Chapitre 15

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Cinq : Je commence à croire que papa nous évite à force.

Lila : C'est pas pour jouer les rabat-joie mais je crois qu'il faut mieux se casser d'ici.

Cinq : Je suis curieux, quand tu dis "on" je peux savoir à qui tu fait référence ?

Lila : Qu'est-ce qu'il y a d'ambiguïe dans ce que je viens de dire ?

Cinq : Je te connais pas du tout et j'ai aucune idée d'où tu sort, mais moi à ta place je crois que je me dépêcherais de rentrer.

Diego : Elle a raison Cinq, faut qu'on ce casse de là.

Lila : Je viens de te sauvé la vie petit connard ainsi que ta petite copine. Si je n'était pas intervenue tout ce qu'il resterais de toi maintenant serait un blazer et tes chaussettes.

Vingt-deux : C'est là tout le problème. Tu es un peu trop doué. Tu poses un peu trop de questions. Tu en sais un peu trop.

Cinq : Quand tu te bat tu sais exactement ce que tu fait.

Diego : La ils ont pas tord.

Lila : Et ça fait de moi la méchante de savoir me débrouiller toute seule ?

Cinq : Je m'en fou tu es en travers de mon chemin. Je préfère te prévenir. Si jamais je te revois, je te tue.

Je prend la main de Cinq et le tire pour que nous partons avant que tout ce cirque ne dégénère.

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Nous somme donc maintenant chez Elliott où nous y trouvons sans grande surprise Luther qui prépare un déjeuner ? Même si ça ressemble plus à du vomi.

Diego : Je ne sais pas pourquoi, mais ils arrêtent pas de me suivre.

Luther : De qui tu parle ?

Diego : Des psychopathes Hollandais.

Cinq : C'est des Suédois, abruti.

Vingt-deux : Des soldats payés pour nous éradiqués avant qu'on n'altère encore plus le cours de l'histoire.

Diego : Mais pourquoi maintenant ? Parce que je n'avais pas le moindre soucis pendant trois mois jusqu'à ce que vous débarquez.

Luther : La ferme. Ça fait un an que je suis là et avant personne ne me faisait chier.

Cinq : Même si c'était vraiment notre faute-

Vingt-deux : Ce qui est tout sauf vrai.

Cinq : -Ça change rien au fait qu'on a six jours avant la la fin du monde et que le seul contact qu'on est eu avec papa jusqu'ici c'est devant le consulat.

Luther : Bah. On en a peut-être eu un autre.

Nous tournons la tête en fronçant les sourcils vers Luther qui est toujours entrain de faire son repas.

Vingt-deux : Tu nous explique ?

Luther : Je l'ai déjà vue.

Pour faire les grandes lignes de ce qu'il nous as raconter, qui était tout sauf claire, lorsqu'il a atterit ici il a fait la manche pour prendre le bus et rejoindre son père a son manoir qui deviendra dans le futur la Umbrella Academy, une fois là bas, il a tout raconté à Sir Reginald en lui disant toute la vérité sur le futur, comme quoi c'était l'un de ces futur enfants, mais il c'est fait rejeté comme une merde et humilié.
Voilà un résumé claire et net sans les babillages inutile des deux hommes.

Numéro Vingt-deux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant