chapitre 11

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Maëlys.

J'avalai difficilement ma salive suite à ses paroles , cet homme m'avait littéralement coupé le souffle .

Lorsque que les portes de l'ascenseur c'étaient ouvertes sur sa grande carrure , j'avais été toute suite estomaquée. Habillé de noir , il avait l'air si ténébreux,  si virile , si inaccessible.

Son regard  bleu taché de quelques couleurs sombres m'avait complètement déshabillé,  j'étais venue ici avec pour perspectives de ne pas me laisser embobiner,  de ne pas  me laisser une nouvelle fois aller,  mais son regard à lui seul avait réussit à abattre toutes  mes piètres convictions.

Je me sentais comme un  petit chaton devant le lion le plus sauvage et le plus dangereux de tout la savane.  Il dégageait une aura dévastatrice, comme si celle-ci   semblait être une sorte d'avertissement  ,  elle essayait de par son intensité vertigineux de mettre en garde celui qui se tenait devant lui , elle était comme une pancarte où était écrite "alerte danger ".

De longues jambes puissantes,  une carrure plus qu'athlétique,  une taille de géant , un regard d'aigle et une mâchoire taillée dans la serbe.

Il avait tout pour lui , tout pour faire tomber n'importe qu'elle  femme , moi y compris.

Mais je ne devais pas m'égarer,  je ne devais pas m'imaginer des choses qui n'existaient pas . J'etais une fille dont la chance ne lui avait jamais sourit,  je ne connaissais que le côté le plus sombre de l'existence alors les chances pour que cette folle histoire d'amour ne tombe sur ma personne était très minces pour  ne pas dire totalement nulles .

Chacunes de ses paroles avaient soulevé en moi une vague de sensations , il avait réussit à me donner des crampes au bas-ventre , Ma peau frémissait déjà juste à l'idée qu'il puisse la touchée.

Mais qu'est-ce qui m'arrivais,  pourquoi  étais-je si réceptive à ses paroles salaces , ces derniers devraient plutôt me dégoûter,  ils devraient plutôt me rappeler  à quel point  je n'étais rien de plus qu'un petit joujou.

Mais au contraire,  mon corp indépendamment de mon cerveau voulait que ce dernier passe ses mains sur chaque  parcelle de ma peau,  mon corp voulait être couvert par le torse dur et chaud ce cet homme , il voulait être pris à cheval , être foudroyé par un plaisir violent, ma gorge était déjà prête à crier sous ses coups de rein divins.

Mon corp tout entier n'attendait que lui , qu'il  le punisse encore une fois .

Mais je devais résister,  allez contre ma chair et suivre ma raison , celle-ci qui me disait d'être de plus professionnel possible,  d'être aussi fade et inexpressive que d'habitude.

Mais alors,  comment résister,  comment procéder pour faire abstraction de toute cette attirance magnétique que mon corps ressentait pour le sien .

-asseyez vous . Me redit-il mais cette fois si sur un ton plus ferme que la précédente fois .

Sans que je ne m'en rende compte,  mes jambes prenaient déjà direction pour le sofa juste derrière lui , il suivait chacun de mes faits et gestes avant de se tourner vers le bar et revenir avec un verre de vin blanc à la main.

Tout sa est très chic dis moi !

-je ne vous ai pas demandé votre préférence mais la plupart des femmes préfèrent le blanc au rouge , elles trouvent ce dernier  plus.... raffiné que le rouge qui semble être au goût de la gente masculine,  alors tenez votre verre . Il me tendit le verre que je regardais avec méfiance.

Il pourrait y avoir de la drogue,  mais à bien le regarder il ne semblait  pas être ce genre de personne .

Il ressemblait plus à un homme au caractère bourru , assis derrière un bureau à la hauteur de son standing donnant des ordres pénibles à ses pauvres employés qui ne pouvaient que subir par peur d'être virer .

Tu es a moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant