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- Tais-toi chienne ! J'essaie de dormir.

-Snifff

- J'ai dit TU LA FERME !

Je me relève contourne mon lit et saisit les cheveux bruns d'Annissa , ma soumise. Une de mes soumises. Elle gémit et a la respiration difficile. Comme l'animal blessé qu'elle est.

-Qui t'as donné l'autorisation de pleurer? Réponds!!!

-Mon bas ven..tre me... Il me fait maaall.. Sniff

-J'en ai rien à foutre. Donc tu pleures en silence. Tu saisis?

-Ou..oui maître.
Je la rejette par terre au pied du lit puis retourne me coucher. Elle a raison de pleurer. La séance a été longue et laborieuse pour elle tout à l'heure. Elle doit se dire que je l'ai puni sans raison, mais j'ai mes raisons. Enfin je crois.
J'avais besoin d'appeler ma petite métisse mais en faisant défiler la liste de mes contacts, je suis tombé sur Anissa et me suis dit pourquoi pas? Ça me calmera les nerfs peut-être. Et puis je devrais arrêter ce jeu que j'ai eu à commencer avant que ça n'aille trop loin. Ou pire , vire au drame. Elle est très jeune mais quelque chose me lie à elle bon sang.
À vrai dire j'ai faillit sauter au plafond lundi dernier en me rendant compte qu'elle était la propriétaire du cahier. Enfin l'occasion se présente, me suis-je soufflé. Depuis que je l'ai vu dans ce lycée, je jouais la carte de l'indifférence, attendant le bon moment pour la coffrer. Mais ce n'était jamais arrivé, je me suis dit que fallait que je me sorte ça de la tête. À des moments, en plein cours, je me surprend à la fixer alors que les élèves sont occuper à faire des exercices ou bien à faire leur devoir. Elle me la rappelle. Et pourtant elles sont si différentes.

L'une blanche, l'autre, noire enfin presque.

L'une, blonde, l'autre brune et crépue.
Alors comment est-ce possible qu'elles se ressemblent tant?
Est-ce un signe ? OK je me calme

De toute façon je ne veux pas le savoir.
Et puis ces fichus règles on oublie.
Demain je récupère ma carte. Et lui dirai de mettre tout ce que bon lui semblera. Qu'est ce qui m'a prit?

Je retourne me coucher, mais morphée préfère se foutre de ma gueule. Je me relève , fatigué de me tourner et me retourner dans mon lit. Sa chaleur me manque. Je pars me servir de l'eau glacée dans la cuisine.
Il est 3:24 du matin.

Sandra

Je me réveille en sursaut. 3h15 du mat. Sérieux ? J'ai dormi pendant , près de 8h. Tout ce temps?
J'ai toujours la petite jupe évasée avec laquelle j'étais partie faire du shopping avec Leïla. J'ai toujours mes habits sur moi en fait. Et je dégouline de sueur. Je sais avoir fait un rêve, mais ne m'en souviens plus. Ça m'arrive souvent, pour ne pas dire tout le temps.

Une petite douche s'impose. En plus J'ai super faim.
Lorsque je ressors de ma salle de bain une dizaine de minutes plus tard, j'aperçois une lumière verte clignotant de mon téléphone posé sur la table de chevet. Un message ou une notification. Lorsque je le saisi mon coeur rata un battement quand je vis son nom s'afficher sur mon écran.
Armstrong.

J'ouvre le contenu du message après avoir longuement souffler.

-are you sleeping?

Mec t'es sérieux là? Il est 3h27 du mat et tu me demande si je dors. Bien évidemment je me retiens de lui répondre cela et optai pour

-No

-No who?

-No Sir. Que t'es conne , me souffle ma petite voix

-Hum, c'est mieux.
Je ne sus quoi répondre à ça. À vrai dire j'ignore si je devrais répondre ou pas. Mais avant que j'eus terminé le " oui monsieur " que j'allais répondre un autre message arriva.

-T'oublies vite. Mais ne t'inquiète pas, j'y remédierai très bientôt mon chaton.

Un frisson me parcourt l'échine. Un frisson de peur?
-J'espère juste que t'as pas oublier ce dont je t'ai parler tout à l'heure. Parce que dans ce cas je serai obligé de recommencer tu sais?

Comment pourrai-je oublier celà. Oh mon dieu. Ces sensations si exquises, si..., je ne sais pas.

Sa bouche suçotant chaque parcelle de mon corps. Sa langue qu'il défilait sur ma peau, faisait passer d'un sein à l'autre.
Je ne pensais pas qu'une langue pouvait procurer autant de plaisir. J'étais toute frissonnante entre ses mains. Surtout qu'il descendait petit à petit
J'ai cru tomber des nues lorsqu'il m'a tiré sur le bord du lit, maintenant mes jambes à un écartement si indécent. Je voulu les refermer par pudeur mais pas le temps de réagir qu'il s'agenouilla entre elles et captura mon clitoris qu'il aspira dans un grognement sourd, mes jambes férocement clouées de part et d'autre du lit par ses grandes mains puissantes.

Je poussai un cri tellement le plaisir qui m'a parcourut me fut intense et méconnu.

-Détends toi sweetie. Fit-il comme s'il s'adressait à mon intimité dont il écartait les lèvres de ses doigts, soufflait dessus puis captura de nouveau le bouton si sensible là.
Il me mangeait littéralement en fait. Je n'en pouvais plus tout mon corps tremblait face à cette avalanche de plaisir qui me faisait perdre la tête.
Je commençai à repousser sa tête en tirant ses cheveux, mais il saisit mes poignets et les maintint fermement. Continuant son supplice.

- T'es bien bruyante honey. But that's good. Crie pour moi sweetie, Crie.

Je ne m'étais même pas rendu compte que je criais, que je hurlais même. Mes jambes tremblaient sans que je ne puisse rien y faire. Le spectacle avait l'air de le satisfaire. Il grognait de plus en plus contre mon intimité.

-Et si on jouait toi et moi sweetie?

-Quoi?
Je le vis froncer les yeux et je reprend aussitôt
-Je heu.. Je veux dire... Heu oui monsieur.

-Oui? Tu acceptes déjà? Tu veux pas savoir à quel jeu je veux que nous jouions?

-Si...ahhhh! Mon..sieur.

J'allais bientôt exploser.
Surtout qu'il coupait chaque mot de ses questions avec des coups de langue sur le bouton si sensible que vous connaissez.

-Hum ! Do you wanna cum honey?

-what does it mean sir ?

- Est-ce que tu veux jouir?
Reprit il en engloutissant une énième fois mon clitoris.
-Ohh!...yes sir
fis-je dans un dernier râle, criant ma jouissance, l'intimité collée à la bouche de Sir Armstrong, mon professeur d'anglais.








À suivre.........

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