Diego : Je comprend rien du tout.
Dit-il en regardant son fils...l'imiter ?Oui, avoir un bâton, faire des gestes aléatoires, c'est tout de Diego.
Alison : Comme d'hab.
Cache ta joie ma belle.
Viktor : Bah, nos mère se sont faites tuer ce qui veut dire qu'on ne devrait pas exister. Pourtant, c'est le cas. Alors l'univers à du mal à diriger et c'est problématique.
Cinq : Très problématique.
Dit-il en buvant son café.Je souffle et regarde tout le monde un par un. Diego et adossé a une table, Alison à un mur, Viktor est appuyé sur un table de billard comme Cinq, Klaus est parterre et je suis à côté de Diego assise sur la table à regarder ce beau petit monde. Et évidement le fils de Diego fait son truc. Qui est je suppose du karaté.
Diego : Stanley ! C'est vraiment pas le moment de faire du karaté tu m'entends !
Stanley : Ouais bah maman m'a dit qu'il faut que je m'entraîne !
Dit-il en arrêtant tout mouvement.Diego : Ouais bah elle a pas tord. Tu es vraiment naze.
Dit-il en jouant avec son couteau.Stanley : Je t'ai sauvé pauvre tâche !
Vingt-deux : La honte. Tu t'es fait sauvé par un gamin.
Diego : Toi la ferme.
Vingt-deux : Si on peut même plus rire. Tu devrais être fière de ton gamin. Pour son âge il est doué en plus d'être mignon. Après il tient ça surment de sa mère...
Cinq : Hé je suis là hein !
Diego : J'avoue. Retourne vers Cinq au lieu de me faire chier.
Je lui souris grandement et fait un clin d'œil à Cinq qui regarde fixement le fils de Diego. Qui d'ailleur lançait un regard noir à son père.
Alison : C'est bon on a compris. Cinq, cette histoire de paradoxe, qu'est-ce que ça implique ?
Cinq : C'est dur à dire. Jusqu'ici tout n'était que théorie, mais on dirait que certaines choses disparaissent.
Viktor : Quel genre de choses ?
Cinq : Pour l'instant, des homards.
Klaus : Ouais ! Et aussi une chiée de vaches, apparemment.
Dit-il en se redressant.Vingt-deux : Quelque chose me dit que ce n'est qu'un début.
Alison : Comment ça ? Vous êtes plus à la retraite ?
Vingt-deux : C'est tout ce que je demande.
Cinq : Et moi donc.
Dit-il en soupirant.Alison : Je sais bien, Cinq, que l'apocalypse t'excites comme un malade mais tu as pas le droit de nous en faire baver à ce point pour ensuite nous demander d'en assumer les conséquences ! C'est pas toi le boss !
Dit-elle en se rapprochant dangereusement de Cinq.Cinq : Ça va, je ne suis que le messager. Et tout ce que je vous dis c'est que quelque chose de terrible va se produire.
Alison : Ok. Alors on attaque les Sparrow, on récupère la mallette et on rentre chez nous.
Vingt-deux : On est déjà chez nous Alison. Accepte-le.
Elle tourne la tête vers moi alors qu'un grand bruit se fait entendre. Tout vas bien c'est que le fils de Diego. Il est pas mieux que lui à ce que je vois.
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Numéro Vingt-deux
FanfictionNuméro Vingt-deux, amie de numéro cinq est entraîné dans les aventures folles de la famille de son camarade, entre amour, amitié, humour, colère et tristesse, comment le seule nombre de cette équipe gérera-t-elle ses émotions, qu'elles seront ses ac...