chapitre 7

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Chapitre 7
**********nana
J’avais hâte de retrouver ma maison, mon fils mais surtout mon mari. J’avais donc décidé de partir avant ma mère qui avait voulu  aller au grand Magal de Touba ;

Cela fait plusieurs années que je ne me suis pas rendue à ce grand pèlerinage de la ville sainte de Touba, et j’avais tellement envie d’y être… mais ma fille ne supporte pas la chaleur, en plus de cela, je ne voudrai pas risquer que son père m’en veuille à vie si elle tombe malade.

Si j’étais à dakar, j’allais la laisser avec Sahara et partir avec maman… mais bon nana tu n’es pas une célibataire, tu as une famille à gérer…


Pendant toute la durée de mon séjour, je ne parlais avec mon mari que très rarement. Il voulait me laisser profiter de ma famille et de mes sœurs et frère, mais au fond de moi, j’avais constamment cette peur inavouée de le laisser seule avec cette fille…


Mais je devais apprendre à lui faire confiance, il fallait que je sache comment me comporter et surtout il fallait que je lui montre qu’il valait mieux que ça…


On était arrivé vers 23h et quand je suis rentrée  dans la maison, tout l’habitat était plongé dans le noir. Je soupirai de haine et de dépit et croyant que mon mari était surement sorti, je couchai ma fille dans leur chambre avant de donner un doux baiser à mon fils qui dormait à poing fermé. Sahara aussi dormait dans l’autre lit…


Je me préparai à une longue dispute, car connaissant mon mari je savais qu’il était allé quelque part… avec cette fille ? oui il en était bien capable…

Mais quand j’allumai la lampe de notre chambre et le trouvai profondément endormi, j’eu envie de pleurer…. Je deviens folle, je deviens parano et je sais que je suis entrain de perdre la tête…


« nekal nite nana » (ressaisit toi nana)


Je fis doucement et sur la pointe des pieds, je décidai de prendre une longue douche avant de le rejoindre dans notre lit… ah la chaleur de cet endroit m’avait manqué, la chaleur de ce corps qui m’appartenais….

Je me blottis tout doucement contre lui avant de le sentir bouger légèrement et de me soupirer : il est quelle heure ?


- Presque minuit….

Il sursauta avant de me serrer dans ses bras ; J’avais envie de rire, il était tellement fatigué qu’il ne s’était même pas rendu compte de ma présence. Et quand il me serra fort dans ses bras, je compris son besoin et son manque qui était aussi intense que le mien…

On s’endormit ainsi et ce fut un sommeil profond et réparateur….

On se réveilla ensemble dans les bras l’un de l’autre et quand j’ouvris complétement les yeux, je fus fasse aux plus belles prunelles que la terre ait porté…. Il me chuchota : bonjour femme de ma vie…


- Bonjour homme de ma vie…

Il sourit avant de fermer les yeux puis de les rouvrir… ce nouveau tic va me rendre folle un jour, ça je le sais…. Il me caressa doucement la joue avant de paraitre plus sérieux : excuse moi nana… je… j’étais sensée venir vous prendre… je…. Je voulais vous retrouver à l’entrée du péage, pour….

- Rire, mais le chauffeur était avec nous. En plus, le trajet se fait rapidement. Il a été génial Malick…

- Hum… c’était comment à saint louis ? ta mère m’a dit qu’elle est partie à Touba…

- Oui, elle y est allée pour le grand Magal. J’aurai voulu y être mais avec charlotte je….

- Hum… je sais que tu aurais voulu y être… bref tu m’as énormément manqué. Mes nuits étaient vides sans toi, mes journées, étaient fade sans toi, je marchais tel un squelette vivant, et je ne savais même pas ce que je faisais. J’étais perdu dans ce monde si désertique et si rudes sans ma douce femme…. Merci mon Dieu de m’avoir ramené la plus belle à mes yeux…


Je ne pu retenir mon éclat de rire tellement il jouait la comédie… ah ça m’avait manqué…. Il s’approcha doucement de moi et me prit par la taille avant de me caresser les hanches… il déposa ses lèvres sur les miennes et tout doucement, les exploraient avec sa langue….


Il me murmura : ne pars plus tant de temps ok ?

Je hochai la tête en signe de oui avant de me laisser aller à son baiser. C’était tanto doux, tantôt langoureux et je sentis tout mon corps répondre à ses caresses….


