"Miss Fire." dit une voix féminine derrière moi.

Je me retourne et je vois le professeur McGonagall.

"Professeur McGonagall je suis très heureuse de vous revoir." lui dis-je.

"Moi aussi miss." me dit-elle.

"Connaitriez-vous le mot de passe par hasard ?"

"Bien sur, c'est dragibus. Nous nous reverrons au dîner de ce soir. À ce soir Miss Fire." me dit-elle.

"À ce soir professeur." lui dis-je.

Je dis le mot de passe et les escaliers s'ouvrent. Je rentre dedans et je me retrouve dans le bureau du professeur Dumbledore.

"Ah bonjour miss Fire, je vous attendez." dit le professeur Dumbledore en caressant son Phoenix.

"Bonjour professeur Dumbledore. Bonjour Fumseck." dis-je en caressant le Phoenix.

"Comment allez-vous ?" me demande t-il.

"Très bien professeur. Pourquoi avez-vous demandé à me voir ?" lui demandais-je.

"Tout d'abord je sais que Harry vit chez vous et que vous êtes sa tutrice légale cependant j'aimerai savoir quels sont vos intentions ?" me demande t-il.

"Professeur ! Vous savez très bien que je ne ferai aucun mal à Harry et je ne vous trahirai jamais." lui dis-je.

"Je vous crois miss mais je devais m'en assurer je sais que quand il s'agit de lui vous êtes très influençable." me dit-il.

"Je sais mais ne vous inquiétez pas j'aime Harry comme mon fils jamais je ne lui ferai du mal." lui dis-je.

"Maintenant j'ai ce que vous m'avez demandé." dit le professeur puis reviens avec une photo dans les mains. Il me la tend et dessus il y a une petite fille qui à l'air d'avoir 5 ans avec des yeux bleu et des cheveux marrons comme les miens.

Je ne peux m'empêcher de pleurer.

"Est-ce qu'elle sait ?"

"Oui tout lui a été expliquée c'est un fille très intelligente. Tout lui a été révélée sauf l'identité de son père. Tenez elle vous a écrit cela." dit-il en me tendant une lettre.

Chère maman,

Tu me manques beaucoup je sais que je dois rester cachée même si je ne sais pas pourquoi mais je veux te voir je ne sais même pas à quoi tu ressemble maman.

Bisous, ta fille qui t'aime.

Cette fois un torrent de larme coulent de mes yeux. Mon bébé chérie moi aussi je t'aime. Je t'aime plus que tout.

"Professeur laissez moi la voir." lui dis-je.

"Vous savez bien que c'est trop dangereux." me dit-il.

"Je vous en pris." le suppliais-je.

"Très bien suivez moi." dit-il.

On passe par la cheminé et on atterri dans un salon très chaleureux avec un homme et une femme assit sur le canapé.

Celle-Qui-A-Tout-ChangéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant