Chapitre 24 : L'Appel

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Une fois arrivée, j'entre me sécher, je pense que Kael est aussi partis se changer car il n'est pas encore arrivé. Je dois m'habiller et bizarrement, j'ai de la difficulté à choisir. Comme si toute ma garde-robe n'était pas adéquate. Trop décolté, trop court, trop transparent, trop chaud, trop terne ou trop vif. Je finis par me trouver quelque chose de neutre et me regarde dans le mirroir... c'est plus fort que moi, des images me reviennent en tête et je m'écroule au sol en pleurant.

Après un instant je me ressaisie un peu, mais je sent que la moindre pensée va me tourmenter et je recommencerai à pleurer de plus belle

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Après un instant je me ressaisie un peu, mais je sent que la moindre pensée va me tourmenter et je recommencerai à pleurer de plus belle. Ma mère a appris pour sa fille Auralie à l'hôpital, je l'entendais pleurer plus tôt. Je la trouve courageuse de recevoir en signe de remerciement aujourd'hui. Comme je perd le contrôle à nouveau, on cogne à la porte. 

- Oui ?

- C'est moi Magui ! ouvre moi, je t'en supplie. je t'ai entendu pleurer.

Je me résigne à me lever et lui ouvrir la porte. La tête basse, je me refuse à le regarder. J'ai un sentiment de honte et de naïveté qui m'envahie. Je me sent comme si je mériterais de me faire disputer. Il s'approche de moi et me sert dans ses bras. j'éclate en sanglot...


- Que t'a t'il fait subir ce salaud ? me demande t'il le cœur gros

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- Que t'a t'il fait subir ce salaud ? me demande t'il le cœur gros...

- Tu n'as pas idée... 

- Tu peux tout me dire, n'ais pas peur...

- j'aurais du ne jamais m'éloignée au bar... J'ai été imprudente et maladroite.

- Cela aurait arrivé un jour ou l'autre, il attendait que le bon moment se présente. Il a bien jouer son jeu, nous ne l'avons pas vu venir... J'ai eu si peur de ne pas te retrouver vivante... Je ne peux pas vivre sans toi.

- il... il... m'a... ''Je me remet à pleurer''.

- violé ?

- ouiii... dans tout les sens du terme et il m'a fait souffrir.

Je le sent serrer les poings, il reste sans mots. Il s'attendait à cette réponse, mais de l'entendre et se le faire confirmer, c'est comme si un train lui avait passé sur le corps.

TourmentéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant