Twenty.

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              Harry :

Le repas avec mon père et la sœur de Louis, s'est bien passé. Mon père et Louis s'entende bien, c'est tout ce que je demandais. Quand le repas s'est fini, c'était le moment des cadeaux. Enfin, on s'était dit qu'un seul cadeau avec Louis. Mais c'était son anniversaire et Noël donc je lui en ai fait deux. Donc, j'ai offert tous mes cadeaux, et lui m'a regardé sans aucune surprise dans ses yeux avant de me sourire et de me tendre un paquet.

- Mais on avait qu'un ! râle ai-je

- Et tu m'en a fait deux ! réplique t'il

Je me renfrogne tandis que mon père ris. J'ouvre mon paquet et découvre des boutons de manchettes en or, gravé avec mes initiales. J'ouvre la bouche et regarde Louis qui hausse les épaules :

- Pour les Grammy.

- Lou mon dieu, elles sont sublimes.

- Je sais bien. Il faut que tu sois à ma hauteur pour monter les marches.

- Je t'aime, dis-je en l'embrassant. Ouvre ton cadeau maintenant !

C'est rien comparé à son cadeau, mais je l'aime beaucoup. J'y ai mis beaucoup de cœur. Il ouvre le grand paquet rectangulaire que je lui ai offert laissant finalement apparaître un tableau immense recouvert de souvenir de chaque pays qu'on a fait, de photos de lui, de moi, de nous. Tout notre séjour sur une toile, en fait. Il sourit et je crois même voir une larme tomber.

- Il est magnifique Harold ! C'est toi qui l'as fait ? demande mon père

- Oui, c'est moi. Merci papa. Ça te plait Lou ?

- Oui ! Oh mon dieu oui ! Il est superbe et putain tes cadeaux sont tellement beaux comparés au miens qui sont juste « luxueux ».

- Arrête Louis, j'adore tes cadeaux. Je ne ferais pas tâche à tes cotes aux grammy comme ça.

- Tu ne feras jamais tâche à côté de moi, amour. Merci, on devra l'accrocher dans le salon. Ou quelques parts en tout cas.

- Tu as vraiment trouvé un homme parfait Tommo, s'exclame la sœur de Louis

- Ouais. Il l'est, ajoute Louis alors que je rougis.

Il m'embrasse doucement et les conversations reprennent. Mon père parle foot à Louis, la sœur de Louis et moi parlons à sa cousine et en fait je joue avec Théodore, son fils de quelques mois seulement. J'aime tellement les enfants, je peux ne pas attendre pour en avoir mon dieu. Je surprends le regarde de Louis sur moi quelques fois. Et je rougis. Tandis qu'il sourit tendrement en nous regardant. Je suis tellement bien, que j'ai peur qu'une couille arrive. Pardon pour mon français. J'ai vraiment que quelques choses aillent de travers. Je ne sais pas. Entre moi et Louis, ou avec mon père ou je ne sais pas. Mais j'angoisse pour le futur. Pour rien, surement. Comme d'habitude.

Il est 17heure quand tout le monde part et on se retrouve seule avec Louis. Enfin avec Yankee. On décide donc de sortir un peu, dans le quartier, pour se balader avec lui. Après une bonne heure de marche, on décide de rentrer à cause du froid.

- Un bain ? propose Louis

- Qui suis-je pour vous refuser un bain, monsieur Tomlinson ? dis-je en riant légèrement

- Je vais le faire couler alors, répond Louis en me faisant un clin d'œil

Je souris et glousse avant d'aller dans la chambre pour prendre des affaires pour après notre bain. Je les pose dans la salle de bain, alors que Louis rempli la baignoire (qui ressemble presque a un spa en réalité) avec de l'eau et de la mousse. Je redescends de la cuisine pour prendre deux flutes à champagne et du champagne. Louis me souris quand il voit le champagne, et les place sur le bord de la baignoire avant d'enlever ses vêtements et de m'inciter à faire de même. Je le suis, et enlève mes vêtements. Il est le premier à entrer dans la baignoire. Je le suis quelques secondes plus tard. On est face à face, nos jambes se touchant. Louis me tends une flute de champagne, et je la prends en lui souris :

The lover's shack.Where stories live. Discover now