L'embarras de choix

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Règle numéro deux, lui faire succomber à mon charme. Je me sentais honteuse. Mais il ne fallait pas l'être, surtout avec Jean. Je pris une douche avec un savon très parfumé. Après les toilettes, je portai alors une jupe taille haute moulante de couleur noir, un haut sauté qui arrive juste au-dessous de mes seins et qui faisait voir un peu la rondeur de mes seins qui était de couleur jaune. Je mis une mini veste de couleur noir, des chaussures hautes talons et le sac assortie à la couleur du haut. J'attrapai mes cheveux en un chignon. Je me maquillai légèrement mais tout en précisant les contours de mes yeux, et ma bouche en rouge à lèvres rouge.

Je jetai un coup d'œil au miroir et je n'arrivais pas à croire que c'était moi qui étais habillé ainsi.

- Waouh Céline tu es magnifique, dit Camille en ouvrant grand ses yeux.

- Merci Camille.

-Alors je te dépose ?

- Non merci, il a dit qu'il va envoyer son chauffeur. Je lui avais indiqué ici.

J'entendis une voiture klaxonner. Cela devait être le chauffeur ; je fis alors un biz à Camille et sortis de la maison. Le chauffeur me fit signe et je rentrai dans la voiture. Le chemin était silencieux et en plus j'étais pensive de ce qui allait se passer. Je reçu un message de la part de mon inconnu qui disait de me rendre à la chambre 216 au 4ème étage une fois arrivé.

On arriva alors devant le plus grand hôtel de la ville. Je descendis alors de la voiture et me diriger vers celui-ci. J'allais vers la réception quand je remarquai un homme qui retenu mon attention.

- Bonsoir mademoiselle, dis-je à la réceptionniste. J'ai un rendez-vous à la chambre 216.

- Ah c'est vous mademoiselle Céline ? veuillez me suivre.

J'entendis alors la voix d'un homme que je connaissais très bien qui m'appelait. Et (oh mon Dieu) c'était CHARLIE. Je ne savais pas si je devais courir, rester, crier ou disparaître. J'avais tellement peur.

- Céline, mais qu'est-ce que tu fais ici ?

- Ne t'approche pas de moi ou je cris. Dis-je avec un regard furieux.

- Non s'il te plait Céline...

- Il ne me plait pas, assassin.

Sur ce, je me dépêchai de rattraper la réceptionniste qui m'attendait. On prend alors l'assesseur et nous nous rendîmes au 4eme étage. Elle m'indiqua alors la chambre et reparti. Je toquai et un bruit se fit entendre et j'ouvris la porte.

C'est une suite. Avec le salon et la chambre à coucher. La personne était assise sur un fauteuil et me regarda tout hébété. Il se leva alors et me fit des accolades.

- Je ne pensais pas que vous étiez si belle. Mademoiselle

- Merci monsieur.

C'était un homme d'à peu près entre 45 et 50 ans. Il était bien battis quand même. Il avait porté une veste noire avec la cravate rouge. Il était de teint noir. On pouvait ressentir dans son regard qu'il était un Bad boy dans sa jeunesse. Mais après l'avoir bien regardé, je me rendis compte que c'était le premier ministre de l'Etat MATY Derrique, je n'arrivais pas à y croire. Comment Cam a eu son numéro ? Mais tout ce qui comptait pour moi, c'était de sortir Jean de la.

La rencontre de Charlie m'avais un peu bouleversé, et j'étais pensive.

On commença à discuter, il ne cessait de me faire des compliments. Et me dire combien de fois je lui plaisais. Mais à un moment je ne suivais plus la discussion, j'étais toujours pensive.

- Céline, qu'est-ce qui vous arrive. Vous semblé pensive.

- Non rien monsieur. Ça va

- Non je sais détecter quand quelque chose ne va pas.

Je ne savais pas si je devais lui dire où pas ? Mais dans tous les cas, je n'avais rien à perdre à lui raconter toute l'histoire.

Je lui racontai alors toute l'histoire. A la fin, je remarquai qu'il avait l'aire vraiment triste.

- C'est vraiment écœurante votre histoire Céline. Mais comme vous saviez, tout est possible avec moi. Je peux faire sortir votre petit ami de là. Il suffit juste que je passe un coup de fils.

- Vraiment ? fis-je contente.

- Oui je veux vraiment le faire pour toi. Tu veux vraiment le voir sortir de là n'est-ce pas ?

- oui monsieur plus que tout au monde.

- D'accord. Je le ferai tout de suite d'ailleurs. Mais à une condition.

- Tout ce que vous voulez monsieur

- Que vous ne le contactez plus jamais. Si je peux te tutoyer, tu me plais beaucoup Céline. Et quand j'aime une personne, je ne veux la partager avec personne. Je veux qu'elle soit la uniquement que pour moi seul. Je ne supporterai pas te partager avec quelqu'un. Si tu acceptes cette condition Céline, je passe le coup de fils devant toi et il sera libéré.

Je n'arrivais pas à y croire. Je veux vraiment que Jean sorte de là. Mais comment pourrai-je vivre sans lui ? Alors que c'est justement pour être avec lui que je fais tout cela ?



Fin du chapitre. A votre avis, que doit faire Céline ? Devrait-elle accepter ou refuser la proposions de Jean ? A vos claviers ;) c'est encourageant.

Mon rêve devient réalité [terminé]Opowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz