Les algues vertes (prologue)

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Le bruit des appareils médicaux résonnent dans la salle. Les chirurgiens s'agitent autour du corps étendu sur la table. Un tel cas de décomposition sur une personne encore vivante est spectaculaire et assez difficile à croire. Un corps récupéré en pleine mer, en parti dévoré par les poissons et les algues qui ont plantés leurs racines bien profondément pour la plupart. Les médecins essayent de les retirer, mais il y en a tellement. Absolument tout le corps en est recouvert. L'opération dure déjà depuis des heures.

Huit jours plutôt, dans une chambre d'hospital. Un autre hospital, sur un autre continent ; un miraculé me raconte son histoire. Blessé par balle à la tête, les intestins rongé pas un poison inconnu, il a encre du mal à s'exprimer. Mais je suis là pour l'aider. Son état s'améliore de jours en jours. Bientôt, il pourra retourner dans la vie active, bien qu'il restera défiguré à vie. Pour s'entraîner à parler, il me raconte des histoires. Il me fait de longues descriptions de lieux, généralement un aquarium. Il me parle souvent d'une enfant. Une jeune qui n'a pas eu toute ses chances dans la vie. Il me semble obsédé par ces éléments.

Une fois je lui ai mis la télé. Il a zappé sur quelques chaînes avant de tomber sur une dernière d'information qui parlait du scandale de la X.A.N.A.Corp. Il a immédiatement éteind. Je lui ai demandé pourquoi mais il n'a pas voulu me répondre. Par contre, par la suite, il m'a écrit. Toute cette histoire, de son métier et de cette fille algue. Il a clôturé sa lettre par ce message :

"Peut-être vie-t-elle toujours, mais j'en doute. Je me souviens de ce détail maintenant : la dégénérescence des organes. Quoi qu'il se passe elle mourra. J'hésite à la rejoindre.... J'ai un énorme regret également, je ne pourrai pas prendre soin de son poisson, Aka. Je me demande comment elle vie ses derniers instants.

Dans un lit, un œil s'ouvre, l'autre reste fermé, à jamais. La personne, allongée, ne sent plus certaines partie de son corps tandis que sur d'autre, elle sent des pansement. Elle essaye de bouger, de se projeter hors du lit, mais la partie sous son nombril ne répond pas. La personne est saisit d'un doute. Elle pousse la couverture avec les moignons qui lui servent de bras et découvre avec stupeur qu'il n'y a plus rien. Plus jamais elle ne pourra nager, mais elle s'y attendait au fond.

Durant les jours qui ont suivit. Il lui arrivait de se promener en fauteuil roulant dans l'hôpital. Poussé par un membre du personnel bien sûr. Elle faisait peur aux autres patients. Une couverture cachait le bas de son corps mais sa peau verdâtre qui tournait au marron par endroit, son œil en moins, ses moignons, son visage déformé et ses cheveux, désormais peu nombreux, blanc voir transparents étaient sujet à moqueries.

Oui, les autres jeunes patients rigolaient d'elle car ils en avaient peur. Ainsi, ils dédramatisaient la chose. Elle, elle ne parlait jamais, n'esquissait aucun signe si on ne l'interrogeait pas. Jusqu'au jour où un nouveau médecin fut placé ici. Elle paraissait émue de le voir. C'était un homme dans la trentaine, cheveux brun, court, imberbe, de taille moyenne. Elle tendis un bars vers lui en disant :

"パパ ?"

Il la regarda un instant et choqué répondit :

"Shoujokaisou !? Mais.... que fait tu ici ? Enfin, qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?

- Mon père m'a abandonné.

- Hein ? Mais... où est-il maintenant ? Les média ne parle que de lui.

- Sûrement mort."

Il contempla l'état de l'enfant et le fauteuil.

"Qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?

- Beaucoup de choses. J'ai rencontré un abruti qui se faisait en permanence des films en pensant qu'il avait un rôle important à jouer dans ma vie. Et puis, plus ressemant je me suis faîte repêché évanouie. Les médecins ont cru que j'étais humaine, comme ma peau se décompose, ils m'ont opérée en pensant que j'étais parasitée.

- Et maintenant, tout va bien ? ....

- Je vais mourir, mes organes me lâchent."

Elle se tue un instant et conclu avec un sourire radieux :

"でも、私のパパはここにいるから、うれしい。外に見に行きたい。いっしょに行こう?"

終わりです

Petites histoires pour s'endormir...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant