Chapitre 33

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PDV Juan

Je me réveille encore énervé de la veille, j'ai la tête dans le cul, il n'y a q'un bon café qui pourra me réveiller entièrement. Je descends alors dans la cuisine, j'y retrouve Antonio tout aussi réveillé que moi. Après quelque minutes de silence, il se mets à parlé.

- Tu sais où est Cameron ?

- Non. Répondis-je sèchement.

J'ai pas la tête à parlé d'elle dès le matin.

- Qu'est ce qu'il y a ? Demande-il durement.

- Rien ne prononce plus le nom de cette chienne c'est tout. Crache-je sans même le regarder.

- Il s'est passé quoi hier après votre dispute dans la cuisine ?

- Ferme la j'ai pas envie d'en parler !

Il se tue pendant quelques minutes, on aurait pu en rester la mais il l'avait décidé autrement.

- Juan ?

- Hummm...

- Qu'est ce que tu lui as fais ?

- Je t'ai dis quoi ! Arrête de parler d'elle putain !

- Non, Juan j'arrêterais pas tant que tu ne m'auras pas dis ce qu'il s'est passée après que tu l'es emmené en la tirant comme un chien.

- Mais c'est ce qu'elle est une putain de chienne qui veut baiser avec tout mes potes !

- Le problème c'est qu'elle te repousse ou qu'elle ai voulu couché avec un de tes potes et pas avec toi ?

- Mais non je m'en bas les couilles d'elle putain mais elle veut se taper nos potes pour leur mettre à l'envers. Tu devrais ouvrir les yeux et arrêter de la défendre un peu et voir qu'elle n'est qu'une meuf qui profite des autres.

- Si tu la séquestrais pas elle ne profiterais pas de toi boufon ! Réfléchis un peu, Juan elle est enfermée ici depuis un mois et maintenant qu'elle est a peu près libre pourquoi elle ne profiterais pas de la vie qu'on lui offre ?

- C'est pas une raison pour vouloir coucher avec mes potes putain !

- Et alors y'a quoi de mal ? T'es jaloux en faite c'est ça hein ?

- Non je suis pas jaloux, merde tu fais chier !

- Alors explique moi pourquoi tu réagis comme ça ?

Je me tue pendant de longues minutes en le fixant droit dans les yeux. Je cherchais un truc à lui dire pour qu'il arrête de me les briser avec cette meuf.

- Te fatigue pas à te trouver une excuse, un prétexte pour me faire croire que tu n'es pas attiré par elle. Dit-il soudainement.

- Qu'est ce qui te fais dire ça ? Demandais-je soucieux.

- Hier par exemple, elle était belle, magnifique même, tu as voulu la garder pour toi. Quand ton pote a été lui parler dans le jardin, tu la embrouillé elle pour brouiller les soupçons des gars sur tes sentiments et tu est jaloux dès qu'un mec s'approche de trop près d'elle.

- Bah oui parlons des mec qui s'approche d'elle, hein Antonio ! Ça ne te dérange pas de te coller a elle pour lui donner une simple clope.

- Tu vois même de moi tu es jaloux !

- Ah ouais et pourquoi je serais jaloux de toi ?

- Car je peux la toucher elle m'est accessible alors qu'elle ne veut pas s'approcher de toi de trop près. Et tu sais pourquoi ?

Too badOù les histoires vivent. Découvrez maintenant