Le Centre Commercial

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Quand je vis qu'il venait vraiment vers moi, je tirai alors Matty pour qu'on aille s'asseoir sous prétexte que j'étais fatigué. Il me suivie et on alla alors à notre table.

- Bonsoir monsieur le ministre. Fit Jean.

- Ah bonsoir monsieur Johnson. Mes félicitations pour vos fiançailles.

- Merci beaucoup. Ravissante votre femme, euh... je veux dire pé... euh... copine.

Je sentis la colère monter en moi. J'avais voulu lui crier dessus. Mais je l'avais vu venir, je savais que c'était ça qu'il voulait que je fasse pour qu'il puisse me honnir. Je repris mes esprit et avec mon plus gros sourire.

- Merci monsieur. Ravissante la - vôtre. Dis-je.

- Céline n'est pas seulement ma copine. Elle est plus que ça. Elle est ma vie. Et je compte faire d'elle ma femme très bientôt. Fit Mat en m'embrassant

Le visage de Jean se changea. Et d'un seul coup il nous quitta et retourner à sa place. J'étais vraiment contente de la réponse de Matty. Le diner se passa comme je veux. Le présentateur faisait nos éloges et celles de Jean et sa fiancée.

On retourna chez moi. Camille était la et je l'avais donné les doubles de mes clefs. Mais elle avait pris la chambre d'ami. Matty me pris alors dans ses bras. J'étouffais de rires

- Tu fais quoi la ? dis en riant

- Je fais ce que tous les hommes romantique et amoureux fond. Tu étais formidable au diner aujourd'hui. Dit-il en m'embrassant.

Il me porta dans ses bras, prit l'escalier et monta jusque dans la chambre. Il me déshabilla et couvrir mon corps de baisé. Je ne me sentais pas bien avec lui. Mais comme je ne peux rien faire, je dois m'habituer. Je me levai alors et lui retourna sur le lit.

- Oh non Céline, aujourd'hui je veux te faire plaisir. Laisse-moi te faire l'amour.

Il me retourna à son tour et me caressa. Même si ce n'est pas mon grand amour, j'aimais ce qu'il me faisait. Il était si attentionné et il veut faire tout ce que je veux. Je poussai un gémissement quand je le senti en moi. C'était vraiment bien. Et je pensai un court moment à Jean. Je me disais que si s'était lui qui était la actuellement, je crois que ça allait vraiment être féerique. Mais il n'est pas là, d'ailleurs il allait se marier. Je repris mes esprits et je répondais au vas et viens de celui-ci jusqu'à ce qu'il ne vienne.

- Je t'aime Céline. Je t'aime plus que tout.

Je me réveillai mais je ne vis personne au lit. Je sortis au jardin voir mais quelle fut ma surprise quand je vie une jolie voiture de couleur rouge avec des fleurs écrit « HAPPY BIRTHDAY CELINE »

Oh mon Dieu, j'avais oublié que ce 25 avril était mon anniversaire.

Cam était là avec Matty qui me souhaitait un joyeux anniversaire. J'étais tellement contente.

- Mon amour. dit-il, joyeux anniversaire à toi. Et il m'embrassa et me fis des câlins. Mais je dois m'absenter. Tu peux aller faire un tour avec Camille. Bien sûr si tu sais conduire dit-il en riant.

- Bien sûr Quesque tu crois. Dis-je en lui tapant sur l'épaule.

A 14 h, Camille et moi se rendit au centre commercial pour faire du shopping et se balader un peux. Et j'étais au volant, tellement contente de ces changements dans ma vie.

On avait fini nos courses et on décida d'aller boire des glaces. On se dirigea jusque-là et on commande.

- Oh non pas ça, pas ça. Dis Camille.

- Mais tu as quoi ?

- Jean et sa dulcinée sont justes derrière nous.

- Oh non ! pas ça. Je voulais l'enlever de ma tête et voilà qu'il est toujours là.

- Céline, enlevé le carrément de ta tête et montre lui que tu n'es plus dans ces genre de chose et que tu es importante maintenant.

- Ce n'est pas si facile.

- Si c'est plus que facile. Il suffit juste d'y croire.

Je pris alors le courage et Camille faisait tout pour me faire rire. Je n'avais vraiment pas envie de rire mais je m'efforçai à le faire. Je décidai d'appeler Charlie pour voir ce qu'il faisait.

- Allo Charlie ? tu es où ? aujourd'hui c'est mon anniversaire et tu ne m'as même pas souhaité des vœux.

- Oh non excuse-moi Céline. Tu es où ? j'arrive tout de suite.

Je vis après quelque minute Charlie arriver vers nous et me pris dans ses bras en criant un joyeux anniversaire qui fit tourner le regard de tout le monde vers nous.

- Mais je rêve !!! fis une voie féminine derrière nous.

- Oh non pas cette poufiasse d'Emily. Fit-Camille.

- Mais je rêve. Continua celle-ci. Céline tu te permets de circuler comme tout le monde ? il n'y a que les gens normal pour circuler ainsi. Toi Céline, tu n'es qu'une pute, une pétasse. après t'être livré au ministre tu te tape ce jeune homme ? non mais tu du culot.

Je sentis mes larmes me monter. Mais je me rappelai de ce que Charlie m'avait dit. Que j'étais une dame maintenant.

- Oh Emily ! quelle grande surprise répliquai-je. Qui d'entre toi et moi est pute ? tellement tu couchais avec tout le monde qu'une fois enceinte, tu ne savais pas qui était le père. Ta juste disparu et une fois que tu as su que l'enfant ressemblait à ce connard, tu as décidé de revenir soi-disant que c'est sa mère bla bla bla... alors dis-moi qui d'entre nous est pute ?

Elle avança sa main pour me donner une gifle toute furieuse. Mais je m'empressai de l'attraper.

- Oh Céline, n'ose même pas. Sinon tu le regretteras toute ta vie. Pétasse.

- Camille cria Jean de toutes ses forces. De quelle droit à tu ?

- Oh mon cher Jean. J'ai tous les droits du monde. Et rappel toi. Il suffit juste d'un claquement de doigt et tu retournes dans ton enfer. A partir d'aujourd'hui, si toi et ta garce oser m'attaquer encore, vous regretterai le jour de votre naissance. Camille, allons-nous-en. Je sorti un billet de 10 mille francs déposer sur la table. Gardez la monnaie.

Votre avis sur ce chapitre long. A vos claviers.


Mon rêve devient réalité [terminé]Kde žijí příběhy. Začni objevovat