You've messed up my mental health (1D Fanfic)

01.You brought water to my desert

"- Ton amoureux est là, vas t'occuper de sa table ! Me dit Emma d'un ton amusé. 

Je lève le regard en entendant parler ma collégue et il tombe sur le garçon aux cheveux chatains assit à une table prés de la fenetre du café. Tiens c'est bizarre, je le vois souvent ces derniers jours ! Je pense, mais ce n'est pas pour me déplaire. Au contraire je le trouve trés attirant et ça ne me dérange pas du tout de le reluquer pendant mes heures de travail. Suivant le conseil d'Emma je prend un bloc note pour noté sa commande et vais vers lui, mais lorsque je m'approche une brunette viens à ses côtes et il l'a regarde comme si elle la seule fille au monde. Déçue, je retourne derrière le contoire sous le regard pleins de pitié d'Emma qui se propose pour aller prendre la commande. 

" Qu'est que tu croyais Jacelyne, qu'un beau comme ça allait s'intéresser à toi ? T'est vraiment pathétique comme fille ! "  dit une voix mesquine qui résone dans ma tête. 

---------------------------------------

Lorsque je relève le regard vers le Docteur Riley, je vois clairement toutes l'ampathie qui y est inscrit. Mais j'en ai marre que les vieux me regardes de cette manière, je suis pas une cause perdu bon sang ! Tout de même en y pensant ce souvenir me fait même un peut pitié à moi. Rassurez-vous depuis tout le temps, j'ai beaucoup plus confiance en moi et c'est tant mieux d'ailleurs. Mais ma thérapeute n'a pas l'air d'être du même avis que moi, ses yeux gris pleins de sagesse me fixe d'un regard interrogateur. Elle me scrute, se demandant sûrement ce que je peux bien faire en thérapie si je vais si bien que ça. Pour être honnete, j'en sais rien mais de parler avec quelqu'un de tout ça me fait du bien, alors je reviens à chaque séance. J'ai pleins de gens avec qui parler, mais de savoir qu'elle est tenu au secret médical et que donc, je ne révelera jamais à la presse tout ce que je lui dit et bien ça me met plus en confiance. 

" Et que pensez-vous de Sophia, sa nouvelle amie ?" me demande t-elle sur un ton plat. 

"Je n'ai rien à penser d'elle." 

"Mais vous l'a connaissiez déja lorsque vous fréquentiez Liam, n'est-ce pas ?" 

"Oui, je ne l'aimais pas à l'époque" répondis-je rapidement, avant de me rendre compte de ce que je venais de dire." Mais elle à l'air d'une fille sympa." 

"Pas celon beaucoup des fans de Liam et vous n'avez pas l'air de vraiment pensez ce que vous dites, aussi. 

Bon là, elle commence à me souler. Que veut-elle que je fasse ? Que je pense à Liam entrain d'enlacer cette fille qui le rendait tellement malheureux déja à l'époque où on s'est rencontrer ? De penser à lui tout court ?! Non merci, ça me fait trop mal. 

" Il est heureux avec elle et puis de toute manière je ne crois pas qu'un jour j'appricerais la fille avec qui il sort." Je lâche, un sentiment de jalousie se faisant sentir en moi. 

" Parce qu'elle ne sera jamais vous" Finit ma thérapeute, le ton résigné. 

Aprés ça, elle me laisse enfin sortir en me serrant la main et me donnant un regard d'encouragement. Elle me dit que mon prochain rendez-vous avec elle et dans deux semaines, apparement je vais assez bien pour ne pas l'a revoir avant cette date. Mais en toute honneteté, je crois que je ne tiendrais sûrement pas aussi longtemps avoir d'avoir besoin d'une séance. Même si je vais bien-ou du moins c'est ce que je crois- je pense toujours à cet enfant que je portais il y a encors quelques mois. Aprés tout c'etait le fruit de mon histoire avec Liam ,cette trace de nous deux qui serait sur terre une fois qu'on l'aurait quitté. Je ne pense pas que ce soit possible, d'arreter de penser à son enfant même des mois qu'il n'est plus avec vous. C'est impossible, inhumain de ne pas l'imaginer sourir, de ne pas l'imaginer parler, c'est encore plus dur de ne pas l'imaginer rencontrer son père pour la première fois. Mais c'est qu'il y a de plus dur encore, c'est de ce sentir coupable chaque jour parce que vous savez trés bien que c'est de votre et de votre seulement que votre bébé et vous êtes séparés.