Mensonge Et Désir (Terminée)

Chapitre 9.*

-Eum.. Da (oui). J'arrive dans deux minutes printsessa (princesse). Me dit-il en relevant les yeux de son ordinateur

Je repars en cuisine pour nous servir et dès que je dépose les assiettes sur la table, il arrive. Il prend la bouteille de vin que j'ai laissée sur le comptoir de la cuisine et nous serre un verre.

-Ça sent très bon, c'est toi qui as tout cuisiné. Demande-t-Il surprit.

Je lui explique que j'ai donné la soirée aux personnels et que j'ai préparé moi-même ces lasagnes, car je voulais lui faire plaisir. Nous discutons et rions durant tout le souper, il me remercie pour ce délicieux repas et m'aide à débarrasser la table.

-Ça te dirait d'aller marcher sur la plage avec moi moy krasivyy ( ma belle)? Me demande-t-il après avoir fini de remplir le lave-vaisselle.

-Oui pourquoi pas! Le ciel est dégagé, nous allons pouvoir observer les étoiles et peut-être qu'il y aura des étoiles filantes. Dis-je avec joie

Il me prend la main et je reçois une décharge électrique, je rougis comme une petite fille devant cette attention. Il faudrait que je me contrôle et que je me calme, ce n'est qu'une balade après tout.

Une fois arriver à notre plage privée, nous marchons toujours en nous tenant la main et je me sens merveilleusement bien. Nous décidons de nous arrêter et de nous asseoir sur le sable devant à la mer. Tout en regardant la mer calme et le ciel étoilé, je remarque qu'Alekseï me dévore du regard. Je tourne la tête et plonge directement mon regard dans le sien. Il me sourit avec un sourire charnel et approche sa main de ma joue pour la caresser, je ferme les yeux vis-à-vis son geste. J'aimerais que ce moment dure, son toucher est si bon qu'il m'électrolyse entièrement.

J'ouvre les yeux et je remarque que ces yeux se sont complètement assombris à cause de ces pupilles dilatées. Je n'aurais jamais cru pouvoir le désirer intensément, moi qui ne voulais aucun contact physique entre nous.

-Je crois qu'il est temps de rentrer avant que tu le regrettes moya lyubov'(mon amour). Dit-il en se levant et en me tendant sa main pour m'aider à me relever.

Une fois sur pied, je lâche sa main et commence à me diriger vers la maison. Avant que je n'ai pu faire que quelque pas, il m'attrape et me retourne pour me plaquer contre son torse. Je suis surprise par son geste et je passe ma langue sur mes lèvres qui sont devenues sèches tout à coup. Nous nous observons et je le vois approcher lentement son visage du mien. J'appréhende très bien la suite alors je ferme les yeux, quand enfin il pose ces lèvres contre les miennes.

Au départ, je croyais qu'il allait s'agir d'un simple et sage baiser, mais voyant que je ne le repousse pas, Alekseï accentue son baiser. Il m'embrasse avec une telle ardeur que je fléchis dans ces bras, il me soutient en posant une main au creux de mon dos. Je ne pouvais plus contester le désir que j'éprouve pour lui. Il met fin à notre baiser avant que je ne m'enflamme dans ces bras et m'aider à me diriger vers la maison.

Une fois que nous avons franchi les portes-fenêtres de la maison, il m'agrippe et me retourne brusquement contre celles-ci. Il plaque ses lèvres chaudes contre les miennes dans un baiser torride. Il taquine mes lèvres de sa langue pour demander l'accès et ainsi approfondir notre baiser. J'entre ouvrir mes lèvres pour l'inviter à venir caresser ma langue de la sienne. Ce baiser est tellement passionnel que je sens une chaleur intense naître au creux de ma féminité. Dès le moment que je sens le sexe dur d'Alekseï contre mon bas ventre, mon désir ne fait qu'augmenter et je me libère de ma timidité. Je passe mes bras autour de son cou pour me rapprocher davantage à lui. Mes seins commencent à pointer sous ma robe alors que je me frotte contre son torse.

Je mets fin à ce baiser pour reprendre mon souffle, je sens la tension sexuelle qu'il y a dans l'air. Il reprend possession de mes lèvres et pose ces mains au creux de mon dos pour me plaquer contre lui. Il agrippe mes fesses en les pétrissant, je n'ai pas le temps de réaliser la situation, qu'il me prend dans ses bras pour m'amener à l'étage. J'enroule alors mes jambes autour de sa taille et je maintiens mes bras sur ces épaules pour ne pas briser notre proximité et rompe notre baiser.

Nous arrivons dans notre chambre et Alekseï ferme la porte à l'aide de son pied. Il se dirige vers notre lit et me déposer tendrement par terre devant celui-ci. Il recule légèrement en m'observant de son regard sombre en fessant glisser ma robe de mes épaules par terre. Un léger sourire de plaisirs naît sur ces lèvres en découvrant que je ne porte aucun soutien-gorge. Les pointes de mes tétons durcissent devant son regard. Il s'approche de moi pour capturer encore une fois mes lèvres, pour me lever et pour me déposer délicatement au milieu du lit. Je l'observe retirer son pantalon et sa chemise en me mordant la lèvre inférieure. Il monte sur le lit tel qu'un prédateur en écartant mes jambes et en venant s'allonger sur moi.

Je capture ses lèvres en l'embrassant passionnément et en lui mordant la lèvre. Je l'entends grogner contre mes lèvres et se frotter davantage contre mon intimité. J'émets un petit gémissement en le sentant se frotter et je le sens sourire contre mes lèvres. Il arrête de m'embrasser pour déposer une série de baiser sur ma mâchoire jusqu'à mon oreille.

- Ty moy. Ya nikogda ne otpushchu tebya ( tu es mienne. Je ne te laisserais jamais partir) Me chuchote-t-il

J'ai des frissons sur tout le corps en entendant sa voix rauque et pleine de désirs. Je gémis lorsqu'il descend ces baisers jusqu'à mes seins. Il prend mon sein droit en bouche, il mordille et suce la pointe de mon téton dresser. Je me cambre devant son geste, car la sensation est exquise.

Il continue sa descente de baiser jusqu'à mon ventre et décide d'enlever ma culotte en la faisant glisser le long de mes jambes. Il remonte ses mains jusqu'à mes genoux ou il m'écarte les jambes. Il se penche, vient me donner une série de baisers à l'intérieur de celles-ci en remontant jusqu'à mon intimité. Il lève les yeux vers moi en s'installant entre mes jambes et approchant son visage de mon pubis. Il approche sa bouche de mes lèvres brûlantes et déjà humides de désirs. Je pousse un cri lorsque sa langue entre en contact avec mon clitoris. Il fait remonter sa main jusqu'à ma poitrine pour prendre en coupe un de mes seins et fait rouler entre ces doigts la pointe. Je me cambre et je gémis encore plus en sentant qu'il me pénètre d'un doigt. Je l'entendis gémir et augmenter les caresses de sa langue contre mon petit bourgeon sensible.

-Moy Bog (mon dieu), tu es prête pour moi. Tu mouilles pour moi et tu es très étroite moya lyubov' (mon amour).

Sous sa parole, mon corps se met à trembler, ma tête part vers l'arrière et je descendis mes mains dans ses cheveux avant de crier son nom sous l'orgasme qui me percute de pleins fouets.

Quand les spasmes de mon orgasme sont finis, il se relève et vient capturer ma bouche pour m'embrasser sauvagement. Je peux me goûter sur ces lèvres et je dois dire que cela augmente mon excitation. Il arrête de m'embrasser pour me regarder et me caresser la joue. Je crois qu'il veut s'assurer que j'en ai autant envie que lui avant de continuer à aller plus loin. Je réponds à sa question silencieuse en me cambrant contre lui et en me frottant contre le tissu de son boxer qui s'humidifia par mon désir.

Je n'en peux plus, je veux le sentir en moi, je descends ma main vers son boxer pour lui enlevée et le jeter avec le reste de nos vêtements au sol. J'empoigne son membre bien gorger et commence un va-et-vient. Je le sens s'épaissir davantage devant mes caresses, il grogne de plaisir avant de prendre ma main et de l'amener en haut de ma tête.

Il se positionne à l'entrée de mon intimité mouillée et se pencha pour m'embrasser tendrement avant de s'introduire en moi d'un coup de reins assez puissant pour briser ma barrière d'innocence.
Il se fige en sentant la résistance inattendue se briser et me regarde droit dans les yeux en fonçant les sourcils

-Shlykha (Putain) ne me dit pas que tu es vierge printsessa(princesse). Murmura-t-il d'une voix étonnée.

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