CHAPITRE 10

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Parfois, ce n'est pas la personne elle-même qui te manque.
C'est plutôt les sentiments que tu avais lorsque tu étais avec elle ou lui. 


Inaya


La demeure d'Adam ressemble à une magnifique villa d'un blanc cassé, avec un style colonial, une piscine devant, des volets dorés, et un grand jardin avec des magnifique fleurs, devant moi, un immense portail ouvragée, chaque fenêtres de cette villa possède des rideau dorés.

Un peu plus les un des arbres même une forêt, est ce que c'est tuteurs sont des anciens et chasse ?

À coté de sa demeure on peut apercevoir le garage, assez grand , je pense que à l'intérieur on peut trouver plusieurs marque de voiture.

Des collectionneurs ? Quelque habitations et une ferme.
Une maison pareil doit avoir énormément de main d'œuvre.

Je me retourne vers Adam qui et en train de me observait et ne rate rien de la curiosité et je ne peux m'empêcher de lui demandé :

- Des habitations ?

- Sûrement pour les domestiques ?

- Tu possède des domestiques ?

- Pas moi mais mes parents , me répond-t-il sévèrement !

Il a les sourcils qui se rapproche et je devine que parler de sa famille n'est pas un plaisir pour lui, alors il le ce sa main et presse le bouton, une personne répond et demande qui nous sommes.

- Veux-tu bien ouvrir la porte Richard ?

- Oh! C'est vous monsieur, pardonnez moi , vous n'avez pas pris vos clé ?

- Non je les ai oubliés, répond-t-il un air fatigué.

- Bien Monsieur, je vous ouvre tout de suite.

Le grand portail s'ouvre, on se dirige aussitôt dans le domaine de sa famille, on s'avancent long de l'allée virgule il reste silencieux.

La porte s'ouvre et devant nous se trouvait une jeune femme vêtue d'une longue jupe blanche et d'un haut à carreaux avec des talons d'environ dix centimètres environ, lorsqu'elle aperçoit Adam elle baisse la tête et prononce :

" Bonjour monsieur bienvenue. "

Et moi alors je l'air invisible, c'est vrai que à côté de lui j'apparaîs comme une poubelle mais à ce point.

Elle est quand même jeune la domestique, deux ans de plus que moi je pense et un an de plus qu'Adam.

Il lève ses yeux, et les dirige vers la dame en question et la regarde de haut en bat, elle rougit.

Bon au moins j'aurais pas à lui demander si il on couché ensemble, devant moi j'aperçois le spectacle , qui est sous mes yeux.

Il sourit et se dirige vers Le centre de la pièce, enlève sa veste et la jette sur le grand canapé en forme de U, au centre de ce canapé il y a une table basse assez longue et un tapis gris cassé très beau.

Il monte les marches et se dirige sûrement vers sa chambre, je le perd de vu et monte rapidement les marches à mon tours, mais arrivé au deuxième étages oui deuxième parce qu'il y'a un troisième dans cette demeure, je vois plusieurs porte et je ne puis dire laquelle est celle d'Adam.

Mais celle qui se trouve au fond à l'air étrange donc je me dirige vers celle-là, je regarde à gauche et à droite et toque, et j'entends : " Entrez " !

Je pousse la porte et entre dans sa chambre qui est immense, j'ignorais que sa chambre était si bien ranger, je le voyais pas comme ça, les garçons leurs chanson salle, et tout traine alors que lui, tout est correcte un billard sur le côté, ses chaussures sont correctement rangé dans un meuble, il est loin de ressemblé à cet image d'adolescent de 17 ans, il est l'inverse de ses personnes.

Adam est posé sur son lit, les mains derrière la tête, le visage fermé, on arrive pas à lire ni a détecté ses pensées, je suis tellement mal à l'aise dans cette chambre si grande et si vide, je repère une chaise et m'avance pour m'y asseoir, j'évite de le regarder.

Après un long silence qui m'a paru infini , il ouvre enfin la bouche.

- Tu va rester là sans parler à deux mètres de moi.

- C'est toi qui ne m'adresse pas la paroles, et tu reste silencieux sur ton lit.

- J'ai demandé à Amanda de nous ramener des canettes et un cadeau.

- Mmh....

- Il y'a un problème ?

- Non pas du tout.

- Bon, quand tu saura mentir tu m'appelle.

- Bon, j'ai une question, toi...toi et...Amanda....vous... , lui demandai-je gêné ?

- Oui je l'ai baisé, me répond-t-il sans gêne.

Je le regarde bouche bée, son vocabulaire est comment dire....très violent est salace .

- Je l'ai baisé dans ma chambre c'est d'ailleurs avec elle que j'ai perdu ma virginité elle est tellement bonne au lit , et c'est sur le chaise que tu es assis qu'elle ma fait une fella....

- C'est bon c'est bon ! J'ai compris ah mais tes crasseux, tu as aucune gêne à me dire tes expérience sexuelle comme ça ?!

Je me lève rapidement de la chaise et la pousse au sol honteuse d'avoir posé mes fesses ou ils ont fait leur première expérience.

- Tu a l'air nerveuse et mal à l'aise, dit-il d'un air moqueur.

- Bien sur puisque c'est le cas.

- Qu'est ce qui te stresse, le fait d'être chez moi.... dans chambre ou ce que je viens de te déclaré.

- Un peu de tout ce que tu viens de dire justement.

Il me regarde sans sentiment, son dévisage ne se déforme à peine il est indéfinissable.

- Tu es silencieux, je me demande bien pourquoi je suis présente ici.

Il reste là a me observer sans rien dire il est toujours un intacte.

- C'est simple tu en avais envie sinon tu ne serais pas venu.

- Tu me l'a aussi proposer, je c'est pas si tu t'en rappel.

- Et alors, si je te l'ai demandé c'est que je le voulait , et si tu es venu c'est que tu le voulais, pourquoi regrette tu  ?

Never succumbWhere stories live. Discover now