chapitre 12

Depuis le début
                                    

  

-excusez moi si ma réaction vous déplaît mais je n'avais pas du tout prévu ceci en quittant de... chez moi .

Elle avait en quelque sorte hésitée lorsqu'elle avait dit "chez moi" avait elle une maison ? Ou dormait elle dans une cave enfermée avec plusieurs  autres filles .

Je ne m'étais jamais questionné à ce sujet,  était-elle bien traiter ? La frappait-il ?

Subitement , j'eus une image d'elle se faisant battre par ce personnage dont la silhouette m'était inconnu et je dû serrer fort mon verre pour empêcher mes veines de courir le long de mon visage . Qu'es-ce qui m'arrivait ? Pourquoi autant d'intérêt de ma part ? Moi qui avait toujours sû garder une opinion neutre sur la vie des gens que je rencontrais . Je ne voulais rien savoir de leurs vies , s'ils étaient heureux bien malheureux je m'en foutais pas mal . Tous ce qui m'avait toujours intéressé était ma vie et rien d'autre. Je sais que certains pourraient le prendre comme de l'égoïsme mais moi non , je ne fourre juste pas mon nez dans le linge  sale des autres , mais pourtant....

J'étais là, assis dans mon canapé,  les nerfs à fleur de peau à cause d'une simple pensée , je ne me  comprenais plus , Je ne me reconnaissais  plus et le pire dans tous sa c'est que je comprenais rien .

- c'est moi qui ai demandé que vous n'en soyez pas informé je voulais vous faire la surprise moi même.  Dis je le regard fixé sur ses lèvres. Sa bouche était si rouge et si  innocente que je peinais à l'imaginer à genou,  la queue d'un connard dans la bouche ....

J'eus envie de  vomir suite à cette sordide pensée,  elle semblait si innocente,  si pure, comme une petite vierge qui n'avait pas encore traversé les portes du monde impétueux qu'était celui du sexe . Malgré l'énigme qui se cachait derrière son regard aux éclat ternes , elle avait les yeux d'un ange , grand et pétillant . Un visage aussi rond que celui d'un enfant,  un nez retroussé et petit et des joues rebondit qui m'avait l'air tellement douce .

Cette  fille avait à elle seul rassemblé tous les sept pêchés capitaux,  fesant ainsi d'elle le pêché que tout homme se permettrait de comettre,  même le prêtre le plus chaste serait tenté de la renverser sur l'hôtel de l'église et de la faire crier jusqu'à en faire trembler les murs de la chapelle.

-une surprise ? Vous appelez cette folie une surprise !! Qu'attendez vous se moi , que je vous serve de pute personnelle , que je sois votre déjeuner , votre dîner et votre dessert ?

Elle semblait décontenancer,  elle  avait haussé le ton mais laissé moi vous dire que sa voix était toujours aussi douce et délicieuse,  je n'aimais pas sa façon de parler d'elle,  elle parlait d'elle comme si elle était un objet sexuelle,  comme si elle était un jouet qui m'aidait à me soulager et rien d'autre.

Elle ne se voyait pas comme une femme mais comme un vulgaire objet , et ça , je n'aimais pas .

- arrêtez de vous chosifier de la sorte vous n'êtes pas un objet pour que je vous  baise à chaque seconde qui passe.   Dis -je la voix haute 

- mais c'est pourtant ce que que je suis monsieur Grayös,  c'est vous qui ne voulez pas voir la vérité en face , je suis payée pour écarter les jambes alors arrêter de vouloir enjoliver les choses  .

Elle avait peut être raison , j'essayais d'atténuer les faits parceque je refusais de la voir comme  tel . Mon cerveau refusait d'accepter qu'elle en soit une et qu'elle se voit comme une moins que rien,  alors qu'elle si radieuse,  si ....

Je déposai mon verre sur la table à gauche et me déplacai pour prendre place juste à côté d'elle,  son regard attaché au mieux. Le canapé s'affaissa  sous mon poids et je me rapprochai doucement d'elle.

Je pouvais entendre sa respiration s'accélérer au fur et à mesure que j'avançais,  ses yeux faisaient des incessant va et vient entre ma bouche et mes yeux , elle en avait envie , tout comme moi elle était pressée d'écraser ses lèvres contre les miennes,  je voulais la sentir comme la derniere fois , je voulais entrer dans chaque tissus de son corps.

-laisse moi te montrer que tu es bien plus que ce que tu prêtant.   Sa respiration s'écrasait contre ma lèvre supérieure augmentant ainsi mon envie de la faire mienne sur ce sofa.

-quoi!? Dit elle la voix entrecoupé de soubresauts .

-laisse moi te montrer que tu mérites d'être adoré .

J'ecrasai sans crier gard ma bouche sur la sienne , ses lèvres étaient divinement douce et Sucrée.  Je l'embrassais avec avidité comme si je voulais rattraper toutes ces dernières semaines. 

Nos lèvres bougeaient dans une harmonie parfaite,  je lui mordit légèrement la lèvre inférieure,  acte quelle compris toute suite car elle ouvrit la bouche me laissant plein accès,  ma langue alla chercher la siennes pour entamer une valse endiablée  .

Mes mains jouaient à se balader un peu  partout sur ce corps qui sera bientôt la cause de ma chute,  je quittai sa bouche pour descendre vers sa mâchoire puis dans son cou grâce à une lignée de baiser mouillés et lorsque j'enfonçai ma tête dans son cou , celle-ci m'honora de son premier soupir qui me fit par la meme occasion grogner . Je montai  jusqu'à son oreille et  lui chuchotai d'une voix aussi rauque que sensuelle.



- laisse moi te faire crier toute la nuit.






















Bonne lecture mes waliwalous.









Kiss sur vos fronts 😘

Tu es a moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant