Braquage à l'italienne.

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Les journées passaient et on avait besoins d'argents, rouler toutes la journée trouvez une planque pour dormir et s'arrêter dans des restaurant pour manger nous prenait énormément de thunes. Toutes nos économies y était passé et on avait encore aucun diplôme. Il nous fallait une entrée d'argent rapide et efficace par ce que l'amour c'est bien mais ça rempli pas le frigo, et encore, on avait même pas de frigo, on vivait dans le cabriolet de Justin. Mais malgré tous ça, j'étais folle de lui, je l'aimais plus que tous et ça même si je remarquais que ça présence me tuait autant qu'elle me maintenant en vie.

Il avait eu une idée, c'était fou, complètement fou, comme nous deux, comme notre histoire.

- « Un braquage à l'italienne, efficace et sans bavure »

- « ... »

C'était l'idée de Justin mais maintenant c'était notre idée, notre solution, notre merde. Il m'avait convaincu en me disant que ça serait la seul fois et qu'en plus ça serait à tellement petite échelle que les forces de l'ordre ne poursuivrons même pas l'affaire. Alors ok, j'étais pas très sûr de ça mais, c'était le goût de l'aventure, l'amour du risque, on devait s'en sortir, c'était lui et moi contre le monde.

On y était, c'était le putain de jours j, on s'était rendu dans l'épicerie la plus loin possible.
Mais c'était pas un braquage à l'Italienne c'était un putain de plant suicide.
On est rentré masqué et Justin avait une putain de mitrailleuse pointé sur le front de l'épicier. Je suis pas sûr que c'était une réaction super normal mais le voir comme ça m'excitait, j'avais repris le putain de goût à la vie. C'est à ce moment que l'épicier avait sortit un revolver que je lui avait arraché instinctivement des mains et posé sur sa tempes.
- « Alors comme ça, c'est sur l'amour de ma vie que t'essayes de poser un flingue? »

« ... » *bruit de tire*

A trois reprise, une balle dans la tête. J'avais tuer ce mec, j'avais tuer quelqu'un, un être humain qui avait sûrement une famille et des enfants, et le pire dans tous ça c'était que j'en avait rien a foutre. C'était si il avait tiré sur Justin que je m'en serait réellement voulu.

Effrayé, j'avais jeté l'arme du crime et Justin c'était jeté sur moi les yeux pleins de larmes.

- *voix tremblante* « T'es pas une meurtrière j'te jure magn, c'était un accident, c'était qu'un putain d'accident, on va partir loin d'ici et on va te sortir de la, jsuis désolé magnolia, putain je t'aime »

J'avais pas besoin qu'il me dise tous ça, c'était fou mais je savais ce que je faisait et je savais que j'avais fait ça pour lui.

C'était  pour une putain de misère qu'on avait à fait ça, dans la caisse il y avait même pas 500 billets.

L'amour de ma vie porte ton prénom Όπου ζουν οι ιστορίες. Ανακάλυψε τώρα