MON SECOND SOUFFLE

⋰Chapitre 15⋱

Après un long moment à se câliner sans bruit Dylan cassa le silence.

-Amélia, je te force à rien mais j'aimerais beaucoup que tu m'explique ce qui c'est passer avec Maxime.

-Comment ça ? Demandais-je en m'éloignant de son torse pour lui faire face.

-Comment et pourquoi il s'est donner la mort, comment il a pu partir en te laissant seule ? Demande-t-il en me serrant plus fort contre lui.

-D'accord, ça va peut-être que ça va me faire du bien.

Flashback

Cela fait maintenant 3 mois qu'on est rentré au lycée avec Maxime. J'ai l'impression de vivre un rêve éveiller. Je fais partis d'une équipe de cheerleaders avec des filles en or et digne de confiance. Mon copain est l'assistant du capitaine de l'équipe de football. Tout le monde, nous idolâtre et nous respect. Je vis sur un petit nuage. On passe tout notre temps libre ensemble et l'encourager à ses matchs me comble de bonheur. Rien ni personne ne pourra nous faire du mal. On sera ensemble jusqu'à que la mort nous sépare.

Depuis quelque semaines, Maxime est beaucoup pris par ses entrainements de football, il a souvent des entretiens avec Vincent et quand il en ressort, il est d'une humeur massacrante. Ducoup, pour éviter de nous en gueuler, je préfère prendre mes distance el temps qu'il se calme. D'après mes copines, c'est sûrement pour lui léguer la place de capitaine. Étant un jeune joueur prodigieux, ce serait un honneur pour notre établissement qui soit le capitaine de notre grandiose équipe de football. Je serai super contente qu'il soit lui aussi capitaine de son équipe mais si c'est pour qu'il soit toujours de mauvaise humeur. Je préfère qu'il refuse.

Un jour après mon entrainement, j'ai décidé de l'attendre devant sa voiture. Je voulais qu'on discute de notre relation, je voulais lui dire qu'il me manque. Alors que tous les joueurs sortaient un après les autres des vestiaires. Maxime, lui n'étais toujours pas là. Pourtant, il n'est pas du genre à trainer dans les vestiaires.

Je décide d'aller voir ce qu'il faisait. Il me semble qu'ils sont tous sortit. Et qui sait, on peut être s'amuser un peu dans ses vestiaires avant de rentrer. Je m'approche gentiment quand j'entends des gémissements de fille. Sûrement un des joueurs qui doit s'amuser avec sa copine dans les vestiaires me pensais-je. Mais ma curiosité sur développer, voulais avoir qui c'était ? J'entrouvris la porte quand je l'ai vu L'homme que j'aimais le plus au monde et Chloé, la fille que je considérais comme ma sœur. Les deux entrains de s'amuser...

Prit par un élan de colère, j'ouvris grand la porte, avant de me mettre à pleurer et à leur hurler des choses horribles. Comment osaient-ils me faire ça ? moi qui avait toujours été là pour les deux. En me voyant dans cet état les deux protagonistes ne s'arrêta pas pour autant. Je me souviens de Maxime qui me demande de partir car il est légèrement occupé. Je me souviens de son tec sec et son regard remplit de haine comme si tous cela était de ma faute. J'ai couru le plus loin possible. Je ne voyais rien du aux larmes qui coulaient sur mon visage. Je voulais juste partir le plus loin possible oublier cette scène. Je me disais que c'était qu'un cauchemar. Mon imagination dû à la fatigue que ce n'était pas eux. Je suis rentré chez moi, frigorifier et anéantie. C'est là que j'ai commencé l'automutilation. Je me suis enfermé dans ma salle de bain pris une lame de rechange de mon rasoir. Et m'ouvrit les veines pour faire sortir ma peine intérieure. Je n'avais plus de larme pour pleurer, alors il fallait que je pleure avec mon corps. J'ai passé la prie nuit de toute ma vie.

Le lendemain matin, ma meilleure amie ne faisaient comme si rien ne s'était passé et mon petit ami pareil. J'ai eu l'impression que j'avais halluciné que c'était mon imagination. Mais quand j'en ai voulu en parler à Maxime il m'a répondu