Supernatural : Une nuit avec Dean

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🔞ATTENTION LEMON🔞
Commande de @DavinaTreet
Désolée pour le retard, bonne lecture :)

J'étais tranquillement installée sur le canapé du bunker en train de lire un livre sur les goules quand Dean entra en trombe.

- J'ai une affaire ! S'exclama-t-il.

Je jetais un coup d'œil à Sam et le vis se tendre. C'était le moment parfait pour mettre notre plan à exécution.

- Je viens avec toi, dis-je aussitôt.

Je vis Dean regarder son frère et semblait attendre qu'il dise quelque chose.

- Je reste ici, finit par dire le géant.

Le regard de Dean était plus que soupçonneux mais il ne dit rien. Je m'empressais de l'emmener dehors et montions dans la voiture, direction la maison hantée. Je savais que mon coéquipier se doutait de quelque chose mais c'était le seul moyen que nous avions trouvé.

On faisait tout notre nécessaire pour trouver un remède à cette fichue marque de Caïn mais sans en parler au principal concerné. Combien de fois il nous avait ordonné d'arrêter toutes nos recherches parce que, soit disant, ça ne servait à rien.
Nous n'étions pas du tout d'accord avec Sam, c'est pourquoi nous faisions tout pour le tenir éloigné. Sam avait trouvé une piste intéressante et il devait y aller avec Castiel. C'est pourquoi j'ai sauté sur l'occasion pour l'emmener le plus vite possible.

Il ne fallut pas longtemps avant d'arriver sur le lieu de notre chasse. Nous prenions tout ce dont nous avions besoin avant de nous jeter dans la gueule du lion. Il s'avérait que c'était juste un petit esprit vengeur. Ce ne fut pas bien compliqué de nous en débarrasser. Mais alors que je m'apprêtais à mettre le feu au cadavre, ce que je redoutais le plus se produisit.

Ma main effleura celle de Dean quand je pris son briquet. Aussitôt j'eus la chaire de poule, j'avais l'impression que son touché m'avait brûlé. Un simple coup d'œil m'apprit qu'il n'en menait pas large non plus. Je me raclais la gorge en espérant que cette étrange impression disparaisse vite. Je brûlais vite le corps avant de me dépêcher de sortir de la maison. Mais je ne pus faire le moindre pas que je me retrouvais violemment plaquée contre un mur.

Des lèvres avides s'emparèrent des miennes et des mains autoritaires se posèrent sur mes hanches. La seconde d'après tout était finie et il était déjà parti. Il me fallut au moins une minute pour reprendre mes esprits et me rappeler que je devais rentrer au bunker. Je rejoignis la voiture dans un état second, je me demandais même comment j'avais fait pour réussir à marcher jusqu'à elle.

Le chemin du retour était vraiment désagréable, la tension était beaucoup trop grande. Je me forçais à regarder droit devant moi et pas le canon à mes côtés. Mais mes yeux dérivèrent d'eux-même et ça n'arrangea rien à la situation. Ses mains étaient crispées sur le volant, signe qu'il était tendu. Je ne pus m'empêcher de me dire qu'il regrettait et ça me fit plus mal que je ne l'avais imaginé.

Une fois arrivée, je me précipitais dans ma chambre avec l'intention de me coucher et de tout oublier. Mais après m'être retournée un incalculable nombre de fois, je décidais de me lever. Mes pas me menèrent directement dans sa chambre. Sans me poser plus de question je rentrais et le retrouvais allongé dans son lit mais réveillé.

Je n'hésitais pas à le rejoindre et m'installais à ses côtés. Dès que je me fus glissée sous la couverte, des bras musclés m'encerclèrent et me rapprochèrent de lui. Des caresses se firent sentir et bientôt la raison laissa place au désir. Il ne mît pas longtemps avant de s'installer au-dessus de moi.

Je perdis vite la notion du temps avec ses caresses et ses baisers. Mes yeux de fermèrent automatiquement quand il entra en moi. Contrairement à ce que je croyais, il était doux et attentionné. Nos hanches se heurtèrent à chacun de ses mouvements. Ses lèvres voyageaient entre mon cou et mon visage, c'était plus qu'agréable. Mes mains passaient dans ses cheveux et son dos, nos souffles se mélangeaient et devenaient de plus en plus erratiques.

Ma tête partit en arrière quand je jouis. Il me mordit la lèvre inférieur quand se fut son tour. Nous redescendions doucement sur Terre dans les bras l'un de l'autre, heureux et comblés.

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