Un Été Royal

By bookandshadow

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Quand on vous apprend que vous êtes une princesse, ça passe. Mais si on rajoute un mariage arrangé et un pou... More

chapitre 1(réécris)
chapitre 3
chapitre 2 (réécris)
chapitre 3 (réécris)
chapitre 4 (réécris)
chapitre 5 (réécris)
chapitre 6
chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
Chapitre 15
chapitre 16
chapitre 17
chapitre 18
Chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21
chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Épilogue
Un deuxième tome !

Chapitre 25

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By bookandshadow

Je rentre au studio le plus rapidement possible. J'ai failli me faire écraser une bonne dizaine de fois quand j'arrive enfin devant la porte. Elle n'est pas verrouillé. En rentrant dans l'appartement, je vois l'une des dernières choses que je m'attendais à voire : Clément et Léo assis en train de boire un verre ensemble.

- Bonjour Thalie, me salut Léo.

- Tu es déjà de retour chérie, s'exclame Clément. Je croyais que tu trainerais plus de temps dans les magasins !

- La seule chose que j'ai trouvais c'est un trépied, je lui répond en essayant de ralentir mon rythme cardiaque qui s'était accéléré durant ma course.

- Tu as l'aire épuisé, me dis Léo. Tu devrais boire un coup. Un peu de whisky ?

- Volontiers. Ça fera peut-être passé l'épouvantable journée que je viens de passer, je lâche.

- Allons, je suis sûr qu'elle n'était pas si terrible que ça, dit il en me servant un verre.

Je le prend, m'assoie et le bois cul-sec. Le liquide ambré me brule la gorge.

- Que s'est il passé pour qu'elle soit si horrible ? reprend il.

Je me suis disputé avec la personne qui, si je ne fais rien, vas passer le restant de ses jour à mes côtés, je me suis fais agresser par un type qui appartient à une société de psychopathes dont je ne sais rein, je suis rentré pour enlever le traceur que j'ai dans le bras mais au lieu de ça je bois un verre avec l'une des personnes qui a fais de mon enfance un enfers et pour finir c'est mon anniversaire mais tout le monde s'en fou.

- J'ai raté deux fois mon bus, je ment.

- C'est tout ! Tu trouves que ça défini une épouvantable journée ? me questionne mon ancien camarade de primaire.

- Je suis d'accord avec elle, intervient Clément. Raté son bus une fois c'est une mauvaise journée. Mais deux fois ! Elle a raison, c'est ce que l'on pourrait définir à une horrible journée.

- Tu plaisantes ? lui demande Léo.

- Je suis extrêmement sérieux. Plus sérieux que tu ne peux le croire.

- Vous parliez de quoi avant que j'arrive ? je les interroge en voulant détendre l'atmosphère.

- De toi, me lance Léo.

J'ai l'impression que ces deux mots sont aussi tranchants que des lames de rasoir.

- Et que disiez vous à mon sujet ?

- Je disais que Clément à beaucoup de chance de se marier avec toi. Tu sais, en primaire je n'étais pas le seul garçons à être tombé amoureux de l'aile cassée.

Je crois que si j'étais en train de boire ou de manger quelque chose je me serais étouffé.

- Pardon ! Je crois que je n'ais pas bien entendus ce que tu viens de dire !

- Tu as parfaitement compris ce que j'ai dis, Thalie. Quoi ? Tu n'étais pas au courant ?

- Non. Je ne le savais pas.

- Oh, je pensais que tu le savais. Tu n'as jamais entendu la rumeur ? dit il incrédule.

- Bien sûr que si, mais je croyais que c'était faux, que c'étais juste pour m'embêté. Tout le monde aimaient faire de ma vie d'écolière un enfer. Tu ne sais pas ce que ça fais de manger tout seul à la cantine car tu as toujours été le mec populaire pour qui les filles craquent. Sache que je ne fais pas partie de ces filles et que je n'ai jamais ressentie de sympathie pour toi lorsque nous étions à l'école. Tu as totalement gâché mon plaisir de danser, dis-je énervé avant de reprendre calmement. Alors non. Je ne le savais pas.

- Je ne m'attendais pas à tant de révélations en invitant Léo boire un verre, plaisante Clément.

- La ferme, lui lâche Léo.

- Tu ne lui parle pas comme ça, je lui abois. Ce que j'essaie de comprendre, dis-je calmement, c'est pourquoi tu n'es jamais venu me le dire ?

- Je pensais que tu le savais et j'avais peur de me prendre un râteau. Je me serai pris un râteau ?

- Bien évidemment !

- Vous pouvez vous calmer ? nous demande Clément. Nous sommes entre adultes responsables maintenant.

Après avoir dit ces mots, il plaque une main devant ça bouche.

- Tu as dis une bêtise ? Le questionne Léo.

- Thalie ! Je....Je... J'avais totalement oublié. Joyeux anniversaire. Je..Je suis terriblement confus. Je suis tellement désolé. Excuses moi, je ne suis qu'un imbécile.

