Chapitre 3

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Si on toque chez moi cela doit être une personne perdu ou un ivrogne.
J'ouvre.
Non j'ai rien dis, c'est juste Cinq.

Cinq : Viens avec moi.

Vingt-deux : Et Klaus ?

Cinq : Il est ici ?
Dit-il les sourcil froncés.

Vingt-deux : Oui, il était blessé et tu l'as abandonné, je m'en suis occupée comme une grande soeur responsable.

Cinq : Et bien maintenant tu vas t'occuper de moi.

J'appelle Klaus en criant qui arrive bien vite, et Cinq nous téléporte dans la demeure de Reginald Hagreeves.
Klaus déguerpit directement, allant sûrement dehors.

Vingt-deux : Qu'est-ce que tu t'es fait pour avoir cette blessure Cinq ?

Cinq : Ça n'as aucune importance.

Je souffle et recoup son épaule pour ensuite lui mettre un pansement avec des petites voitures, très mignon et enfantin.
Il se rhabille. Pas qu'il était tout nu hein ! Mais il avait enlevé son uniforme pour être en débardeur, pour le soigner.
Il prend un grand sac, le met sur son dos et on sort part la fenêtre.
Et on vois sans grande surprise Klaus dans les poubelles.

Klaus : Fait chier que papa sois introuvable ! OOH LA FERME ! Tu vois pas que j'essaie de trouver le truc sois disant précieux qui était dans cette precieuse boîte ? Je veux que Pogo ME LÂCHE LES BASKETS !

Il parle tout seul ? Ou peut-être avec un fantôme étant donner que c'est sont pouvoir.
Cinq et moi descendons l'échelle, sachant que je n'est toujours pas de chaussures, ça fait mal et c'est froid !

Cinq : J'allais te demander ce que tu faisait Klaus mais enfaite je viens d'avoir une révélation. J'en ai rien a foutre.

Klaus : Tu sais hehehe...il y a plein de sortit moins casse geule que celle là petit.

Cinq : Bah le truc c'est que c'est celle qui impliquait le moins bavardage de toutes, c'est ce que je croyais en tout cas.

Klaus : hé hé hé, attend une seconde ! Tu as besoin d'un peu de compagnie aujourd'hui ? Si tu veux je pourrais essayer d'annuler mes rendez-vous.

Cinq : Tu as déjà de quoi faire je crois.

Klaus : Quoi ça ? Nan, non ça je le fait quand je veux. Et je peux te dire...aaah j'ai juste égaré quelque chose enfaite.
Dit-il en tombant dans la poubelle.

Cinq et moi regardons Klaus perplexe.

Vingt-deux : Tu es dure avec ton frère.
Murmurai-je à Cinq.

Cinq : Je suis dure avec tout le monde.

Je lui fait une pichenette à l'epaule qui était blessé lui faisant faire une grimace de douleur pour que après Klaus sort la tête de cet immonde poubelle.

Klaus : Ah bah je l'ai retrouvé ! C'est bon ! Hmmm c'est un vrai délice.
Dit-il en mangeant le reste de donut qu'il a trouvé dans la poubelle.

Cinq : J'en ai marre de financer ta toxicomanie.

Klaus : Ça vaaaaa ! Tu en sais rien, peut-être, peut-être que j'ai envie de traîner avec mon frère. Pas toi l'autre. MI HERMANO ! JE T'AIME ! Même si tu ne peux pas t'aimer toi même ! ET TOI AUSSI VINGT-DEUX ! JE T'AIME ! MA MEILLEURE AMIE !

Numéro Vingt-deux Onde as histórias ganham vida. Descobre agora