Never succumb

CHAPITRE 6

L'amour c'est comme un élastique, deux personnes tirent dessus, un relache et sa blesse la personne qui a continué à tenir.

Lil Wayne

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Inaya

À la cafétéria je me suis assis avec le groupe.

C'était bruyant, Mike et Ludivine se disputant parce que Ludivine à fait la cours à un blond du lycée devant Mike et que lui n'a pas pu supporter que sa copine drague une personne devant lui et de deux qu'elle à dragué un blond alors que lui est brun ils se disputaient :

- Mike ouvre les deux yeux se que j'ai fait c'est juste pour te montrer ce que toi tu me fais ce genre de chose tout le jours depuis un ans et toi tu t'énerves pour un mec et moi alors plus de cinquante filles, une cinquantaine tu comprend que ça me blesse.

- Pourquoi un blond alors que je suis brun , sa veut dire que tu préfère les blond c'est ça ?

- Mais pas du tout c'est toi qui préfère les blondes , tu crois j'ai pas remarqué que les filles que tu dragues sont que des blonde que des blondes !!!

- Tu c'est quoi j'en peut plus

- Tu veut me plaquer c'est sa ?

- Je ne sais pas on peut en parler tout seul parce que là j'ai l'impression que toute la cafétéria nous regarde.

Il a raison , ils criaient tellement fort que tous les élèves se sont mis à écouter brièvement la conversation , bien sur puisque ce couple et quand même ensemble depuis plus de un ans.

J'arrête de me concentrer sur leur discution mais plutôt sur l'homme qui le fait face.

- Salut Yohan , dit Ludivine avec un grand sourire .

Mon dieu sa sent la drague à plein nez.

- Salut, euh je peut m'asseoir avec vous ?

- Bien sur tiens viens à côté de moi, lui répond Ludivine.

Il s'installe à côté d'elle et me souris.

- Dit Inaya tu pourra venir chez moi à la fin des cours ?

- Ouh alors la petite c'est déjà mit Yohan dans sa poche, crièrent Kevin et Léna en rigolant.

- Mais pas du tout qu'est ce que vous raconter vous , c'est parce que ont le devoirs d'art plastique et sue je dois l'aider.

- Hmm d'accord si tu le dit, s'exclame Léna !

Lorsque je le retourne un peu pour observer la cafétéria je tombe sur Adam il est assis tout seul sur une table à quatre mais pourtant beaucoup de filles le mange du regard.

Quand son regarde croise le mien, j'ai des trucs dans le ventre et une tension règne entre nous, il est là à me reluquer de haut en bas comme si me de dénudé, comme si devant ses yeux j'apparais comme une statut nu d'Aphrodite, comme une proie sous les griffes du prédateur, une sensation unique.

Je vois un petit rictus de sa bouche, un léger sourire , si torride et sauvage à la fois.

J'entends Lena qui rit et me chuchote :

- Arrêté de le maté tu deviens rouge tomate.

- C'est pas moi qui le mate mais lui, lui répondis-je.

Quand je regard de nouveau vers lui il ne me regarde plus mais scrute son plat qui est composé d'une salade d'été et de fruit de mer.

- Vous parlez du nouveau, questionne Sarah ?

- Oui, répondirent Léna et moi en même temps.

- On raconte des rumeurs sur son arriver des rumeurs bizarre en plus de cela.

- Ah oui comme ?

- Bah comme quoi il aurait fuit le foyer familial la ce qu'il à violer une fille le jour de la rentrée et il fut interné ici, et il fuit aussitôt sa maison apparemment il possède un appartement dans les alentours de chez toi Inaya.

- Et quoi d'autre comme rumeurs ?

- D'autre raconte qu'il est sociopathe.

- N'importe quoi ce sont que des blabla tout cela pour lui créer une cause image de lui.

- J'avoue, approuva Léna.

Je ne voulait plus terminer mon plat et je sortis.

- Prend quand même un café, cria Léna !

On dirait ma mère mais au lycée.

Une fois sortit je me dirigeais vers la machine pour prendre un café au lait, oui par rapport au autre lycéen moi je ne bois pas du café complet mais au lait.

Je partis pour aller dans cours en pelouse , à gauche j'apercevais un couple s'embrasser pardon s'embrasser est un petit mot il se dévorer la bouche on aurait qu'il était sur le point de baiser ici sur place.

Je me retourna d'eux pour aller vers le banc quand je tombe nez à nez avec Yohan.

- Que me veut tu enfaite ?

- Rien j'aime prendre l'air frais.

- C'est pas à moi que tu vas faite gober ça .

- Bon alors tu es d'accord pour venir chez moi cet après-midi.

- Bah oui

- Super bah dès qu'on finis on s'attend et y va.

- D'accord.

Il reste là à regarder la pelouse et quand regard se dirige vers le couple qui se mange les lèvres il se retourne vers avec une expression de dégout je ne pus m'empêcher de rire face à la tête qu'il faisait.

- Franchement c'est quoi ce genre de couple y'a des endroit pour ça après je dit ça je dit rien, hurla t-il au couple.

Je ne puis m'empêche de hurler de rire lorsque le couple se retourne vers lui lui montrant leur troisième doigt et se manger encore plus la bouche beurk.

- Bon salut princesse je ne peux pas rester ici longtemps à tout à l'heure.

Je le salua, je commence à vraiment apprécié Yohan il y est franc et cool je trouve il n' est pas hypocrite.

Mes yeux tombe sur un corps allongé au sol une main sur le visage et l'autre sur la poitrine, je me dirigea vers lui, et quand je fus assez près de lu, je lança un petit :

- Salut

Il enleva son bras, ses iris était d'un bleu mais obscur à la fois intense qui te déshabille simple.

- Salut tu es qui ?

- Moi c'est Inaya et toi ?

- On se connais .

Euh bon bah je pense que je vais aller me pendre là tout de suite parce que sa me fait mal au coeur.

Je fis une grimace qui le fis sourire et d'un coup sec j'avala le café restant.

- Tu ne te souvient pas de moi ?

- hmm

- Je m'en doutait .

- Non, je plaisante comment oublier celle qui à fait chier ( énervé ) la prof de français.

- Oui c'est vrai qu'il sur le coup j'aurais du réfléchir avant d'agir.

Il souriait et ses yeux me rends curieuse des yeux si clair mais si sombre à la fois , que cache cet personne.

Son sourire qui envoi quelque chose de tordu et il se lève et son épaule effleure la mienne et la main aussi des frissons le parcoururent.

- Chaque dois je te touche ou frôle tu frissonne, dit-il en souriant.

- C'est le froid.

J'ai les jambes trembleuses et il part.

J'essaie de récupérer tant bien que mal.