{ Le bonheur me file toujours lorsqu'il est au bout de mes doigts }

Une épreuve de plus

Un jour comme les autres, ou j'essaye temps bien que mal de m'occuper. Je décide de cuisiner. J'étais en pleine préparation, lorsque qu'un des copains de Saphyr s'assoit face à moi. Je ne connais aucun d'eux étant donner que Saphyr leur a interdit de me parler et la même chose pour moi. Je les vu plusieurs fois proche de Saphyr comme s'ils étaient frères.

-Le gars : Ça va ?

-Oui et toi ?

-Le gars : Tranquille. Tu as besoin d'aide ?

-Non ça va aller, merci.

-Le gars : Je peux t'aider ?

-Tu compte me demander jusqu'à que j'accepte ?

-Le gars : Probablement.

Je ris et accepte son offre. Nous passons l'après-midi à faire à manger mais aussi a faire connaissance. Farés de son nom, le meilleur amis de toujours de Saphyr. Ils se connaissent depuis tout petit. Je comprends mieux leur complicité. Il est tellement gentil et souriant par rapport à son meilleur ami. Il aime blaguer, cela lui donne un certain charme. Apres avoir fini de préparer à manger, il me propose de faire un tour dans le jardin.

-Il y a un jardin ? Je ne savais même pas.

J'accepte volontiers sa proposition, après avoir passé une semaine dans la maison. Apres avoir traversé la maison, Farés ouvre une porte qui donne sur le jardin. L'air ! Mon dieu sa fait un bien fou ! Le jardin est tous simplement magnifique ! J'ai toujours aimé les jardins, le vert de la pelouse et surtout les fleurs, les pétales de toutes les couleurs !

-C'est magnifique !

Nous prenons place sur un fauteuil de couleur blanc.

-Farés : C'est Saphyr qui a choisie la maison et la déco d'ailleurs. Saphyr a toujours aimé les choses propres et carré, bien faite. C'est un petit perfectionniste.

Je souris tout en l'écoutant décrire mon mari. Il a une façon de parler de lui comme son propre frère.

-Farés : Et toi alors, qu'est-ce que tu faisais avant ? Parle-moi de toi.

Je lui explique se que je faisais a la fac et a quel point cela me fasciné.

-Bon je vais faire la table, pour que l'on puisse manger.

-Farés : Je vais t'aider.

-Non, ne t'inquiète pas, ça ira.

-Farés : Je pensais que tu me connaissais maintenant.

-Bon c'est d'accord-Je ris-

Apres avoir tout préparé avec l'aide de Farés, j' appel tout le monde pour pouvoir manger. Prenant tout leur temps, Farés et moi continuons à discuter en les attendant. Il me fait rire, ça fait tellement longtemps que je n'ai pas rie, ça fait un bien fou !

Malheureusement cela n'a pas plus à mon mari qui s'est empressé de m'attraper par les cheveux et de me crier des insultes.

-Saphyr : Tu fais ta pute avec mes potes !

Je ne sais même pas comment réagir, il me fait passer pour une telle chose. J'ai tellement honte, mon cœur se déchire encore alors que je pensais qu'il ne pouvait plus.

Il fini par me faire monter à l'étage sous le regard de ses amis. Nous rentrons dans ma chambre ou il me pousse sur le lit et pose son regard assassin sur moi. Depuis plus d'une semaine j'attends qu'il pose on regard sur moi et ce n'est que maintenant dans ses circonstance.

Sa haine n'a fait qu'augmenter, alors il me rua de coups sur le corps et le visage. Mon corps comme a ça sont habitude, il support et affiche des traces. J'ai l(habitude maintenant, donc je ne cris pas seulement des gémissements. Les yeux fermés, j'attends que cela passe. Mes larmes veulent coulaient mais j'essaye de me contenir, je me rappelle des paroles de Zack, je dois être forte. J'ai tellement mal, physiquement que moralement.

- Saphyr : Je ne voulais pas, mais tu me rends ouf !!! Tu va rester une esclave ma petite cendrillon. Minuit est fini et ta fête ne fait que de commencer !!

Il sort de la chambre en calquant ma porte après un énième coup. Ma vu se brouille par les larmes. Je m'examine rapidement et constate que je n'ai pas perdu beaucoup de sang, c'est déjà ça. Mais je sens que mon visage est dans un sale état. Je prends ma camera pour pouvoir me confesser. Je suis épuisé de ses gars... Qu'est-ce que je vais devenir ?

Apres avoir pleuré le stock d'eau de mes yeux et de m'être vider, je décide d'aller me doucher pour me changer les idées. Malheureusement la porte est fermé, il ma enfermé ! Je tape pour que quelqu'un vienne me sauver. Personne de viens a ma rescousse. Je comprends que je vais devoir m'habituer à cette minuscule chambre.

Les jours qui ont suivis, je pense deux jours, le sors s'acharne sur moi. Je suis toujours bloqué dans ma chambre. Mon mari n'a pas l'air de trouver cela bizarre. Je suis allongé toute la journée au sol même a utilisé ma camera. Le sang qui coulait est à présent sec. Je me dégoûte tellement. Ma tête tourne, je ne me sens pas bien. J'ai très faim, je me sens faible. Je n'arrive pas a bouger, je sens mes membres me lâcher peu à peu jusqu'à partir et m'évanouir. 

Dites moi se que vous en pensez en commentaires.

Marteen