Meant to be - HXH

🦋.XXIX

𝗣𝗲𝘂𝘁-𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲,
𝗽𝗲𝘂𝘁-𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗮𝘀
𝘀𝗶 𝗷'𝗮𝗶 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗮̀ 𝗯𝗹𝗮𝗴𝘂𝗲𝗿...
𝗽𝗮𝘀 𝗱𝘂 𝘁𝗼𝘂𝘁.
:) <3

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🍬 lundi 06 16h54,

— Vas-y ça me fatigue, râle Aoi.

— Bon allez quoi, vous avez eu votre première grosse dispute ça ne signifie pas la fin. Ça va forcément s'arranger.

— Mais je lui en veux.

— Elle a dansé avec un autre en boite et toi tu pètes les plombs. Bon. C'était pas forcément un bon plan mais fais lui confiance aussi. Elle mérite que tu lui fasse confiance. Elle s'est laissée emporter par l'euphorie mais jamais elle ne t'aurait remplacé mec.

— Je sais. Je sais. Mais c'est en la gente masculine que je n'ai pas confiance.

— Parles-en avec elle. Je suis persuadée qu'elle n'attend que ça, que vous vous réconciliez.

— Ouais j'en sais rien...

— Allez mec... crois en ton couple.

Avec toute ma bonne volonté je traîne mon meilleur ami jusqu'au gymnase où il est censé avoir son entraînement de basket. Ce n'est pas une surprise mais Mahiru et Allison sont là elles aussi entrain de discuter avec des joueurs.

Gon me rejoint instantanément. J'ai le droit à un câlin comme chaleureux accueil. Quand je lui explique ce qu'il se passe avec Aoi il est tout de suite dans mon camps et pousse le roux jusqu'à sa bien-aimée. Celle-ci croise les bras tout en le fixant.

— Je devrais t'embaucher plus souvent,
en conclué-je.

— Quand tu veux,
me sourit-il tel un complice.

Le reste de l'équipe parle entre eux quand une conversation m'interpelle.

— Dans ce cas là... je peux demander à T/p de m'accompagner.

Je me tourne vers le joueur qui vient de prononcer mon nom. Il s'appelle Dean si ma mémoire est bonne. Killua se met alors à me fixer bizarrement.

— Euh ?

— T/p tu veux bien venir avec moi au bal de fin d'année ?

— Il s'y prend tôt dis donc. C'est dans plus d'un mois, commente Gon.

— Je t'offrirai ce qu'il te plaît, continue Dean. Je ne demande pas grand chose, juste une soirée, danser et parler. Je t'offrirai une rose quand je viendrai te chercher, je...

— Non, s'interpose la touffe blanche.

Je l'interroge du regard, comment ça « non » ? Depuis quand répond-t-il à ma place ?