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- Mets ta ceinture! La seule phrase qu'il ait décroché quand je l'ai rejoint dans la voiture. Sa mine figée, ainsi que ses jointures serrant le volant à en blanchir montrent qu'il se contient d'exploser. J'en ai des sueurs froides et commence à me demander si c'était une bonne idée de l'avoir suivi.
À un moment donné il desserre sa cravate et je remarque ses yeux rouges malgré qu'il ait le regard rivé sur la route. Arrivés chez lui, il me devance à l'intérieur sans un mot. Tandis que moi, je reste là à compter et contempler ses magnifiques voitures, bavant sur un bolide rouge et blanc garé près d'une Harley Davidson noir. Waw! Un tour à bord de cet engin doit juste être incroyable !

Je me retourne vers lui et vis qu'il m'attendait au pas de la porte d'entrée. Le regard furieux comme à son habitude. Il commence vraiment à me faire chier avec son comportement.
Je roule des yeux et m'avance vers lui, une fois à son niveau je pénètre dans sa somptueuse demeure la tête baissée et l'entendis fermer la grande porte d'entrée en bois.

J'avance de quelques pas puis le sentis d'un coup se coller brusquement à moi, il ramène mes cheveux du côté gauche puis me chuchota à l'oreille
-respire baby girl

J'expirais le souffle que j'avais retenu involontairement mais pas le temps de me détendre que ma tête bascule violemment sur le côté lorsqu'il tire dessus. Il se mit à parsemer mon coup de doux baisers jusqu'à mon oreille où il enfonce le bout de sa langue me faisant sursauter. Un gémissement de douleur m'échappa lorsqu'il tire sans ménagement mes cheveux lissées, c'était trop beau pour être vrai,puis me dit d'un ton sec malgré qu'il l'ait susurrer à mon oreille :

- Je te veux nue. Maintenant.

Là, tout mon corps se crispa.

Armstrong

Je sentis son petit corps qui m'attire tant se crisper et le feu ardent qui me ravage de l'intérieur ne s'attise que davantage.

- I...Ici? Me demande-t-elle la voix tremblante. Je la retourne face à moi et plongeai un regard dur dans ses prunelles marrons écarquillés par la peur. Elle en mène moins large maintenant. J'en ai dompter des plus sauvage, ce qu'elle ignore probablement vu l'air de défi qu'elle arbore ces deux derniers jours. J'ai bien remarquer son roulement d'yeux tout à l'heure et je peux vous dire que c'est la dernière fois que cela se produit.

Il n'en fallut pas plus que ce regard pour que son sac se retrouve sur le sol marbré suivi de sa petite veste. Une de ses mains se mit sur son épaule où elle descend la bretelle de son petit haut tout en gardant, malgré sa peur voyante, son regard qui a l'air de dire "Va chier Armstrong" dans le mien.
Ah Sandra, Sandra, Sandra...

Pour mieux me délecter de la scène qui s'offre à moi, je la laisse plantée là, au beau milieu du salon et pars m'installer sur le fauteuil en cuir face à elle avec un demi verre de whisky.
Que le spectacle commence!
Ou c'est déjà fini? Car elle stoppe tout geste puis se mit à me regarder les yeux embués en se mordant la lèvre inférieure. Oh oh! Je sais ce que ça annonce. Ni de un, ni de deux elle éclate en sanglot se cachant le visage entre ses mains. Tu ne t'en sortira pas pour autant chérie.

- Déshabille toi! Taclai-je la fusillant du regard pas pour seulement m'amuser de la situation mais parce que cette fille commence vraiment à me les briser.

- Plus vite que ça repris-je d'un ton plus calme. Elle s'exécute, tremblant de tout son être. Bandante, voilà comment est la scène qui s'offre à moi en ce moment. Son corps nu. J'enlève la boucle de ma ceinture puis mis ma main dans mon pantalon saisissant le fauve qui se réveille.
Damn! Je pourrais éjaculer rien qu'en matant son corps. Son petit nombril creux pourrait très bien recueillir mon foutre.

- Come here! Elle reste figée où elle est tentant de se cacher les seins au bout foncé et son intim...sa petite chatte.
- Tu es sûre de vouloir que je vienne te chercher?

Après quelques secondes d'hésitation, elle se résout à s'avancer vers moi mais
- Arrête-toi! Elle relève le regard vers moi confuse.
- Comment se déplacent les chiennes? Oh pardon je veux dire, les petites chiennes ?
Elle ne répondit pas, ce qui a le don de me faire sortir de mes gonds.
- REPOND!

- À..quatre pattes Sir.

- Qu'est ce que tu attends?
Elle s'exécute sans aucune forme de volonté jusqu'à mes pieds. Je pose le verre sur un tabouret à mes côtés, puis l'attire vers moi collant sa face sur mon entrejambe.

Sandra

Je n'ai pas voulu pleurer mais la gène que j'ai ressentie a eu raison de moi.
C'est ce qu'il voulait et il l'a eu. Je me dégoûte en ce moment et il est trop tard pour faire marche arrière. Je suis quand même enfermée dans sa maison, nue de surcroît !

Je me mets à quatre pattes et m'avance vers lui. Aussitôt à son niveau il m'attrape par la nuque et colla mon visage sur son entrejambe. Je commence à me débattre comme une déchaînée. Non pas parce que j'ai le visage sur son se..sexe mais parce que je n'arrive plus à respirer. J'ai pensé à le mordre mais je le regretterai sûrement. D'autant plus que j'en suis incapable. Après un long moment, il me relâche et je repris mon souffle maladroitement ce qui me provoque d'horribles toux à m'en rompre les cordes vocales.

- Get up! J'obéis sans rechigner et il m'allonge sur le ventre sur ses jambes et se mit à me caresser le derrière.

- Écoute-moi très bien! Tu vas placer tes mains sur chacune de tes fesses et bien les écarter pour moi, tu saisis?
-Oui Sir répondis-je d'un ton lasse. Sa main s'abattit violemment sur ma fesse gauche me faisant hurler de douleur.
- Répond moi lorsque je te parle.

- J'ai répondu "oui", non? Vas te faire soigner si t'es sourd !! Hurlai-je hors de moi. Il me fatigue.

Un autre Clac plus brutal s'abattit de nouveau sur la même fesse suivi d'un autre. Il me soulève, me jette sur la moquette et s'accroupit sur moi. Je regarde ses yeux devenus sombres de colère me demandant ce qu'il va suivre. Il saisit mon coup et je le sens qui commence à serrer. Ma respiration se bloque et il commence

- Tu es qui pour me parler sur ce ton!?
Je voulu m'excuser, lui dire que je le regrettais mais je ne le pouvais pas. Sa main se mit à me serrer davantage le coup et la panique ma gagna.
Je ne le reconnu plus. La façon dont il se délecte de mon état est juste inhumaine. Ses yeux rougis plongés dans les miens montrent une certaine satisfaction. Sur le moment je me dis que c'est finit pour moi. Tout devint flou dans la pièce et je commençai à avoir le tournis.

Je ne sus par quelle miracle il relâche la pression de sa main et je me remis à toussoter difficilement en me tenant le coup avec l'horrible sensation de me brûler le gosier.

Il me releva de nouveau puis me porta sur son épaule prenant la direction des escaliers. Nous nous retrouvâmes dans sa chambre quelques instants plus tard où il me jeta au milieu du grand lit aux draps blancs.


















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