Soudain, il se mit sur moi et me fixa….

- Je me suis mis à la boxe avec junior….

J’avais envie de parler de tout sauf de boxe… mais je ne voulais pas paraitre impatiente, car connaissant mon mari, il allait en jouer, il allait tout simplement me faire languir….


- Rire, mon fils fait de la boxe ??? tu ne vas pas le tuer j’espère.

Il éclata de rire avant de plonger ses lèvres sur mon coup. Je sentais la force de son corps parcourir le mien. Je pouvais également sentir son membre durcir de plus en plus….

Je ne pus m’empêcher de caresser ce corps musclé et ses pectoraux qui m’appelaient au secours : merde !!! il était un homme, oui mon mari était un vrai male et j’étais la seule et unique femme qui pouvait en témoigner….


Il m’embrassait le cou, et descendait petit à petit jusqu’à mon ventre. Il insistait sur mon nombril et je me sentais déjà prête à l’accueillir quand soudain, on entendit une petite voix murmurer à la porte : maman….


Karim sursauta en même temps que moi…. Charlotte était au pas de la porte…. J’avais la honte de ma vie, mais en même temps, un peu peur…

Mon mari s’allongea à coté de moi avant que sa fille ne se rende compte de quelque chose et je me levai ajustant ma robe avant de l’accueillir dans mes bras….


Le visage de mon mari était rouge d’excitation mais aussi de surprise…. Je voulais rire, mais je ne pouvais rien faire….


Charlotte se blottit dans mes bras : qu’est ce qu’il y a mon amour ???

- J’ai faim…

- Ou es tata ?

- Dodo…


Karim se pencha vers elle et se coucha sur ma jambe, faisant face à sa fille : qu’est ce qu’il y a bébé ? tu as vraiment faim ????


- Non…

Je souris en même temps que son père et ce dernier la pris dans ses bras avant de la coucher sur sa poitrine… je les regardais. Charlotte avait une vraie connexion avec son père. En réalité, elle était juste fatiguée et surement, elle était réveillée par son frère…


Elle s’endormit comme ça dans les bras de son papa, et je me levai pour prendre une douche avant d’aider mon mari à faire de même. Finalement, elle s’endormit profondément dans notre lit, ce même lit ou j’avais envie que mon mari me défonce il y a quelques minutes ….


Cependant, on devait aller au bureau ensemble. Evidemment, j’étais actionnaire dans cette entreprise et mon mari m’avait déjà emménagé un bureau. Il fallait que j’y sois surtout qu’il fallait que je sois présente pour régler ce problème de justice avec mor talla…


Il y avait aussi cette tâche, cette plaie de Mami. Pff j’avais juste envie de rester au fond de mon lit et de laisser mon homme gérer tout cela, mais il fallait que je me grouille… oui, il fallait que je voie comment cette femme va se comporter avec mon mari.


Je voulais m’habiller très simple mais je n’avais pas de vêtement simple. Rire. Et pour ne pas irriter Karim, je décidai de mettre un pantalon cachemire et une veste assortie avec mes chaussures mini talon hautes… j’avais toujours les cheveux en bataille et je décidai des les laisser tomber avec un peu de broching.

Bien sûr, mon mari avait déjà fini et m’attendais au salon. Mais quand j’entre dans la pièce, il me regarda de haut en bas avant de se lever et de me devancer.


Je dis au revoir à mes enfants, donne des instructions à ma sœur avant de le rejoindre. Une fois bien installé il se tourna vers moi avant de sourire : tu es sûr que tu veux y aller ?


- Oui… allons y….

Je connaissais ce sourire, et je peux vous assurer qu’il était largement plus détendu que moi.

En réalité, on avait une réunion générale avec tous les membres de l’entreprise. Tout le monde devait y assister, mois y compris.

Les locaux de l’entreprise avaient changé… l’immeuble était devenu plus belle et très bien décoré… j’avais l’impression d’être dans un endroit étranger et pourtant c’était notre patrimoine qu’il y avait ici…


Karim parlait de tout et de rien et on décida de prendre l'ascenseur … les locaux étaient au 6e étage et une fois dans l’ascenseur, il appuya sur le chiffre 6 et se mit face à moi.

- Tu es nerveuse ?

