XXXIII (!!)

Depuis le début
                                    

-Et ensuite?

-Pardon?

-Ensuite? Il t'aurait baisé dur le comptoir? Ou tu l'aurais baisé?

-NON! Non! Il aurait mangé un coup de genoux entre les jambes et il n'y aurait rien eu d'autre à rapporter.

Justin se retourna vers la porte, le corps raide. Visiblement, il peine à garder ses émotions à l'intérieur.

-Justin! m'écriai-je. Reviens ici! On n'a pas fini! On va régler ça comme des adultes!

Il fait demi tour en moins de deux.

-Ah oui?

Il m'attrape par la nuque, me plaque sur le mur le plus proche, ses lèvres avidement sur les miennes. Il colle son corps contre le mien, m'empêche totalement de bouger.

Je respire fort, j'ai chaud, son odeur me vire le cerveau à l'envers, mais c'est pas assez.Il passe ses mains sur mon ventre, remonte jusqu'à ma tête, puis appuie dessus pour me forcer au sol. Je suis à genoux devant lui, les yeux grands ouverts, attendant impatiemment de savoir qu'est-ce qu'il va me faire ensuite.

Il appuie à l'arrière de ma tête, me colle contre contre son érection, par dessus son jeans. Il se frotte contre moi alors que j'agrippe ses cuisses. Mes mains remontes jusqu'à sa ceinture, que je m'empresse de défaire. Ma main glisse à l'intérieur.

J'attrape sa queue, elle est chaude, douce et si je n'étais qu'humide avant, je suis trempée maintenant. Ses pantalons tombent, il enlève tout d'un coup de pied.

Ses mains quittent mes cheveux pour faire passer par dessus ta tête son chandail. Puis, il m'enlève sa queue des mains, la plonge dans ma bouche jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien qui entre. Ma langue court sur tout ce qu'elle peut, caresse avidement les veines qu'elle trouve. Puis, ses hanches poussent pour plonger encore plus profondément en moi. Il recule, ne laisse que ton gland sur ma langue. Il recommence. Plusieurs fois. Il entre, sors, plus vite, plus brusquement.

Je ne peux plus respirer, je manque d'oxygène et c'est seulement quand je commence à ne voir que des points noirs qu'il me laisse respirer.J'ai juste le temps d'avaler une goulée d'air et d'essuyer le filet de salive qui me descend sur le menton que il me relève jusqu'à me mettre debout. Tout aussi rapidement, je me retrouve nue, puis il me retourne comme une poupée de chiffon, m'appuis à nouveau contre le mur. Son bras gauche remonte sur mon ventre, passe entre mes seins et m'encercle la gorge, la renversant sur son épaule, alors que je tente de m'agripper au mur - totalement inutile.

Son autre main, elle, descend, alors que il m'écarte les jambes avec son genoux. Sa main trouve sa place sur les replis de mon sexe, et je gémis. Il ne plonge qu'un seul doigts à l'intérieur, le temps de comprendre que je dégouline depuis quelques temps déjà.

Il fléchis les genoux, positionne sa queue entre mes cuisses et me pénètre. D'un seul coup, il se retrouve au fond, m'écartant les chairs, m'empalant sur lui, me plaquant contre le mur du même mouvement. Je gémis à nouveau, halète, cherche ma respiration. Je sens son souffle sur ma peau, il m'écrase, j'ai chaud, j'ai froid, et tout ce à quoi je suis capable de penser, c'est sa peau sur la mienne, sa main sur ma gorge, l'autre sur mon clitoris et sa queue qui me fouille si profondément.

Tout son corps se met en marche, ses hanches bougent, sa queue se frotte à tout se qu'elle peut toucher. Elle appuis sur chacun des replis que me forment, en cherche des nouveaux, me fais grimper aux rideaux.Mes jambes faiblissent, je sais que, bientôt, elles vont me lâcher. Par contre, les siennes y vont de bon train, accompagnant ses hanches dans leurs mouvements.

Sa respiration s'est accélérée dans le creux de mon cou.Nos corps sont couverts de sueurs. Son bassin claque sur mes fesses, sa main enserrant mon coup descend et m'agrippe un sein. Je me cambre, pousse dans sa main -

Et ça y est. Ses mouvements deviennent saccadés alors que sa queue appuis à l'intérieur de moi, directement sur mon point G. Je cris, de surprise, de plaisir et commence à lui rendre ses coups de hanches. Je le supplie d'y allez plus vite, plus fort- juste là. Je suis au bord du précipice et y plonge en criant au moment précis où sa main se met en mouvement sur mon clitoris, que l'autre me griffe le mamelon, et que sa queue appuis sur ce point au fond de mon vagin.

Je sens une vague de mouille me dégouliner entre mes jambes et ça coule à flot. Il continue et je le se supplie de ne jamais s'arrêter. Mes jambes me lâche et je glisse au sol, où il me suit, sans jamais sortir de moi. Il ne prend que le temps que de me retourner sur le dos.Je viens de jouir, j'ai le cerveau en vrac, les jambes molles, mais il s'active toujours en moi.

Je sens un second orgasme monter, lentement, prenant de la force. Je le sens, vague par vague, ravageant toutes pensées qui s'étaient construites sur son passage. Je suis couverte de sueur, je glisse sur le plancher à chacun de ses coups de reins, même si ses mains ont agrippées mes hanches, mes jambes repliées sur sa taille, pour me tenir aussi proche que possible et ainsi plonger aussi profondément que il peut sa queue en moi.

Quand je jouis à nouveau, mes yeux roules dans les orbites et mes mains agrippent ses cuisses, pour le repousser, l'enfoncer plus profondément en moi, le tenir, le ralentir. Mes ongles s'enfonce dans sa peau et je le sens à peine sortir de moi, m'enjamber jusqu'à me planter sa queue sous les yeux.

Juste au moment où ma bouche s'ouvre et s'enroule autour de lui, il explose, ne laissant que grognement sourd passer ses lèvres. Il gicle en abondance jusqu'au fond de ma gorge. Une fois, deux fois, trois fois. Son sperme perle sur mes lèvres alors que il se retire et j'y passe la langue pour l'avaler avec le reste.

Ma tête retombe au son sol dans un bruit sourd. J'ai froid, la transpiration me colle à la peau, je pu le sexe, mais je suis bien.

Jusqu'à ce que je le vois se relever, se rhabiller et sortir de l'appartement. Me laissant nue, à peine consciente, sur la plancher de sa cuisine.

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J'espère que j'ai répondu à vos attentes, au moins X)

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It's No Fairytale (French)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant