Sir Armstrong n'y est pas allée de main morte ce jour là...................

-Relèves-toi !
-......
-Tu sais que tu l'as mérité ? N'est ce pas? Ma puce. Demanda-t-il en me caressant la tête.
-.... Sa question sonnait plus comme une affirmation et je me contentai de secouer vigoureusement la tête.

-Réponds ! Cria-t-il.

-Oui...Oui monsieur. Obéis-je , la respiration entrecoupée par les sanglots.

Tout ce que je voulais était m'enfuir de cette salle, m'éloigner de lui.
Il me remit mon Jean ,gardant ma culotte au fond de sa poche. Mes jambes me soutenaient à peine et je faillis tomber. Mais ses bras puissants me rattrapèrent de justesse, puis...

-Tu ne pourras pas rentrer dans cet... état. Fit-il sur un ton sarcastique en écrasant de sa pouce mes larmes qui ne cessaient de couler.

- Je t'emmène chez moi et tu te changera avant de rentrer! Regardez moi ça. Fit-il en lorgnant la marre sous mes pieds. Quelle honte ? Vas m'attendre au coin de la rue, près de la cabine téléphonique et n'oublie pas...pas un mot . Je secouai la tête prête à y aller avant qu'il m'attrape le bras et me fixe d'une façon dure . Il attend une réponse.

-Oui monsieur.

Il me lâche la main et je me dirige vers la sortie de l'établissement pour la rue indiquée non sans difficulté. Le frotement du jean sur mes fesses crée une brûlure insoutenable. Mais que faire.?

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-Restes tranquille Sandra!

Je m'accroche au tee-shirt de mon professeur d'anglais en hurlant de toutes mes forces voulant sortir alors qu'il essaie de me maintenir sous le jet brûlant de sa cabine de douche . Le contact de l'eau avec la peau endolorie de mes fesses est vraiment insupportable.

-Te faut-il une autre fessée afin que tu restes tranquille petite chienne! Hurla-t-il sur un ton menaçant

Je m'immobilise automatiquement pour ne pas l'énerver plus au risque d'aggraver mon cas. Mais la douleur est toujours aussi aiguë je me contente donc de pleurer sans bouger. Quelques secondes qui m'ont paru des lustres plus tard , il coupe l'eau puis m'enveloppe d'une serviette épaisse très douce.

Je souffle enfin .

Il me transporte jusque sur son immense lit et m'allonge dessus m'intimant de bouger. Je le vois se diriger vers son armoire puis ôter le jean et le tee-shirt blanc trempés qu'il venait juste d'enfiler quand on est arrivé chez lui. Choquée, je déglutis de travers lorsqu'il enlève son caleçon blanc et commence à tousser.
Comprenez-moi. Je m'y attendais vraiment pas.

Par la suite il opte pour un autre jean délavé et un tee-shirt gris cette fois ci.
Quand il se retourne il me surprend entrain de le mater, je sursaute puis baisse les yeux sur le champ. Apeurée et honteuse.

Il s'avance dangereusement de moi et j'eus le réflexe de me redresser et de reculer à l'autre bout du lit , serrant fort la serviette contre moi. Il n'en fit pas cas et s'installe sur le bord du lit.

-Viens par là.

Je ne bouge pas et le fixe avec des yeux suppliant. Passant mon regard de ses yeux à la chose qu'il tient dans sa main et que je n'arrive pas à voir.
-Ne m'oblige pas à venir te chercher Sandra ! Cria t-il presque et je m'exécute la peur au ventre.
Arrivée à lui, il m'arracha la serviette qu'il jeta par terre puis me fit basculer sur ses genoux. Je commence à paniquer . Il balade ses doigts sur mes fesses avec un grognement sourd, je dirai même pervers, vu la bosse que je sens sous mon ventre. Puis je l'entend retirer un bouchon.
Je ne puis empêcher un gémissement de s'échapper de ma gorge lorsqu'une sensation de fraîcheur déferle au niveau de mes fesses qu'il pétrit de façon si délicate. Il me passe de la crème apaisante.

-Tu peux te lever mon ange.
Me dit-il en m'aidant à me relever
Le changement de ton.... Il s'allonge sur le dos puis me tire à lui ,je me retrouve donc blottie contre lui, ma tête posé sur son torse musclé sa main caressant délicatement mes cheveux. Je suis toute nue mais n'en fis pas cas. Je suis trop épuisée pour y penser.

-Tu es belle tu sais?

-....

-Regardes-moi

Je levai lentement mon regard et rencontrai le sien qui était étonnamment doux et...compatissant ?

-Je ne voulais pas te punir tu sais?
Je secoue la tête affirmativement.

-Réponds.

-Oui monsieur.

-Comment te sens tu ?
J'ai peur de répondre, et s'il s'énervait de nouveau?
-Tu ne veux pas répondre ?

-Si..euh..je me sens bien.

-Menteuse fit-il en se relevant.
Il m'allonge sur le dos puis se tient debout devant moi fixant intensément mon corps nu. Je sens la gène me parcourir et mis ma main sur mon intimité tentant de le cacher.
Il l'attrape alors, saisissant l'autre qui cachait mes seins il les plaça de part et d'autre au niveau de ma tête et captura sauvagement mes lèvres dans un baiser langoureux.
La situation a vite dérapé je ne sais comment l'expliquer mais il m'a fait découvrir des sensations tellement exquises...

C'est dingue mais avec Lucas, mon ex qui habitait juste à quelques pattés de maisons de chez moi, on se limitait seulement aux flirts . Rien de plus. J'ai mis un terme à notre relation car il voulait toujours plus. Un jour, pour lui faire plaisir, j'ai fais l'effort de le laisser mettre sa main sous ma culotte mais je l'ai regretter. Il m'a enfoncé deux doigts sa aucune douceur tellement il ne se contrôlait plus. Après ça j'ai rompue tout contact avec lui. D'autant plus que j'étais encore très jeune pour passer à l'action, j'avais 15 ans et lui 17. Maintenant il est partit faire ses études en Californie...

Avec Sir Armstrong, c'était tellement différent... Intense oui, mais magique. En plus on a discuter, si on peut l'appeler ainsi...

Je sais pas pourquoi mais il m'a fait des recommandations que je crois ne pas avoir bien saisies. Parmi elles, ces jupes que je me suis payée avec sa carte bancaire et que je devrais mettre à chaque fois que je me rendrai à son cours.
C'est bizarre.














À suivre....

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