- Moi ??? rire non…

- Tant mieux alors, sinon je peux bien te détendre tu sais…


Il s’approchai de moi en souriant ….
- Karim Gueye, éloigne-toi de moi, mon rouge à lèvre…k….

Il ne m’écoutait pas, il déposa son sac par terre et m’attira par la taille. J’avais voulu me détacher de lui mais tout mon corps le réclamait. Cet homme risque de me tuer un jour pensais je en répondant à son baiser….

A bout de souffle, il se détacha un peu avant de me murmurer : on n’a jamais fait l’amour dans un ascenseur  ???


J’allais répondre quand la porte s’ouvrit… il se détacha doucement et me chuchota : allez viens… et met de l’ordre dans tes cheveux…

J’avais l’impression qu’il voulait me rendre folle. Même si je n’avais plus de rouge à lèvre, je me sentais plus détendu et plus calme. Mon mari avait le sens du banditisme, et ce derrière, ces fesses que son pantalon mettais en évidence n’arrangeait pas les choses…


On était un peu en retard pour la réunion et une fois dans cette grande pièce, tous les yeux étaient braqués sur nous. J’étais derrière mon mari qui une fois installé, me demanda de faire de même à coté de lui. A partir de cet instant-là, c’est un autre Karim que je vis. Un homme dur en affaire, irrité mais surtout très inquiet de l’avenir de cette société.

Je m’étais rendue compte de tous les efforts qu’il fournissait pour rendre nos vies plus belles. Je voyais tout ce qu’il s’appliquait à faire pour rendre notre société prospère. Pendant que je me prélassais à la maison, lui était entre ces sociétés et faisait tout pour ne pas qu’il sombre. Et aujourd’hui, cet hypocrite vaut rien et connard veut le faire couler… je savais qu’il n’allait pas l’accepter, et j’allais tout faire pour l’y aider…


Je regardais ces employés un à un. Mme sall elle, je la connaissais un peu. J’avais l’occasion de parler avec elle au téléphone et parfois en appel vidéo avec son mari… a part elle, je ne connaissais pas les personnes qui étaient autour de cette table…


Il y avait aussi une jeune fille, qui parait il était la réceptionniste. Elle était belle, calme, mais surtout, elle avait l’air inquiète tracassée… qu’est ce qu’il lui arrive à cette fille ??? bref, je détournai mon regard d’elle pour faire face à l’homme en face de moi : calme, posée, serein et surtout très  sur de lui… à coté de lui, une autre femme, d’Age mur, une vraie dame, elle a l’air professionnelle.

Mais ce que je n’arrive pas vraiment à comprendre, c’est pourquoi mon mari n’a pas remarqué cette gêne que cette réceptionniste a.


Quand elle remarque mon regard sur elle, elle me fixa quelques secondes avant de baisser la tête. Je soupirai avant de reconcentrer mes efforts sur le speech de mon mari. Rire, qui pourrai croire que cet homme, il y a quelques minutes avait faillit me faire l’amour dans l’ascenseur…


J’étais  en plein dans son speech quand la porte s’ouvrit sur celle que j’avais oublié : Mami love rire…

- Bonjour à tous, excusez-moi pour mon retard… bonjour Karim, j’étais passé au tribunal pour insérer le dossier avant de venir. Vous connaissez les tribunaux de dakar…

- Bien sur Mami, merci pour ton aide. Tu peux t’assoir s’il te plait.


Elle acquiesça avant de se mettre à l’autre coté de mon mari. Je l’observais. Elle avait plus tôt changé. Plus professionnel, plus sereine et plus mature ; Elle n’avait plus ses extensions de cil, ni ses longs ongles qui pouvait griffer un lion… elle était bien habillée, très classe et soudain, j’eu cette petite affliction au fond de mon cœur. En fait elle était exactement le style de mon mari actuellement…


Karim : nana Mami est là pour nous aider avec le cas mor talla. Pendant ce temps-là, avec l’administration, il va falloir qu’on essaie de remonter la pente un peu et de trouver un nouveau moyen de se relever. Sinon on risque la faillite sure. Avec Mme sall on va voir comment faire pour que vous travaillez ensemble…


- Ok Karim, mais je ne voudrais pas déranger Mme sall vu qu’elle a trop à faire avec la nouvelle acquisition. Je préfère travailler avec mbene, dans son bureau. Elle a la meilleure vue de toute la société et avec ce qui viens de se passer, elle aura besoin d’aide…

Je vis mon mari froncer les sourcils, mais ne dis rien. Il comprendra pourquoi j’ai fait une chose pareille.


