L'Histoire de Notre Vie - Tome 2

Chapitre 14: Bon retour

Heyyy!!

Nouveau chapitre après presque que deux semaines sans poster !

Bonne lectures <33

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— Sacha, je...

— Elles sont partiellement fausses, me coupe Lexa. Je sais qu'elle, et moi avec, avons l'air de deux horribles personnes mais cette fille à tout intensifié en plus d'avoir omis plusieurs détails qui ont leur grande importance. Je te jure que Clarke ne voulait pas mal faire. C'est moi qui est tout mal fais.

     J'essaye de cacher mes peurs mais pas grands choses a faire, j'essaye aussi je me retenir de lui dire que j'aurai pu éviter de sortir avec quelqu'un pour m'en servir de relation pansement...

     Lexa me tend la petite que je prend délicatement et cale sur mon torse, sa petite tête se cache dans mon cou en faisant des ses petits bruits de bébé.

     — Alors quoi ? Tu ne t'es pas entiché d'elle parce qu'elle t'avait larguée ? Tu ne l'as pas dégagé dés qu'elle est revenue ?

     Sacha ne porte aucune attention à Lexa. Il parle même d'elle à la troisième personne, comme si elle n'était pas là. Elle ne lâche rien et s'approche de mon frère, cette fois, il la regarde.

— Écoute, Clarke s'est retrouvée dans une impasse avec ce test de grossesse, je ne l'ai pas laissée exprimer ses doutes, qui honnêtement, n'auraient pas changé grand chose. Alors oui, quand j'ai su qu'elle avait eu ma marraine au téléphone et qu'elle même m'a ordonné d'aller a l'hôpital, j'ai foncé sans réfléchir. Elle était désespérée, qu'est-ce que t'aurait fait à sa place ? Tu aurais laissé la femme qui t'avais « tromper » comme ça ? Je n'ai pas voulu dégager cette femme, pas au début et qui plus est n'était même pas sa copine, j'ai simplement demandé à avoir un moment seule avec ta sœur.

— C'est quoi un déni ?

La question de mon frère perturbe Lexa. Je prend donc le relais, en berçant le bébé maintenant endormie dans mes bras.

— C'est lorsque le fétus se développe plus haut dans le corps, l'utérus s'allonge sur la hauteur. Je n'avais aucune de chance de le savoir avant. Le cardiogramme n'avait rien révélé par je ne sais quelle raison, ou miracle, et les résultats, ils n'étais pas censé montrer-

     — Sophie vient d'arriver, les filles !

     La voix de ma mère me fait sursauter. Aussitôt apeurée, Sofia se met à pleurer. Je commence à la bercer contre moi pendant que mon frère en profite pour s'extirper de cette conversation et mettre son casque de jeu. Sachant pertinemment que ça ne sert à rien de discuter, je fais signe à Lexa de me suivre. Elle descend d'abord, je reste un temps dans le couloir en le traversant et en bougeant doucement à répétition pour que la petite puisse se calmer mais ce n'est pas facile. Je finis par descendre même si elle n'est pas calmée. Ce à quoi je m'attendais m'attendrît aussitôt: Lexa dans les bras de sa marraine, les yeux clos. Enfin, jusqu'à qu'elles perçoivent les pleures se rapprocher.

     — Alors, c'est la petite merveille parisienne qui ne payera pas d'impôts américain à vie ?

     Je hoche la tête alors qu'on explose tous de rire. C'est vrai ça, les natifs des États-Unis doivent payer leur impôts ici à vie, même s'ils vivent ailleurs. Lorsque les yeux de Sophie se posent sur la petite fille, un grand sourire prend place sur son visage.

     — Tu veux savoir le prénom ? Demande Lexa connaissant la réponse.

     — Évidemment !