PDV Aria
Harry regarde sa nouvelle chambre avec étonnement et bonheur, il commence à ranger ses maigres affaires tandis que je réfléchis sur ce que m'ont dit les trois crétins en bas :
retour 20 minutes en arrière
Les trois connards sont suspendus à deux mètres du sol par ma seule volonté. C'est dans ces moments-là que j'adore être une Entité. Le gamins n'arrête pas de brailler alors je fis un mouvement de la main et lui retire sa voix. Il essaie à nouveau de crier mais rien de sort.
- Bien maintenant que le gosse pourris gâtés à sa maman la ferme, on va pouvoir parler.
- Qui êtes-vous ? cria la girafe. Et qu'avez-vous fait à mon Dudleynouchet ?
- Oh c'est simple, je suis la magie d'Harry, vous savez l'enfant innocent que vous avez maltraité depuis 5 ans et bah ça va changer maintenant.
- Jamais ce monstre ne sera comme nous, hurla la baleine Vernon.
- Vous avez raison, il est mille fois mieux que vous alors maintenant c'est le seul et unique avertissement, changer d'attitude envers Harry sinon je me verrais dans l'obligation de vous faire comprendre la douleur de ce petit garçon.
- Jamais la place du monstre est dans son placard et derrière les fourneaux. Continue à brailler Vernon.
Je soupire et serre mon point, le gosse commença à s'étouffer en cherchant de l'air mais sa panique ne me fit rien du tout. Le père et la mère me supplie d'arrêter mais je ne les écoute pas jusqu'à ce que :
- Aria ça suffit, arrête maintenant. Cria mentalement Harry avec peine et douleur.
- Ils ne méritent rien d'autre Harry.
- Mais nous ne sommes pas comme eux, s'il te plait, Stop. Dit-il d'une voix presque suppliante.
Je souffle avant de relâcher le petit cochon qui se remit à respirer de grandes bouffés d'air.
- Vous avez de la chance, Harry ne veut pas vous faire du mal.
- Qu...quoi mais pourquoi ? Hoqueta Pétunia
- Je vous l'ai dit, cet enfant vaut mille fois plus que vous alors maintenant vous allez m'écouter et mieux traiter Harry ?
- Oui oui, tout ce que tu veux. lâcha Pétunia en ignorant le regard outré de Vernon.
- Bien alors Harry aura le droit maintenant à une chambre descente, trois repas par jour et bien sûr, plus d'insulte de maltraitance ou de corvées forcé.
- D'accord, c'est bon, il aura tout cela mais vous devez promettre quelque chose.
- Vous êtes mal placés pour négocier quoique ce soit.
- Le vieil homme qui nous a laissé Harry, nous a aussi donné des instructions pour l'élever si nous n'obéissons pas, il nous tueras tous.
- Bien, c'est d'accord, je vais placer des barrières autour de la maison et sur vous, comme ça ce sorcier ne vous fera pas de mal.
Je les relâche et ils s'écrasent lamentablement sur le sol.
- Mais ne me faites pas regretter mon geste.
- Je vous laisse avec Harry mais n'oublier jamais, je serai toujours là et si jamais vous lui faites du mal, je vous ferai subir des tortures que même pour vous, les enfers vous paraîtront accueillante. Grondais-je d'une voix d'outre-tombe en chargeant mes yeux en magie.
Ils déglutirent difficilement avant de hocher la tête vivement. Satisfaite, je redonne le contrôle à Harry et les yeux rouges disparaissent. Puis Pétunia demande à Harry d'aller chercher ses affaires avant de le conduire dans une chambre à l'étage. Le bonheur et la reconnaissance d'Harry me touchent au plus haut point.
5 ans plus tard :
Harry a beaucoup grandi en cinq ans. Depuis notre altercation avec les trois humains, ils laissent Harry tranquille, ils ne l'aiment pas pour autant mais ils se contentent de l'ignorer et c'est bien mieux comme ça. Durant ces cinq ans, je me suis occupé de l'entraînement d'Harry. Maintenant il sait tout ce qu'il y a à savoir sur le monde magique ainsi que sur la magie elle-même. Harry peut maintenant maîtriser toutes les magie du multivers ( magie slayer de toutes espèces, des dieux, des esprits, la magie de l'esprit), la magie avec et sans baguette, il maîtrise aussi toutes les transformations en êtres magique comme les vampires, les loups-garous, les métamorphes, les fées, les sirènes, les elfes, Etc. Il sait que bientôt il recevras une lettre pour l'école de magie Poudlard et à ce moment-là, il ira récupérer son héritage, il faut juste que les humains me confère la garde d'Harry puis je m'occuperais du lien avec son tuteur magique en adoptant Harry mais il garderas le nom de Potter.
Harry fais apparaitre des papiers venant de Gringotts pour transférer la garde des humains à moi et descendit au salon où il demande à son oncle et sa tante de venir.
- Qu'est-ce que tu veux ? Grinça La Baleine Vernon.
- Il faut que vous signiez ses papiers pour annuler votre garde envers moi et la transférer à Aria.
- Qui est Aria ? Demande Pétunia.
Je me matérialise aux côtés d'Harry et rigole.
- Rebonjour les humains, vous avez meilleure mine que la dernière fois où vous étiez suspendus au mur.
- C'est, C'est vous. Balbutie Pétunia
- Bah oui, c'est moi, vous croyez que c'était qui sérieux. Répondis-je en levant les yeux au ciel.
- C'est bon. Hurla Vernon en tendant les papiers signés. Maintenant le monstre est à vous.
- Excellent.
Pile à ce moment, une chouette se pose sur le rebord de la fenêtre, une lettre dans le bec.
- Ah. Dis Harry avec excitation. Voilà la lettre pour Poudlard.
Il prit la lettre et fit apparaître des friandises pour chouette d'un geste de la main. Pétunia et Vernon grincèrent des dents, ils ont vraiment une dent contre moi.
- Harry prépare tes affaires, on va aller acheter tes fournitures scolaires avant d'aller s'installer chez moi.
- D'accord.
Et c'est un Harry tout content qui monta les escaliers pour partir de cette maison de fous. Je me retourne vers les deux Connard et leur souris sadiquement ce qui les fis reculer avant d'aller attendre Harry devant la porte.
Il arrive quelque minutes plus tard avec un petit sac à dos et me rejoignis. Je lui pris la main et nous téléporte devant le Chaudron baveur à Londres. Mais avant d'y entrer je dis à Harry.
- Met un glamour s'il te plait, tu sais que tu es une célébrité là-bas et je ne veux pas que l'on nous dérange.
Harry hoche la tête et se tapote le crâne alors que le glamour se met en place. Maintenant j'ai un petit bonhomme blond aux yeux gris devant moi et bien sur la cicatrice en forme d'éclair qui ne peut pas être camouflée par un glamour trône fièrement sur le front de celui que je considère comme mon fils. Je m'accroupis alors devant lui et passe ma main sur celle-ci. Elle disparaît sous une illusion que seule moi puisse briser. Je me relève et le regarde en lui prenant la main.
- Tu es prêt ?
- Oui, plus que prêt. répond-t-il avec un air déterminé.
- Alors c'est partit.
Et je pousse la porte du pub pour rentrer avec Harry. Les dés sont jetés.