Mami quant à elle n’avait plus rien dit. Et à la fin de la réunion, tout le monde sortit sauf elle, moi et mon mari.
Karim attendit que la dernière personne sorte pour faire une grande inspiration avant de commencer : je sais ce qu’il s’est passé entre nous trois dans le passé, mais je vous en conjure, nous sommes là pour régler un problème. Nana Mami est actuellement une prestataire de l’entreprise et toi tu es une actionnaire. Donc essayons de travailler dans le calme et la sérénité est-ce possible ?


Mami acquiesça : oui Karim, je suis là pour travailler…

Il se tourna vers moi un mini sourire aux lèvres : bébé…


- Rire, ok t’en fais pas… je vais regagner le bureau de la réceptionniste et vous laisser ….
Il m’interrompit : non attend… (il se tourna vers Mami) merci Mami on se parle demain. J’espère qu’on aura gain de cause.

- Je l’espère aussi. Au revoir…

Je ne pouvais rien déchiffrer dans le regard de cette femme mais je gardais mon sang froid légendaire. Une fois sortie, Karim se leva, ferma la porte derrière elle avant de se mettre en face de moi, assis sur la table : qu’est ce que tu fais avec mbene ?


- J’ai besoin de savoir quelque chose… elle est bizarre

- Oui elle est bizarre car je l’ai surpris à vouloir donner notre adresse alors qu’elle ne savait pas que j’étais le patron.

- Ce n’est pas ça bébé, il y a quelque chose d’autre. Elle en sait plus qu’on en pense…


Il fronça les sourcils avant de me tendre la main. Je le pris aussitôt et me retrouvai directement dans ses bras : ma douce, je ne veux pas que tu joue les inspectrices. Mor talla est un homme dangereux il parait et je ne voudrais pas que tu te retrouve lésée dans cette histoire  ok ? reste tranquille…


Je souris à mon tour avant de lui caresser la barbe : ne t’en fais pas mon cœur…


Il captura mes lèvres avant de me prendre dans ses bras. Je savais ce que cela impliquait de vouloir l’aider dans ce qu’il appelait la traque au détourneur. Mais j’avais vu en cette mbene quelque chose de bizarre. Je ne voulais pas me faire d’illusion, mais je sentais qu’elle cachait quelque chose. Pour l’instant, je compte la suivre, être avec elle et mieux l’observer.


Karim me chuchota : j’ai envie de toi…


- Karim….

Il descendit de la table sur lequel il était assis avant de me prendre la main et de me diriger vers une autre porte, contigu à son bureau. J’eu la surprise de ma vie : un canapé français ??? Abdou Karim tu es sérieux la ????


Il sourit avant de me prendre par la taille, oui suis sérieux… un canapé français, comme à Oklahoma city… pratique pour faire l’amour au bureau…

J’écarquillai les yeux de surprise mais je n’eus pas le temps d’avoir une autre réaction qu’il me souleva et me mit sur le canapé. Je n’avais rien compris, tout ce que j’assimilai à cet instant précis était l’envie, la frustration qu’il y avait en moi et dans mon corps en entier….


Il dégrafa mon chemisier, qu’il enleva automatiquement et sans aucun effort, s’en suivit mon pantalon. J’étais maintenant en sous vêtement, lingerie blanche comme j’aimais en porter….


Il se leva et se mit à me regarder. Ce regard en disait long sur tout ce qu’il avait envie de me faire et je me retrouvai comme d’habitude,  toujours aussi désirable que jamais…


Il me murmura : faire l’amour au bureau… on l’a déjà fait non ???


- Rire oui… plusieurs fois…

- Il déboutonnait sa chemise doucement, me faisant voir ses muscles qui se développait chaque jour encore plus…. Et oui, je me souviens, la boxe… à l’idée d’imaginer mon mari faire de la boxe, ce sport si viril et si HOMME me fit me sentir toute chose. Mon excitation en augmenta d’avantage et je ne pu m’empêcher de fermer les yeux….


