CHAPITRE 17

165 15 1
                                    

Il est difficile d'accepter la vérité lorsque les mensonges étaient exactement ce que tu voulais entendre.


Inaya



- Comment je te perçois ?

Eh...bien tu es arrogant, narcissique, imprévisible mais le plus c'est que tu es possessif et égoïste ça ce sont tes défaut, mais tu peut aussi être présent pour moi lorsque je vais mal comme lorsque je vais bien, tu es aussi brillant et intelligent même si tu ne laisse pas voir.

Tu attires énormément le regards des autres qu'ils soient des inconnu comme des personnes que tu connais ce qui en vaut leur admiration envers toi, mais aussi une haine des autres.

Avec moi tu peut être doux dans tes mot comme dans tes gestes et aussi violent dans tes paroles comme dans tes gestes, tu a pitié des personnes de ton entourage et tu les prends de haut, tu es un excellent menteur comme je viens de l'apercevoir, mais j'ai peur que tes mensonges partent trop loin, j'ignore le reste "

Il reste sans voie et continue de me fixer.

- Cela ne va pas te déranger si je te prend ta copine pendant un temps indéterminée, demande-t-il possessive.

Je me retourne pour savoir à qui il s'adresse, et c'est un Yohan souriant que je vois derrière moi.

- Euh....bah non pas de problème, tu peux la garder autant que tu veux, tant que tu la garde loin de moi !

- Eh !

- Mais je blague ma belle j'espère que vous allez rester longtemps ensemble.

Adam me regarde et souris.

- Oui on espère, répond t-il en appuyant bien sur le " on ".

C'est bizarre mais je me sens coupable de ne pas avoir raconter la vérité à Yohan, c'est mon meilleur et le fait qu'il ne sache pas la vérité me fait extrêmement mal, mais je vais le lui dire...quand....quand j'aurais le temps.

Avec mes deux bébé on se dirigent vers la classe lorsque devinez qui vient s'interposer devant nous.

Oui, mademoiselle Nina.

- Salut Adam j'aimerais te parler quelque minutes, sa vous dérange si je vous l'empreinte ?

Elle demande ça si gentiment comment refuser, pfff....je ne vois pas pourquoi elle veut lui parler.

- Bah écoute tu peux lui dire ce que t'as à dire devant eux il n'y a pas de soucis n'est-ce pas.

- Non...mais....Adam c'est vraiment privé.

Je ne comprends pas leurs discutons mais Adam retire sa main de la mienne et part la rejoindre, qui elle évidemment s'empresse de prendre son bras autour du sien, et lui ne la rejette pas.

Je n'ai pas à m'inquiéter....on est pas ensemble, il peut faire ce qu'il veut.

Je vais plutôt en profiter pour dire la vérité à Yohan.

Je pris le bras de celui-ci.

- J'ai quelque chose d'important à te dire.

- Qu'est ce que c'est raconte.

Je lui dit alors la vérité sur la relation que je entretiens avec Adam, sur l'enjeu de cette relation, ce qui c'était passé jusqu'à là, et son comportement étrange.

Enfin, mes paroles fini, alors qu'il m'a écouté sans m'interrompre, choqué par ce que je lui dit.

- Tu sais Inaya votre relation est bizarre, je sais aussi bien que lui que cette relation va te changer en mieux, mais c'est lui dont cette relation va lui changé en mal.

- Voyons de quoi parles-tu ? Yohan, cette relation et depuis le début basé sur une fin heureuse pour tout, pour nous deux, ou une fin triste pour tout, mais pas différent.

- Que recherche tu dans cette relation ?

- Je ne sais pas exactement.

- Mmh .... d'accord tu viens on retourne en classe.

On y vas et Nina débarque, toute chamboulé, heureuse, avec moins de maquillage que tout à l'heure, bizarre, elle a dût faire des cochonnerie avec une autre de ses victimes.

Elle me regard tout en souriant.

Adam débarque dix minutes environ après elle, les mains dans les poches, toujours la même, comme si il s'en fichait du monde entier et entre sans toquer, ni d'excuse pour avoir dérangé le cours.

- Monsieur Miller ou étiez vous encore pour être arrivées bien des minutes après tout le monde ?

- Ne vous inquiétez pas pour moi monsieur je vais très bien, j'étais au toilette pour....vous savez quoi .

- ..Oui....oui n'en dites pas plus et aller vous asseoir, vous ne changerez donc jamais.

- Peut-être que grâce à une fille cela arrivera, dit-il tout en me regardant.

Il se pose à côté de moi et me tend un papier écrit :

"Tout à l'heure attend moi, je viens chez toi."

Never succumbWhere stories live. Discover now