Chapitre 32.

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Je me sentais légère et libre. Mais je n'étais pas capable d'ouvrir les yeux et de bouger mon corps. J'avais l'impression d'être de retour dans mon cauchemar, la dernière chose que je me rappel c'est d'Alekseï en train de verser une larme et je m'enfonçais des ténèbres. Je sens une présence près de moi, j'arrive à entendre des murmures et même des mots mais cela semble tellement loin de moi.

***

L'attente de voir Alexia m'étais pénible, je voulais m'assurer qu'elle allait bien, qu'elle était hors danger et que notre enfant aussi. J'ai été estomaquer par la révélation de Zaina. Comment je n'ai pu remarquer qu'elle avait pris de forme au bal masqué. J'étais tellement obnubiler par elle que je n'ai même pas remarquer son ventre légèrement arrondie. L'important c'est que ma femme était sortie de chirurgie, je n'avais toujours aucune nouvelle de mon frère. Je me disais qu'au moins deux des trois étaient hors danger. Lorsque le médecin est venu me voir pour m'annoncer la nouvelle j'était soulagé. J'étais assis dans la salle d'attente, en espérant qu'elles s'en sortent. Je ne pouvais penser à  perdre les deux personnes que j'aimais le plus au monde et j'attendais pour savoir si mon frère allait s'en sortir. Je me sentais terriblement mal d'avoir agit comme je les fais avec lui jadis.

Khris et Juliette sont rester à mes côtés depuis qu'leurs admission. Juliette n'a pas quitté une seule fois les bras de mon amis et je dois avouer les envier en ce moment. Ma femme me manque terriblement. J'ai demandé à Khris s'il pouvait appeler Arkadi et lui donner les détails et les ordres à effectuer en attendant que Khris revienne et prend  les reines jusqu'à temps que je revienne à mon tour. Je lui est expliquer que je me retirais le temps de la convalescence d'Alexia et qu'il devait impérativement prendre les reines jusqu'à mon retour. Il pouvait très bien rester ici à New-York pour gérer l'organisation. Tout ce qui m'importait pour l'heure était ma femme, ma fille et mon frère. 


Cela fessait maintenant une semaine qu'ils étaient à l'hôpital. Lorsque mon frère est sortie de la salle d'opération, le médecin m'a informé qu'il était paralyser des deux jambes. Qu'ils ne savaient pas encore s'il pourrait remarcher un jour. Lorsqu'il s'est pris la balle pour ma femme en lui servant de bouclier, celle-ci c'est loger près de sa colonne vertébrale et à toucher plusieurs nerfs important. J'était tout de même content qu'il soit vivant, je lui en devais une d'avoir protéger ma femme au péril de sa propre vie. Le médecin m'a expliquer qu'il l'avaient plonger dans un coma artificiel, le temps que son corps récupère de l'opération et qu'il puisse se reposer ainsi. Depuis une semaine, ma femme et mon frère étaient dans le coma et je ne savais plus ou donner de la tête. Je passais mon temps entre la chambre de ma femme et celle de mon frère, j'avais demander au infirmière si nous pouvions faire transférer mon frère prés de la chambre de ma femme, pour me facilité la tâches. Par chance, une chambre près de celle d'Alexia était libre et Sasha y avait été installer. 

J'espérais qu'elle se réveille le plus vite possible. Le médecin en charge de ma femme, m'avait expliquer qu'elle se réveillerait lorsqu'elle serait prête. Il ne fallait pas la brusquer ni la bouger pour le moment. Je ne dormais quasiment plus, je veillais ma femme sans arrêt. Juliette venait lui rendre visite ainsi que son père avec Khris. Celui-ci se débrouillait parfaitement en mon absence, j'étais très surpris. 

-Alexia, moya lyubov'(mon amour) Pozhaluysta, prosnis'. Nam tak mnogo nuzhno skazat' nam. Nasha doch' delayet zamechatel'nuyu rabotu. YA ne mog mechtat' bol'she o svoyey krasote. Ty napolnyayesh' menya radost'yu, no ya skuchayu po tebe. Prosnis', dorogaya. Ty mne nuzhen (S'il te plait réveille toi. Nous avons tant de chose à nous dire. Notre fille va merveilleusement bien. Je n'aurais pu rêver mieux ma belle. Tu me combles de joie, mais tu me manques. Réveille toi ma chérie. J'ai besoin de toi.) Je t'aime Lexy. Ne m'abandonne pas je t'en pris.

***

Je sentais une présence près de moi, je me sentais en sécurité. Je ne sais pas ou j'étais mais une chose était sur je n'étais pas dans le monde réel. J'avais l'impression d'être endormie, j'essayais d'ouvrir mes yeux et de bouger mais je n'y arrivais pas. J'attendais quelques mots qui réussissaient à me parvenir mais c'est comme si j'étais à des lumières de l'endroit que j'étais. Je ne sais pas combien de temps cela fait que j'ai sombrer, je ne sais même pas ou je me trouve. Tout est tellement flou et semble irréel. Je ne sais même pas si Alekseï se porte bien ni même ma fille ou alors Sacha. 