Quand je les rouvris, il était tout nu…. Deux longues semaines que je n’ai pas vu ce corps… deux longues semaines et il avait un peu changé… il avait pris du poids…. Que dis… je ?  il avait pris des muscles et cela me ravivait comme jamais….


Il faisait exprès de me laisser examiner son corps… il savait qu’il était beau, il savait l’effet que cela me faisait…. Il sourit en même temps avant de se pencher doucement, les deux mains sur le canapé et de me donner un doux baiser sur le front….

Au lieu de se mettre sur moi, il s’assit sur le canapé et souleva mes deux jambes… je ne comprenais pas ce qu’il voulait faire jusqu’au moment ou je sentis ses deux doigts s’enfoncer en moi… il me doigtait, me fixant profondément mais aussi rétrécissant un peu ses yeux, me montrant le degré de son excitation….


Je commençais à perdre la tête et lui s’enfonçait de plus en plus… il aimait me faire ça, mais aussi, il savait que s’il se mettait à me lécher tout de suite, mes cris allaient alerter tout l’immeuble…. Merde-nous sommes vraiment fou de faire ça….


J’en pouvais plus, je n’arrivai plus à tenir sur place… et connaissant son besoin de me faire languir et de tester mes limites, je me détachai brusquement et me leva pour lui faire face. Son sourire confirma mes doutes, et sans hésiter, je m’assis sur lui a califourchon avant de prendre son membre et de l’enfoncer en moi. Il était dur, sec, et surtout très très…. Gros… je n’en revenais pas. Non, je ne suis jamais habitué à lui…


J’étais humide mais je le sentais étroit en moi… il ne faisait aucun geste et je me chargeais tout simplement de lui faire l’amour…. Je montais et descendais d’un geste lent… mais contrôlé. Car oui je voulais marcher après… mais connaissant mon mari, il n’avait pas tardé à montrer son impatience… il s’agrippa à mes fesses et commençait à me donner des coups de reins… c’était tout sauf calme rire, et même si ça me faisait un peu mal, mon excitation prenais le dessus sur tout. J’étais folle… oui on était fou de faire l’amour dans cette pièce, mais en s’en foutait royalement. 


Je gémissais, retenant mes cris d’excitation pendant que lui me faisait l’amour comme si sa vie en dépendant… je ne tardait pas à jouir profondément, mais lui n’arrivait toujours pas… je commençait à fatiguer, je commençais à tomber mais soudain, un violent coup de rein me montra qu’il tombait en moi. ; raide mais aussi très bruyant… oui  il avait presque crié mon nom et je peux vous assurer que Mme sall nous avait entendu….


On était fatigué et on s’allongea ensemble sur ce canapé confortable… il me caressai les cheveux alors qu’on était toujours nu… je lui chuchotai : on est deux vrais tordus tu sais ;


Il sourit : si je ne t’avais pas fait l’amour ici, mon excitation de la journée allait sans nul doute se faire voir… donc c’était un mal pour un bien…


J’éclatai de rire avant de remarquer qu’il me fixait : quoi ???


- Tu as aimé ???

- J’ai adoré…

- Je t’aime nana… tu le sais ???

- Rire oui je le sais et moi aussi je t’aime….

Je le sentais se durcir de nouveau mais je me levai brusquement. On n’est ni à la maison, ni autre part et je ne pouvais pas le laisser me faire l’amour toute la journée alors qu’on est sensé travailler. Mais a peine levée qu’il me plaqua au mur. Il était derrière moi et son membre me caressais les fesses. Il me murmura : tu me fuis ???

- Rire non mais…

Je n’eu pas le temps de terminer ma phrase qu’il souleva ma jambe et s’enfonça en moi… wow !!!! il était  pragmatique, fou malade… mais j’étais aussi folle que lui car quelques secondes plus tard, ses coups doux et sensuels me faisait hurler de plaisir… il ondulait en moi, tel un serpent et je ne pu m’empêcher d’avoir un orgasme… il m’attrapa de justesse avant que je ne tombe et à son tour, il jouit en moi profondément, une nouvelle fois, quelques minutes seulement après le deuxième round….


Je crois que je vais prendre la décision de rester à la maison de m’éloigner de lui et de ce bureau un bonne fois…. Pensais-je en gloussant de satisfaction….


A suivre.

nana et karim tome 2Where stories live. Discover now