescousse en me débarrassant moi-même rapidement de mon pantalon. 

Lorsque je me mets au-dessus et ondule sur elle, elle perçoit la bosse rigide de mon érection sous mon caleçon. Elle a le souffle coupé. Elle ouvre des yeux immenses en découvrant pour la première fois mon énorme érection. C'est exactement la réaction que je souhaitais. En fait, elle est intimidée et ça peut se comprendre. C'est la première fois qu'elle en voit une, et surtout, la mienne.

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