Chapitre 17

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L'atmosphère est moins tendue et plus plaisante que d'habitude. Maya a retirer son abaya et est à présent dans une élégante robe blanche à dentelle. Sa longue chevelure à la couleur éburné de l'ivoire demeure aussi éclatante que d'ordinaire,  je ne me lasse toujours pas de son beau sourire,  cela me manquait terriblement.   Coucher l'un à côté de l'autre, elle me raconte sa mésaventure en Arabie saoudite.

- une chose est sûre, il y a quelques chose qu'on ne me dit pas,  avoue-t-elle avant de renchérir: << je le découvrirai >>

J'ai eu la peur de ma vie après avoir lu le message qu'elle avait laisser à Mehdi,  il est hors de question que je la laisse retourner en Arabie saoudite. Je ne souhaite plus me retrouver dans une position d'incapacité,  je ne pourrais rien faire d'ici si il lui arrivait un malheur dans le pays de sa mère.

- Non, tu n'iras plus la bas, lui ordonnais-je.

- Bien-sûr que si, je le dois, dit-elle.

Comment lui faire comprendre que l'Arabie - saoudite n'est un pays sur pour elle actuellement. Maya est bornée, elle ne m'écoutera  pas, si je n'avance pas d'arguments convaincants.

- Tu es enceinte Maya, l'Arabie -Saoudite est risqué pour toi actuellement, lui déclarais-je.

Elle fait mine de ne pas m'écouter et manipule sont portable. Même ci cela est un défaut, j'avoue que son côté borné m'a également manquer. Lorsqu'elle finit de manipuler son portable, Maya vient se coucher sur moi et se met à m'embrasser. Je décolle mes bras puis pose l'un d'eux sur son dos et l'autre dans ses cheveux et la serre plus fort contre moi. Elle arrête le baisé et sourire un moment avant de continuer.  Je me place par suite au dessus d'elle en gardant toujours une main dans ses cheveux et avec ma main libre je caresse tendrement  sa cuise droite. Coucher sur le dos, elle enroule ses pieds autour de ma taille et sa robe se soulève. J'avance alors ma main et je serre ses fesses. J'ai une folle envie d'elle, je me contrôle plus et Maya me rend pas non plus la tâche facile. Je retire alors ma main de ses cheveux et je la glisse sous son dos après avoir entièrement soulever sa robe. Je lui mets des baisers avides sur son vendre et Maya commence à s'étirer. Mon portable se met à sonner et gâche ainsi se moment.

- Khamal, où es-tu donc?me questionne l'oncle Saïd.

- je.... J'ai du.... Je suis au port mon oncle. J'ai du faire un petit détour rapidement pour régler des affaires en suspens,  lui babillais-je avant de renchéri << excuser moi, oncle Saïd>>

Je ne savais plus quoi lui répondre. Bien que je ne regrette pas mon acte, cela n'est quand même pas respectueux de l'avoir abandonné la bas sans même le prévenir au préalable. J'étais ému pas l'appelle de Maya alors j'ai foncé droit sans faire attention au règle de politesse. Quant à Maya, même couché en dessous de moi, son regard reste braqué sur moi. Cela se voir à des kilomètres qu'elles a des questions a me posées.

- D'accord,  prend ton temps fils, la section est reporter sur demain, dit-il d'une voix calme.

- mon oncle, qui était ce vieil homme? Et que vous voulait-il ? Le Questionnais-je.

-........ Un long silence s'installe du coup et il s'en suit un soupir. << Ce vieil homme est hélas une vielle connaissance >>, dit-il.

Maya a quitter sous mon emprise et se dirige vers l'extérieur de la pièce. Je me redresse alors et m'agrippe contre l'un des divan de la pièce. Elle tient son portable aisément dans la main et avance d'un pas lent.  Elle me semble soucieuse et son humeur me semble décomposer.

- Est-ce que tout va bien Maya? La questionnais-je en gardant mon appareil collé à l'oreille.

J'avais presque oublier que je suis au téléphone avec l'oncle Saïd. Quant à Maya, elle acquise simplement de la tête.

Le fils de l'émir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant