Tu es a moi

chapitre 37

Jour 7

Maëlys.

J'emergeais tout doucement de mon sommeil couchée sur une surface en cuire très douce. 

La tête dans les chaussettes j'ouvris les yeux tout doucement et tombai sur Alexeï juste en face de moi les sourcils froncés devant l'écran de son ordinateur.

Je me relevai doucement alors qu'il remarquait enfin que je m'étais réveillée. Je voyais les nuages part de là l'hublot qui était juste à côté de lui.

Attendez.... Nuage ...... Hublot.....Chaise en cuir ...... Je suis dans les airs .... Je suis dans un ...

- qu'est ce qu'on fait dans un avion. Dis je les sourcils froncés alors que je regardais tout au tour de moi complètement perdue.

- nous ne sommes pas dans un avion mais dans un jet agapí, mon jet privée ! Dit il arrogament alors qu'il fermait l'appareil pour se concentrer davantage sur moi.

Je plissai mon nez.

- ça ne répond toujours pas  à ma question !

Je me relevai complètement vêtue d'un de ses t-shirt ainsi que d'un de ses bermudas en guise de dessous.

Mais.....

- tu as demandé à te réveiller au paradis, alors en tant que bon fiancée que je suis je t'amène dans un paradis. Me dit il tout en remettant une mèche derrière mon oreille.

Fiancé ?

Attendez... J'ai raté combien d'épisodes de la série? Parce que là je ne suis absolument plus.

- je ne comprends pas bien , fiancée ? Depuis quand sommes nous fiancés et pourquoi je portes ton boxeur ainsi que ton t-shirt, pourquoi je suis dans cette avion et c'est quoi cette histoire de paradis ?! Hurlais je presque.

Mais je me stoppai bien vite dans mes émotions lorsqu'un violent mal de tête me fit redescendre.

Seigneur !

J'avais l'impression d'avoir été giflé par l'homme le plus fort du monde, j'étais littéralement sonné.

- tiens bois ça et après on discutera.

Il me tendit un verre d'eau ainsi qu'un cachet, je les pris toute suite , ce mal de tête était insupportable, une grosse torture.

Je fis tomber le médicament dans ma gorge avant de le fait descendre d'une grosse gorgée d'eau.

- merci! Dis je tout en lui tendant le verre qu'il m'avait donné.

Une hôtesse vêtu assez légèrement vint dans notre direction.

- oui monsieur ! Dit elle a son égard un sourire qui me déplus fortement aux lèvres .

Toutes des putes!

Je n'arrivais pas à croire que c'était moi qui le disais.

c'est décidément l'hôpital qui se fou de la charité.

- apportez le repas pour madame s'il vous plaît et qu'il soit bien chaud . Lui dit il sans vraiment la regarder.

Et encore il n'y avait pas beaucoup à ronger. Ce n'était qu'un sac d'os. Je n'avais pour une fois rien à craindre, je savais dans mon Ford intérieur que je la battais largement, donc je ne me sentais pas du tout en danger .