S.O.S Daddy [Calum Hood]

70. Jealousy

NDA: Imaginez si j'arrive à tout pile 100 chapitres :) Ce serait tellement parfait ! Mais normalement, j'aurais finit avant.

PS: DOLLY COMME VOUS NE L'AVEZ JAMAIS VU

PS2: CETTE PHOTO EST PEUT ÊTRE VIEILLE MAIS CE SERA TOUJOURS COMME ÇA QUE JE VERRAIS LUKE ET CALUM DE MA FICTION. AVEC CE PHYSIQUE LÀ :)

BREF,
Lama.Xx
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« Encore un peu, bébé. »

« Calum, je suis fatiguée.. »

« Courage, c'est bientôt finit. »

Je gémis.

« Cal.. »

« Un peu plus fort. »

« M-mais.. Ça fait mal.. »

« Tu peux faire ça pour moi, continue.. »

« Oui.. »

« C'est bon ça.. »

« Han ! »

Et je m'écroulai ridiculement sur le tapis de course, mon corps qui se fit traîner en arrière. Calum cessa son tapis pour venir se planter derrière moi.

« Allez, remonte. » M'ordonna t-il en sautillant légèrement sur place, visiblement plus motivée que moi.

« Non, j'ai finit pour aujourd'hui. » Annonçai-je alors que mon petit ami stoppait mon tapis de course qui avait continué de tourner durant ma chute.

« Dolly, explique moi comment tu comptes perdre 9 kilos en continuant de pleurnicher à chaque fois que je te demande de remonter sur ce putain de tapis ?! » Il se passa une main sur le visage. « Tu sais depuis combien de temps on est ici ? »

« Je sais pas... 3 heures ? »

« Une demie heure, Dolly. Une putain de demie heure. » Il élargit dramatiquement ses yeux, en agitant son portable.

Franchement, il me rappelait mon ancien professeur d'éducation physique. "Mr. Dandelion". Il nous demandait régulièrement de faire des culbutes au bout d'un plinth qui paraissait faire 5 mètres de hauteur. Et quand il voyait que j'étais la seule qui refusait de me plier à ses ordres, il me renvoyait dans les vestiaires et mon père se retrouvait à le payer pour qu'il ne me mette pas F au bulletin.
Même celle qui s'était foulé la cheville en voulant effectuer son exercice avait reçu un D.

« Calum, on est dimanche. Tu m'as levé à 9 heures pour que je vienne ici. Dans quel état tu t'attendais à me trouver ? » Je resserrai ma queue de cheval en me soulevant du sol sous ses orbes bruns qui m'étudiaient avec attention.

« J'ai tenu à t'emmener en salle aujourd'hui parce que, justement, Amy et Michael tenaient le bébé. » Expliqua t-il avant d'enchaîner. « Regarde toi, entrain de transpirer comme un macaque. Et maintenant, regarde moi. À bloc alors que je suis rentré à la maison à 4:00 hier, avec pas même une goute de sueur sur mon t-shirt. »

« C'est parce que tu as l'habitude. » Marmonnai-je en venant agripper ses hanches. J'étais aussi molle que si on m'avait ôté les os du corps.