31. H

31.9K 2.4K 600
                                    

(Malgré mon atèle, j'avais très envie de vous mettre ce chapitre. De un parce que ne pas écrire est impossible. C'est vital pot moi. Et de deux, ce chapitre ravira sûrement les fans des Heazter. Je n'en dis pas plus)

SCÈNE HOT VERS LE MILIEU.

Dans l'ascenseur, le silence règne. Wazter n'a pas dit un mot depuis que je lui ai fais un câlin -inattendu- quand il m'a dit qu'on dormait dans la même chambre. Ma réaction à certes été excessive, mais il n'y a pas de raisons pour qu'il me fasse la gueule. A part si Monsieur est vraiment en couple avec Pimbêche.

C'est le surnom que j'ai donné à sa blondasse. Elle a vraiment une tête de pimbêche.

En sortant, nous longeons un immense couloir et nous cherchons la porte 617.

Ça me saoule.

- Pourquoi tu parles pas ? je lui dis.

Il me regarde furtivement.

- Et toi, pourquoi tu parles pas ? il réplique.

- Bah j'ai parlé.

- Oui mais pourquoi t'as pas parlé avant ?

- Parce que tu parlais pas non plus.

- Mais si t'avais jamais parlé peut-être que j'aurais parlé.

- Ouais mais t'as pas parlé.

- Bah là je parle.

- Mais t'aurais dû parler avant.

Il soupire. Je soupire.

- Endirais des gros gamins, je souffle.

Il s'arrête dans sa marche et je me retourne vers lui.

- Désolé d'avoir réagi comme ça. Je savais pas trop quoi faire.

Je lui sourie doucement.

- T'inquiète pas Ivre-mort, moi non plus.

Il pouffe et attrape ma main, que je serre.

Cette attirance que j'ai toujours eu envers lui me trouble énormément. Wazter est envoutant.

La porte 617 se tient sur notre droite et à l'aide de la carte, nous l'ouvrons.

Nos bagages sont déjà ici et l'immense lit king size nous salut. Une grande baie vitrée nous donne une vue imprenable sur Central Park et ses grands arbres, tandis qu'une simple baignoire ancienne trône dans le coin de la chambre.

Wazter se jette sur le lit, les chaussures pleines de boues.

Salopard.

- Tes chaussures sont dégueulasses, t'aurais pu les retirer, je dis d'un air de reproche.

Il rigole et balance ses chaussures devant moi.

- T'es maniaque ? il demande.

Je ramasse ses chaussures et les lance dans la baignoire.

- Non je suis très bordélique mais il y a une limite au bordel.

Tandis que je me penche pour prendre ma valise, je reçois un t-shirt sur la gueule.

...

- PUTAIN MAIS ARRÊTE OU JE VAIS TE BALANCER PAR LA FENÊTRE WAZTER CADEN KAL TREND ! je hurle.

Je me retourne, le visage rouge de colère et un t-shirt gorgé de transpiration dans la main.

Wazter se tord de rire sur le lit, torse nu et la ceinture de son pantalon défaite.

Heaven [terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant