Chapitre Seize

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   À mon réveil, elle était dans la cuisine; juste vêtue d'un t-shirt, en train de faire le petit déjeuner, de bonne humeur, en chantonnant un petit air de sa chanson Préférée, des airs de la tontine pour enfant Au clair de la lune. Je lui demandai alors si elle connaissait les vraies paroles de cette berceuse, me dit non alors je la lui chantai. Surtout cette partie assez intéressante : Au clair de la lune
L'aimable Lubin
Frappe chez la brune
Ell' répond soudain
Qui frappe de la sorte ?
Il dit à son tour
Ouvrez votre porte
Pour le Dieu d'amour
Au clair de la lune
On n'y voit qu'un peu
On chercha la lume
On chercha du feu
(On cherche bien de la lumière et pas de plume!)
En cherchant d'la sorte
Je n'sais c'qu'on trouva
Mais j'sais que la porte
Sur eux se ferma.
Ceci pour l'anecdote et pour rendre ses droits à la vérité.

Elle me demanda alors ce qu'ils trouvèrent après que la porte se soit fermée. Je l'approchai tout doucement, je passai dans son dos, alors je la tins par la taille et doucement je commençai à caresser sa cuisse de l'extérieur vers l'intérieur jusqu'à  ce que je touche son abricot et je recommençai, je collai mon bassin contre ses fesses et pour qu'elle me sente. Elle arrêta la cuisine et éteignit la cuisinière, posa ses deux mains sur le rebord elle leva la tête me donnant une ouverture sur son cou. Je profitai pour lui donner des baisers pendant que mon autre main passait sous le t-shirt et remontait jusqu'à son sein. Je lui pinçai le teton tendrement comme si j'avais un grain de poussière entre les droits. Elle fléchis les genoux un moment comme si elle allait s'effondrer, puis elle se retourna pour m'embrasser fougueusement. Je senti ses mains se balader sur mon corps. Une de ses mains descendait lentement jusqu'à mon boxer, mais je l'arrêtai. Je prenais un malin plaisir à l'exciter ainsi sans lui donner l'occasion de faire pareil. Je la saisi fortement les fesses et elle passa ses bras autour de mon cou. Je l'emmenai au salon et la posai sur la table. Elle me retira aussitôt mon débardeur. Je la tirai vers moi et elle usa de ses orteils pour baisser mon pantalon, elle retira son t-shirt avant de se remettre à m'embrasser, pendant que ma main faisait des mouvements circulaires sur son abricot. Je descendis à chaque baiser que je lui donnais, elle me tenait par les cheveux, lui sucant le sein je caressais l'autre. Je sentais son jus qui coulait, elle me réclamait mais je continuai de la faire patienter. J'écartai ses cuisses et les levai sans la prévenir; elle posa ses deux mains sur la table, à cet instant ma langue parcourait déjà son fruit défendu. Elle commençait à gémir et son jus plus abondant. Elle gémissait de plus en plus fort, elle me réclamait en elle. Je me mis face à elle, mon troisième membre était dur comme une pierre, la pression était au maximum. Je mis le bout de ma verge tout doucement pour ne pas forcer et j'entrai d'un coup avec une telle fougue Qu'elle poussa un Petit cri; Keri adore ça et je lui rendais bien. Elle gémissait tellement fort à chaque fois que ma verge allait et venait en elle que je dû la bâillonner pour éviter que les voisins nous entendent. C'était de plus en plus intense et d'une douceur. Jusqu'à ce que nous jouissions ensemble et je la posai au sol et je me couchai près d'elle. On s'endorma après ce petit déjeuner mouvementé.

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