Mon rêve devient réalité [terminé]

Nouvelle Déception

A ma grande surprise, il y avait ni Jean ni personne à côté de moi.

- Jean ? Tu es la ?

Je me levai du lit et j'allai dans la salle de bain. Je me disais qu'il sera la. Mais rien du tout. Il n'y avait rien, ni ses vêtement. Je sorti alors vérifier qu'il y aurait peut-être sa voiture dehors. Négatif.

Bon Dieu. Comment ai-je pu en arriver là ? Était-ce la seul chose qu'il voulait et maintenant qu'il la eu il allait se réjouir et me laisser souffrir ?

Je me rappelai qu'il m'avait appelé hier et que son numéro sera toujours dans mon portable. Je le pris alors et chercha son numéro pour l'appeler. Ça sonné une seul fois et l'appel interrompit. J'ai essayé une deuxième fois, troisième fois, plusieurs fois mais rien. Jean s'était volatilisé. Il est parti sans me laisser aucun mots ou bien même quelque chose qui pourrait justifier son absence. Mais pourtant il paraissait sincère la veille, je voyais dans son regards qu'il m'aimait vraiment.

J'étais embrouillé. Je ne savais pas où passer ni où marcher. Quoi faire ? Ma tête allait s'exploser. Je n'arrive pas croire que la même chose puisse m'arriver. Un homme s'est encore foutu de ma gueule. Qu'allais-je devenir sans Jean ? Il m'avait fait rêver j'avais vraiment cru que cela allais marcher cette fois si et que mon rêve allait se réaliser. Décidément, tous les hommes sont les mêmes. Oooh mon Dieu. Qu'ai-je fais pour mériter cela ?

- Jean ohhh Jean reviens. Je ne peu pas vivre sans toi.

Je ne savais pas d'où les larmes venaient. Mais elle coulait sans arrêt sur mes joues. Je ne pouvais plus me retenir, je pleurais a chaude larmes, comme un enfant qu'on venait de frapper.

- Toc toc toc, ma Cece tu es la ? c'était Camille.

Je ne pouvais même pas répondre. Je pleurais toujours.

- Ooohhh Céline qu'est-ce qu'il y a ? qu'as-tu ?

Je n'arrivais toujours pas à parler. Je prenais tout mon temps à pleurer. Céline malgré qu'elle ne savait pas la raison, elle ne pouvait pas me voir pleurer sans le faire aussi. Elle m'accompagna alors en me serrant dans ses bras. Elle me consola et quand on se calma, je lui racontai depuis l'arrivé de Jean jusqu'au matin.

- Céline je suis vraiment désolé.

Je serrai Camille fort dans mes bras et me calma. Elle proposa d'aller me préparer à manger et ce n'était pas a cause de ce salaud que j'allais rester affamé. Même si j'avais accepté qu'elle le fasse, je n'avais pas envie de manger ; la seul chose que je voulais c'était Jean.

- Céline, tu te rappel de Charlie ? mon cousin ? Il m'a appelé qu'il voulait venir mais je lui ai dit que j'étais ici donc de venir, tu ne trouve pas d'inconvenant ?

- Non non il peut venir.

A vrai dire, je voulais rester seul. J'avais envie de réfléchir. Mais d'une autre côté, j'avais besoin que quelqu'un reste avec moi. Pour me distraire, afin de ne pas faire des bêtises.

Je me suis forcé alors à dormir. Lorsque j'ouvris les yeux, il y avait un homme très séduisant, bien en forme qui était assit dans le fauteuil entrain de manipuler son portable.

- Cam, elle est réveillée. Dit cette personne.

- Ahh Céline tu es réveillé, voilà Charlie mon cousin.

- Je ne savais pas que le cousin de Céline était un homme bien fait ; je l'imaginais avoir l'aire d'un petit enfant gâté ; (fils à papa).

- Enchanté dit Charlie. Cam ma dit ce qui se passe et je suis vraiment désolé.

- Non il ne faut pas l'être. C'est la vie. Dis-je.

Je recommençais a pleurer. Just ces mots on suffit pour que je replonge dans ma tristesse. J'ai tout fait pour me retenir, surtout devant le cousin de Camille. Mais en vain. Jean me manquait. Je repris mon portable pour tenter encore une fois ; mais Camille avait remarqué et s'est précipité pour l'arracher de mes mains.

- Tu crois que c'est en faisant cela que tu vas pouvoir l'oublier ?

- Je n'ai pas envie de l'oublier. Camille je l'aime tu peu au moins me comprendre.

- Mais tu devrais. Tu ne peu pas continuer ainsi. Il faut que tu te ressaisisses.

Elle avait raison d'une part. Mais sincèrement c'était impossible de l'oublier. Pendant tout ce temps, Charlie me regardais sans rien dire. Mais cela m'énervais. Pourquoi il me dévisageait ainsi, surtout que mon visage était couvert de larmes.

Je repensais alors tout ce qui m'était arrivé depuis ma première relation jusqu'aujourd'hui.

Je me dis alors que tout ce que ces hommes me faisait, souffrance, tristesse, finis. A mon tour de les faire souffrir.

- Tu sais quoi Camille, tu as raison. Je ne peux pas continuer ainsi. D'ailleurs j'ai envie de sortir aujourd'hui et aller me défouler. Tu veux bien ?

- Waooooooouuuuuuuu je reconnais ma Cece. Je suis trop partante

- Je veux bien vous faire sortir ce soir. Dit subitement Charlie.