The MARIA .kookmin.

Chapitre 2

Busan

Lieu: ...

Sorti de chez lui, Jimin  marcha jusqu'à sa voiture, Taehyung répondit au même moment.

-Qu'est ce qui ce passe Jimin ! Interrogea l'homme brun, surpris par l'appel assez tard de son meilleur ami.

-Est ce que tu peux me localiser un appel sur mon téléphone Tae s'il te plait. Demanda le blondinet.

Le brun parti vers son bureau où plein d'objets électroniques trônaient dessus.

-Je vais voir ce que j'peux faire.

-Merci Tae.

Le blond monta dans sa voiture, attendant les résultats.

-Qu'a dit la personne au téléphone Jimin ? Questionna Taehyung.

-Il sait Tae...il sait à propos de tu sais quoi...

Le brun resta pendant quelques secondes immobile.

-Ne me dit pas qu'il sait pour...

-Il y a de fortes chances, car il demandait des confirmations. affirma le blond, en mettant ses mains sur son volant. T'a trouvé un signal ou pas ?

-Non, impossible de savoir d'où s'est fait l'appel. Je vais aller ordonner qu'on le localise au secteur de recherche.

Ah oui ! J'allais oublier, j'ai trouvé le mec qui te surveillait. C'était le cher bras droit du patron de la mafia de Incheon.

 À cette nouvelle, le sang de Jimin ne fit qu'un tour.

-Où est-il actuellement Taehyung ?

-Je t'envoie l'adresse. Certains gardes sont entrain de le faire parler.

-Tae, je vais te laisser, on se revoit demain 20h à la réunion.

-Ok Jimin à demain.

-À demain.

L'homme blond démarra sa voiture. L'adresse reçu, Il activa son GPS pour une destination qui l'énervait déjà.

******

Lieu: Dans une boite de nuit populaire...

Le blondinet se gara dans le parking à proximité, descendit de sa Range Rover et avança vers l'entrée. Passez sans difficulté, il continua sa marche en traversant la foule de personne qui se déhanchaient sur la piste et arriva près d'une porte garder par deux garde du corps.

Les deux gardes étonnés par la venu de leur patron, se courbèrent à 90 degrés.

N'ayant que faire de ces politesses hypocrites , le blond passa devant eux sans leur parler et marcha jusqu'à son bureau. Lorsqu'il rentra, une personne ligoté sur une chaise apparut.

-On a fait ce que vous avez demandé patron. Nous avons essayé de le faire parler mais il ne veut rien dire. déclara un garde.

-Bien! Partez maintenant! Ordonna Jimin.

L'homme blond retroussa ses manches et alla vers un placard non loin de son bureau.

Son placard qui s'ouvrait par un code que lui seul connaissait, regorgeait d'armes.

il analysa ses armes et décida finalement prendre son katana. L'homme blond avança vers sa cible ligoté, qui avait la tête baisser depuis sa venue, dû aux coups reçus auparavant afin qu'il capitule.

Alors Jimin tendit son katana vers le visage de sa cible et d'une voix ferme il exigea:

-Relève la tête ! I.M !

L'interpellé se redressa en lâchant un rire provoquant.

-Avec grand plaisir....mon maître. Le dit I.M avait insister sur ses derniers mots avec l'audace  d'un sourire narquois.

Tout en passant la lame du visage au cou de sa cible, Jimin le fixa, cherchant à comprendre son comportement.

-I.M tu dois savoir pourquoi tu es ici n'est-ce pas ? Le blond passa la lame sur le torse de sa cible.

-Oui je le sais et j'en n'ai aucun remords. dit-il avec confiance. Confiance qu'il perdu très vite lorsque le blond remonta la lame vers son cou.

-Pourquoi me surveillais-tu ? Beaucoup de tes hommes ont été éliminés par les miens. Que cherchais-tu à voir, I.M ?

-Tout de vous maître. Je ne vais pas vous le cacher vous êtes très intéressant a observé surtout lorsqu'il s'agit de votre conviction à obtenir cette précieuse chose...

À ces mots Jimin appuya la pointe de la lame de son katana sur la jugulaire de sa cible.

-Comment sais-tu ça ! dit le blond avec sa voie pleine de colère.

-Ah je sais juste...il n'y pas que moi qui sait.

À cette révélation, Jimin perdit patience et trancha la tête de sa cible.

Ce bruit du Katana, retirant la vie d'un individu, l'homme blond était un habitué, les fois ne se comptait plus. Cependant, le l'homme blond ne s'arrêta pas et continua ses coups, comme pour déverser sa colère, sa rage renfrogné. Au même instant de l'autre coté de la pièce, dans les couloirs, un garde resta près de la porte par obligation. Il fut désigner comme celui qui ramassait les corps et les faisait disparaître.

Heesung !

Patron. Le dit Heesung ouvra la porte et baissa ses yeux directement sur le désastre.

Débarrasse-moi le plancher. Ordonna l'homme blond qui s'essuya les mains avec un tissu blanc, tout en marchant vers la sortie.

D'un visage neutre Heesung sortie des sacs et nettoya la pièce. L'homme blond était connu dans cette société illégale d'être intransigeant, le garde Heesung avait même déjà vu les grosses têtes y passer.