J'essaie du mieux que je peu de me réveiller mais cela semble être peine perdu. Est-ce que je vais rester dans cette phase pour le reste de ma vie ? Il y a tellement de questions qui se bouscule dans ma tête. 

-Prosnis', dorogaya. Ty mne nuzhen  Réveille toi ma chérie. J'ai besoin de toi.) Je t'aime Lexy. Ne m'abandonne pas je t'en pris. Dit une voix lointaine qui ressemble à Aleksei sanglotant.

J'essaie, mais je n'y arrive pas. Alors que je m'apprêtais à abandonner, je  me suis retrouver dans un endroit lumineux, comme si c'était un rêve ou le paradis, je l'ignore. Je marchais vers un endroit inconnue, lorsque j'entendis une voix. Une voix grave qui m'étais familière, une voix d'homme que j'ai appris à connaître l'espace d'un instant. Je regardais autour de moi sans arrêt, lorsqu'une silhouette est apparue devant moi. Un homme s'approchait de moi tranquillement ainsi qu'une femme. Je pouvais reconnaître l'homme mais aucunement la femme.  

-Alexia, tu ne devrais pas être ici, tu devrais être avec Alekseï. Il faut que tu te réveilles ma fille, tu ne peu rester dans ce monde pour l'éternité. Ton heure n'est pas encore venue, tu n'as pas assez vécu ma fille chérie. Nous n'avons pas asser de temps pour tout t'expliquer mais sache que Alekseï t'aime terriblement comme j'aimais ta mère. Dit-il en se tournant vers la femme qui était à c'est coté. YA lyublyu tebya, moya doch'. YA blagodaryu Nebesa za vozmozhnost' vstretit'sya s vami. YA khochu, chtoby vy pozabotilis' o sebe i svoyey sem'ye, ne bespokoyas' ob otdykhe. Ty zasluzhivayesh' schast'ya v rukakh svoyego muzha. Odnazhdy ty vse poymesh', teper' prishlo vremya razbudit' moyu doroguyu doch'.(Je t'aime ma fille. Je remercie le ciel d'avoir eu la chance de te rencontrer. Je veux que tu prenne soin de toi et de ta famille sans te soucie du reste. Tu mérites d'être heureuse au bras de ton mari. Un jour tu comprendras tout, maintenant il est l'heure pour toi de te réveiller ma fille chérie.)

-La mia bambina. Mi dispiace di non aver avuto la possibilità di incontrarti prima. Volevo tanto averti e amarti. Sappi che ti proteggo dal momento in cui ti ho lasciato. Sei stato il mio più grande successo, mia figlia. Ti amavo dal momento in cui ero tra le mie braccia. Ma ho dovuto proteggerti e ho pensato che avrei fatto del mio meglio, ma il destino è buono per me. Ma sono felice che tu abbia una famiglia meravigliosa che ti ha amato tanto quanto abbiamo amato te e tuo padre. Ma adesso è importante che torni da tuo marito e che tu mi svegli il mio amore. Ci rivedremo un giorno non aver paura ma non hai finito di vivere la tua vita.  (Ma petite fille. Je regrette de ne pas avoir eu la chance de te rencontrer avant. Je voulais tellement t'avoir et te chérir. Saches que j'ai veiller sur toi dès l'instant où je t'es quitté. Tu as été ma plus grande réusite ma fille. Je t'ai aimer dès l'instant ou je t'es eu dans mes bras. Mais je devais te protéger et je croyais faire de mon mieux mais le destin c'est bien jouer de moi. Par contre je suis heureuse que tu ai eu une merveilleuse famille qui t'aimais autant que nous t'aimions ton père et moi. Mais maintenant il est important que tu retourne au près de ton mari et que tu te réveille mon amour. Nous allons nous retrouver un jour n'ai crainte mais tu n'as pas fini de vivre ta vie.)Dit-elle en me touchant la joue

-N'oublie pas ma fille, nous serons toujours présent dans ton coeur. Ils est maintenant tant comme ta mère la dit que tu te réveilles. Ta fille se porte à merveille, profites de tout ces merveilleux moment. Nous t'aimons et nous allons nous revoir un jour. Dit-il en prenant la main de ma mère et en reculant.

Je me sens partir par l'arrière comme si on me poussais. J'ai un sentiment étrange comme si maintenant j'étais capable de bouger et d'ouvrir les yeux. J'essaie de nouveau, comme si j'allais y arriver cette fois-si et j'y arrive. Je me réveille tranquillement. Est-ce que je viens de rêver à mes parents ? Où suis-je? En me posant tout pleins de question et en regardant par tout. Je sens une pression sur ma main gauche. Je tourne la tête et je vois Alekseï, sa tête repose sur ma main qu'il sert dans la sienne. 

-Alekseï. Dis-je en ayant de la difficulté à parler. 


Mensonge Et Désir (Terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant