L'arrestation

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Je n’arrivais pas à y croire, Jean étais assis sur un fauteuil. Quand il me vit, il court et me pris dans ses bras. Il m’embrassa sur ma bouche.

- Mais Jean, où était tu passé. Pourquoi est-ce que Charlie et son père m’ont mis dans cet état ? 

- On n’a pas le temps Céline. Il faut nous enfuir. Sinon ils risquent de nous retrouver très vite. Et surtout excuse-moi. J’étais obligé de procéder comme cela afin de pouvoir de sauver.

- Mais Jean il faut qu’on règle le problème. Nous enfuir ne résoudra aucun problème. Il faut qu’on les affronte.

- Céline, tu ne sais pas de quoi ils sont capables. Pour le moment on n’a pas de solution que de s’enfuir. Et le reste viendra. Et en passant, remercie Camille de ma part c’est elle qui m’a aidé à te retrouver. 

Camille sortie alors d’une chambre juste à côté et rentra. J’étais tellement contente que j’ai versé les larmes. On s’enlaça alors dans les bras. Tellement elle m’a manqué. 

- Mais Camille comment est-ce que tu as pu me retrouver ? 

- Quand j’étais venu, j’ai appelé sur ton numéro. Mais pas de réponse. Donc je suis parti chez toi vérifier si tu étais là. Mais arrivé, à voir l’aspect de ta chambre j’ai su qu’il t’était arrivé quelque chose. Alors j’ai fouillé ta maison et j’ai vu le portable de Charlie qui était sous le lit à moitié cassé. je le pris alors et l’alluma, je vis la conversation de lui et son père. J’ai commencé alors mes recherches et quelque jour après, Jean m’appela en disant qu’il n’avait pas eu de tes nouvelles et qu’il t’appel sans réponse. Et c’est là que je lui ai relaté les faits. Alors, il me rejoignit et on commença les enquête ensemble. 

- Oh Camille, je te remercie beaucoup tu es une vrai amie.

- Alors, vous n’avez pas le temps. Rentre dans cette chambre, prend une douche vite fait et change toi, je t’ai amené quelques vêtement. Faites vite avant qu’il ne remarque ton absence.

- D’accord merci beaucoup.

Ce que je fis alors. quelque minute plus tard, je reviens alors en une robe marron évasé, descendant jusqu’aux genoux. Jeans me dévisagea et se pinça ses lèvres. Il s’approcha de moi et posa ses lèvres sur les miennes. Il posa des petits baisés sur mon coup. Des papillons chatouillèrent mon ventre. Il m'avais beaucoup manqué.

- Hé he les tourtereaux. Ce n’est vraiment pas le moment. Dit Camille. Dépêchez-vous.

- On arrive. Dis-je avec un sourire aux lèvres.

- Je te promets qu'une fois terminé, tu ne regretteras pas mon amour. dit Jean

- Jean tu es ma vie. Même quand tu étais parti, je savais que tôt ou tard, tu reviendra me donner d’explication. Je t’aime Jean. L’essentielle est que je sois avec toi.

- Je t’aime aussi mon amour.

- Allez !!! dit Camille. Merde je vous attend. Une fois loin, vous pouvez vous faire mille déclaration.

Camille m’avait alors préparé quelques affaires. On déscendi alors de l’appartement et on rentra dans la voiture de Jean. Camille me dit alors aurevoir et me promet qu’on se reverra. Jean alla parler avec l’autre mec qui m’avait enlevé de mon cachot. Et vint alors prendre le volant. On roula sur quelques kilomètre un peux en silence. Jean me dit alors qu’on allait faire une escale dans un kiosque pour manger un truc avant de continuer. Car j’avais faim.

On s’arrêta alors et je commandai un hamburger avec un coca, et lui un shawarma. L’endroit où se trouvait le kiosque était un peu reculé de la ville. Il y avait des arbres un peu partout et des herbes. La verdure était tellement fabuleuse et il y avait de l’aire pure. Cela fait un peu longtemps que je n’avais pas respiré de l’air frais. Vu qu’apparemment, j’étais absente pendant un mois.

- Céline, laisse-moi te raconter ce qui se passe alors. J’avais entamé une affaire avec le père de Charlie. Mais à un moment, je me suis rendu compte qu’il avait fraudé suite au remboursement à la banque. Alors je lui ai dénoncé et il a été épargné de l’affaire. Comme il a de l’influence sur l’Etat, et aussi quand il a su que tu plaisais, et que tu plaisais à Charlie aussi, il m’a fait des chantages et m’a dit que si je ne te laissais pas tranquille, il allait en finir avec moi et la suivante serait toi. Alors j’ai jugé bon de disparaitre un moment. Mais Céline, je n’arrivais pas à résister. Je pensais trop à toi alors j’ai décidé de revenir et d’en finir avec eux.

- Oh Jean. Je t’aime. 

Je me penchais alors pour déposer un baisé sur ses lèvres quand on entendit les sirènes de la police. Ils nous encercla alors.

- Les mains en l’aire monsieur. Dit l'un des policier. Madame éloigné vous de lui. Vous êtes en état d’arrestation pour le kidnapping de mademoiselle Céline Dacrouze. Tout ce que vous direz pourrait être retenu contre vous. 

- Mais, messieurs, il ne m’a pas enlevé ! laissez le tranquille.

Ils m’écartèrent alors de Jean et lui passa les menottes. Je pleurais à chaudes larmes. Pour qu’ils lui laissent tranquille je les donnais des coups de point en vain. Ils lui emmenèrent jusqu’aux voiture et l’enfonça dans l'une. Je tantais de les suivre mais ils m’écartèrent toujours. Jean cria alors.

- Je t’aime Céline. Ne t'inquiète pas ça va aller.

- Je t’aime aussi Jean, et je ferai tout pour te faire sortir de là.

Les voitures policières s’éloignèrent alors de moi. Je pleurais sans cesse. Je me couchai sur les herbes j’étais abasourdi. Comment allais-je faire ?



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Mon rêve devient réalité [terminé]Where stories live. Discover now