comment je suis devenus un proxy

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VMMM...VMMM...

Je pris mon telephone a coter de moi sans trop regarder ce que je faisait, les yeux et les oreilles absorber par la musique que j'écouter, je lisait en même temps une fanfiction sur wattpad.

VMMM...VMMM...

-Urh..quoi !? Fis-je toute seule en regardant mon telephone au bout d'un certain moment.

inconnu

-"Salut comment ça va ?"

J'arquais un sourcils, c'est qui ça encore...pensais-je

-"Tu t'apelle comment ?"

moi

-"T'est qui ?"

inconnu

-"Personne de bien important ." cette reponse me fis faire la grimace, alors je répondis simplement et sans délicatesse.

moi

-"Aha ok au revoir !"

Puis je lâchais mon telephone et me reconcentrais sur ma fanfiction, mais quelque secondes plus tard mon telephone me dérangea de nouveau, je lâchais un soupire.

inconnu

-"Attend ! Si tu préfère je peux te donner mon nom ? Je m'appelle Andy"

moi

-"Hmm qu'est ce que tu veut Andy?"

inconnu

"Si je ne me trompe pas tu t'appelle Charlie ? En faite on m'as dit que l'année passée tu était la déléguer de ta classe et on m'as parler de toi, alors je m'était dit que comme je serait dans ton lycée l'année prochaine je pourrais me faire une ami ?"

De plus en plus bizarre je répondis tout de même, de toute façon je n'est rien à perdre.

moi

-"Oui, je m'appelle Charlie, tu sera en quelle classe l'année prochaine ?"

Andy

-"Je serais en terminale et toi ?"

moi

-"Pareil.."

Andy

-"Tu n'as pas l'air de t'en réjouir ?"

moi

-"Meh .. je m'en fiche un peu en faite ahaha !"

Andy

"Je suis outrée, c'est dommage tu avais à faire a un pur beau gosse !

Je fus surprise

moi

-"T'est un mec ? Je croyait que t'était une fille x)"

Andy

-"Hey ! Tu blesse mon égaux la !"

J'esquissa ce qui me semblais être un sourire

moi

"Tant pis pour ton égaux ! ;)"

Cette fois, sa réponse ne fus pas immédiate et j'attendis quelque minutes sa réponse. En tournant la tête vers mon réveil je me rendis compte qu'il était 3 heure du matin ... je sursauta, depuis le départ de maman, mes nuits n'étaient plus aussi paisible qu'auparavant. Je me levais de mon lit jusqu'à la fenêtre, c'était un soir sans lune, ma fenêtre donner sur la foret, il y avait du vent ce soir là et bizarrement les cigales ne chantaient pas. Je fronça les sourcils, en plissant les yeux, je cru voir apparaître, deux yeux scrutant dans l'obscurité ... j'ouvris la fenêtre doucement en me penchant sur le rebord, les yeux avaient disparus, c'était probablement un chat ou un raton laveur ...