Imagif [Noah Centineo]

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Printemps. Le temps des fleurs, des beaux jours, mais surtout des amours. Les écouteurs dans les oreilles, tu marchais tranquillement sur le trottoir, afin de rejoindre ton lycée. Tes yeux observaient chaque détail de la petite rue, les arbres fleurissaient, le soleil brillait et le ciel était plus bleu que jamais. Il y avait juste un petit zeste de vent qui rendait le paysage encore plus beau. Bercée par Twenty One Pilots qui passait dans tes oreilles, tu n'entendais pas les voitures circuler sur la route d'à côté. C'est ainsi que tu ignoras le jeune Noah qui t'appelait, le pauvre avait dû courir jusqu'à toi. Alors que tu bougeais ta tête en même temps que le rythme de la chanson, tu sentis quelque chose t'enlever ton écouteur. Noah déposa délicatement sa main sur ton épaule, et te retourna vers lui. Toi, innocente y/n, tu sursautas et donnas un coup, sans faire exprès bien sûr, à ton interlocuteur. Celui-ci se tordit de douleur.

"Rohh, t'as de la force dans ls bras, y/n." Disait le jeune Noah, en gémissant.

Tu ne faisais attention à rien autour de toi, tu portais ton attention seulement sur le jeune garçon devant toi. Il te fallut quelques secondes avant de te rendre compte que tu avais frappé malencontreusement Noah.

"Oh mon dieu, Noah ! Ca va ? Je suis vraiment désolée, mais tu m'as fait peur. Roh je suis vraiment bête !" Tu te lançais tout plein d'injures, devant la mine amusée du jeune Centineo.

 Roh je suis vraiment bête !" Tu te lançais tout plein d'injures, devant la mine amusée du jeune Centineo

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Noah te regardait dans les yeux, et te souriait gentiment. Tu sentis tes joues rougirent peu à peu, tes mains devenaient moites.

"Ce n'est rien, je ne suis pas mort c'est le principal, non ?" 

"Tais-toi, dis pas sottise jeune Centineo." Tu lui souriais en retour, ce qui faisait fondre intérieurement Noah. Il resta quelques secondes à te regarder, avant de remarquer que vous alliez être en retard pour les cours. Il te prit la main rapidement, et vous voilà en train de courir dans les rues de votre ville natale, main dans la main, en direction de votre lycée. 

Était-ce le début d'une nouvelle idylle ?


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