J'étais chez moi en train de regarder la télé, je pensais à cette journée avec lui. C'était bien, on a rit et parler ensemble, il s'ouvrait à moi en fait. Et puis sa proposition, celle de vivre avec lui.. Je ne comptes pas accepté, enfin pas maintenant. Je ne le connais pas assez, je ne le connais pas du tout. Oui okay il a l'air gentil malgré son air froid et neutre mais c'est un gars impulsif à la limite de la bipolarité.. Si je fais un truc de travers, qui ne lui plait pas il est capable de me virée de chez lui. C'est une certitude.
D'abord j'en parlerai avec Macha même si ma décision est déjà prise à quoi bon, je peux en parler tout de même. Bref je suis allez me coucher et me suis endormi directement.
Toc Toc Toc. Toc Toc Toc. Toc Toc Toc.
Wesh.. Je regardes mon téléphone.. Putain, 08h12 et c'est le week-end. Vas-y j'ai la haine. J'ai mis mon peignoir, remplacé mon short par un jogging noir et j'suis allez ouvrir.
Moi : Tu fais quoi ici toi ?
Macha : wAllah de base je dormais chez Béné et j'pensais à un truc donc j'suis venue.
Moi : - le coupant - Il est 8h wesh..
Macha : Non mais ça te concerne sinon je serai pas venue .. Mon tel il est éteins donc j'suis venue te voir direct.
Je l'ai tshipper puis je l'ai laissé rentrée. Je suis allez me doucher et m'habiller d'un jean bleu et du maillot de l'Algérie, posez pas trop de question je suis une supportrice de leurs équipe.
Moi : Explique.
Macha : Attend.. Avant de commencer tu peux mettre des chaussettes ?
Moi : Wesh.. Mais pourquoi ?
Macha : Steu plait, j'aime pas les pieds..
J'ai soupiré et je suis allez mettre mes chaussettes. Je me suis remis à côté de lui.
Macha : En fait, j'essaie de lui faire avouer que tu lui plait mais il veut pas assumer, il se sent bien avec toi, il le dit pas, ne le montre pas mais moi j'le sais. Il veut que tu vives avec lui parce qu'il est bien avec toi, il a besoin d'une compagnie féminine mais il a pas besoin de pote..
Moi : J'comprends quedal Coca.
Macha : Il parle souvent de compagnie féminine mais qu'il ne veut pas de nouveaux amis.. Il veut donc une copine, wAllah depuis trois ans il répète ça sans prêter aucune attention à une femme et puis t'es venu et il oublie Béné et devient Sabri.
Moi : J'sais pas où tu veux en venir.
Macha : Tu le connais depuis une semaine voire quelques jours, avec toi c'est comme si il revit t'a capter, j'te demande pas d'habiter avec lui, d'être avec lui H24 mais juste de le faire devenir comme avant.
Je suis restée silencieuse.. Il est 8h et il me demande de faire devenir Sabri comme avant alors que je connais rien de lui.
Moi : Il était comment avant ?
Macha : Le contraire d'aujourd'hui, souriant, sociable, marrant.
Moi : Mais pourquoi moi en fait ?
Macha : Parce que tu es son contraire et que tu l'attire.
PDV MACHA
Après deux heures de discussion j'étais enfin sorti de chez elle, j'attendais Béné en bas. Il m'a klaxonner j'suis donc monté dans sa gova. Il a démarré puis il a roulé sans savoir où allez comme d'hab.
Béné : Alors ?
Moi : Franchement t'aurai pu trouver un autre moyen hyn ? La tu m'a fais allez chez elle, j'ai du inventé un mytho.
Pour ce qui on pas comprit tout ce que j'ai sorti a Cassy est faux, c'est juste une excuse pour qu'elle reste plus souvent avec Béné.
Béné : J'allais pas allez la voir et lui dire " on se connait pas mais j'aime ta présence alors reste avec moi. "
Moi : Fallait lui dire '' Cassy, tu me plaît j'aimerai apprendre à te connaître alors faisons connaissance "
Béné : Ma bite, même toi tu dis pas ça.
Moi : - rit - J'avoue mais si t'avais dis ça c'est sur qu'elle aurait accepter.
Béné : De plus, elle me plait pas. Elle est juste une bonne compagnie comme toi, et puis quand j'suis avec elle tout le monde me regarde, m'envie, me jalouse comme si c'est la perle rare.
Moi : En gros tu veux être avec elle juste parce que des dalleux te jalouse ? Mais toi wAllah il te manque une case c'est pas possible.
Béné : Bref, espérons qu'elle accepte. C'est peut-être égoïste de ma part mais..
Moi : - le coupant - Si tu le fais c'est que tu l'aime bien c'est tout, tu vas l'assumer un jour.
