Chapitre 23

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Diego : Je comprend rien du tout.
Dit-il en regardant son fils...l'imiter ?

Oui, avoir un bâton, faire des gestes aléatoires, c'est tout de Diego.

Alison : Comme d'hab.

Cache ta joie ma belle.

Viktor : Bah, nos mère se sont faites tuer ce qui veut dire qu'on ne devrait pas exister. Pourtant, c'est le cas. Alors l'univers à du mal à diriger et c'est problématique.

Cinq : Très problématique.
Dit-il en buvant son café.

Je souffle et regarde tout le monde un par un. Diego et adossé a une table, Alison à un mur, Viktor est appuyé sur un table de billard comme Cinq, Klaus est parterre et je suis à côté de Diego assise sur la table à regarder ce beau petit monde. Et évidement le fils de Diego fait son truc. Qui est je suppose du karaté.

Diego : Stanley ! C'est vraiment pas le moment de faire du karaté tu m'entends !

Stanley : Ouais bah maman m'a dit qu'il faut que je m'entraîne !
Dit-il en arrêtant tout mouvement.

Diego : Ouais bah elle a pas tord. Tu es vraiment naze.
Dit-il en jouant avec son couteau.

Stanley : Je t'ai sauvé pauvre tâche !

Vingt-deux : La honte. Tu t'es fait sauvé par un gamin.

Diego : Toi la ferme.

Vingt-deux : Si on peut même plus rire. Tu devrais être fière de ton gamin. Pour son âge il est doué en plus d'être mignon. Après il tient ça surment de sa mère...

Cinq : Hé je suis là hein !

Diego : J'avoue. Retourne vers Cinq au lieu de me faire chier.

Je lui souris grandement et fait un clin d'œil à Cinq qui regarde fixement le fils de Diego. Qui d'ailleur lançait un regard noir à son père.

Alison : C'est bon on a compris. Cinq, cette histoire de paradoxe, qu'est-ce que ça implique ?

Cinq : C'est dur à dire. Jusqu'ici tout n'était que théorie, mais on dirait que certaines choses disparaissent.

Viktor : Quel genre de choses ?

Cinq : Pour l'instant, des homards.

Klaus : Ouais ! Et aussi une chiée de vaches, apparemment.
Dit-il en se redressant.

Vingt-deux : Quelque chose me dit que ce n'est qu'un début.

Alison : Comment ça ? Vous êtes plus à la retraite ?

Vingt-deux : C'est tout ce que je demande.

Cinq : Et moi donc.
Dit-il en soupirant.

Alison : Je sais bien, Cinq, que l'apocalypse t'excites comme un malade mais tu as pas le droit de nous en faire baver à ce point pour ensuite nous demander d'en assumer les conséquences ! C'est pas toi le boss !
Dit-elle en se rapprochant dangereusement de Cinq.

Cinq : Ça va, je ne suis que le messager. Et tout ce que je vous dis c'est que quelque chose de terrible va se produire.

Alison : Ok. Alors on attaque les Sparrow, on récupère la mallette et on rentre chez nous.

Vingt-deux : On est déjà chez nous Alison. Accepte-le.

Elle tourne la tête vers moi alors qu'un grand bruit se fait entendre. Tout vas bien c'est que le fils de Diego. Il est pas mieux que lui à ce que je vois.

Numéro Vingt-deux Where stories live. Discover now