- Et bien dit donc, il est vraiment amoureux pour s'excuser comme ça. Je ne savais pas que c'était ton anniversaire. Donc, joyeux anniversaire Thalie. C'est bizarre je n'ai pas eu de notification Facebook !

- On n'est pas amis sur Facebook.

- Alors tout s'explique. Désolé, dit il en regardant sa montre et en se levant, il est tard. Je dois y aller. À demain soir.

Il claque la porte.
Je me lève et me précipite sur l'armoire à pharmacie dans la salle de bain. Je suis sauvé, il y a des pansements, du désinfectant et une pince à épiler. Je prends un foulard, que je noue en haut de mon bras puis retire le pansement déjà présent.

- Mais qu'es ce que tu fais ?

- J'essaye de retiré le traceur qui est à l'intérieur de mon bras.

- Quoi ?

- Tais toi et viens plutôt m'aider au lieu de faire la vaisselle.

Il vient près de moi, prends mon bras et nous nous asseyons sur le rebord de la baignoire. Nous retirons mon ancien pansement et commençons à farfouiller dans la plais avec la pince à épiler. J'émet de petits gémissements de douleur.

- Ça va ? Me demande mon assistant, inquiet.

- Oui. La puce doit ce trouvé sur le haut de mon bras.

- C'est ça ?

Il désigne un bout argenté.

- Oui c'est ça. Maintenant retire le moi, s'il te plaît. Que l'on en finisse un fois pour toute.

Il enfonce la pince à épiler un peu plus profond pour attraper la puce. Ça me fait mal, c'est insupportable. Puis d'un coup, il arrache le traceur. Mon bras saigne. Clément prend une serviette de douche et compresse la plaît.

- On devrait aller à l'hôpital. Je pense que tu as besoin de points de sutures.

- Nous n'irons pas à l'hôpital. Tu vas m'aider à mettre un cataplasme et des sparadraps. Il y a une pharmacie en bas, tu peux aller me chercher un long pansement, s'il te plaît ?

- D'accord. Mais d'abord on désinfecte la blessure.

- Voilà ! Annonce fièrement Clément un ruban de pansement à main. On n'a juste à découper à la bonne longueur. Ça saigne pas trop ?

- J'ai pris une autre serviette pour compresser mais ça c'est calmer.

Il mesure à peut près, prend une paire de ciseaux et coupe un pansement à la bonne longueur. Je retire la serviette, ça ne saigne presque plus, puis il applique le pansement.
Je défais le foulard de mon bras. Il est taché de sang. On dirait que je viens de commettre un meurtre mais que c'est moi la victime.

- Ce serait bien de trouver quelque chose pour maintenir ton pansement au cas où.

- Je n'ai plus de foulard et si on utilise les serviettes de bain restantes on en auras plus pour nous séché.

- Bon, ok, t'as gagner.

- Je peu savoir pourquoi tu retires ta chemise ?

- Ça vas maintenir ton pansement, dit il en déchirant la manche. Tiens, ça te fera une très jolie manchette.

Je prends le tissu qu'il me tend et enfile la manche et l'ajuste avec deux épingles à nourrice. Le tissu est léger, ce qui ne rendra pas inconfortable par ces chaudes nuit d'été. Après avoir inspecté le tissu je regarde Clément. Il a plein de petits bleus sur tous le torse, un peu comme moi - même si j'en ai moins - , dû à l'affrontement de la serre.

- Tu ne m'a pas expliquer comment tu avais sue que tu avais cette puce implanté.

- Je te la raconter après avoir manger, j'ai faim. Et puis on vas collé la puce sur un pigeon.

- Tu veux qu'on aille au restaurant ? Je suis encore désolé d'avoir oublié ton anniversaire. J'aimerais me faire pardonner.

- Je n'ai pas trop envie de m'habiller et de sortir. Ça te vas si on commande une pizza à la pizzeria d'en bas ?

- Oui. Pas de problèmes.

- Alors commandons ! Met une chemise avant de sortir les chercher quand même.

Après avoir raconter mes péripéties de l'après midi en mangeant une pizza, nous nous partageons un pot de glace au chocolat.

- Je suis désolé, il n'y a même pas de bougies.

- Ne t'inquiète pas, ça aurait fait fondre la glace de toute façon.

- J'irai te chercher un cadeau demain. En attendant si je peux faire quoi que se soit, n'hésite pas.

- Ne t'inquiète pas. Je me fiche des cadeaux, ce n'est que matériel, même si ça fait toujours plaisir. Tu n'as qu'à répondre à ma question.

- Qu'elle question ?

- Celle que je t'ai posé ce matin.

Il se raidit.

- Je ne crois pas que ce soit une bonne idée pour un anniversaire.

- Pourquoi ? Tu n'as qu'à raconter et je jugerai si c'est oui ou non une bonne idée. Allés, fais un petit effort. On pas passer le reste de notre vie ensemble. Tu craqueras bien à un moment

- Bon d'accord mais tu ne doit répéter ça à personne.

- Juré.

- Bien. Tu sais que officiellement je n'ai pas de don. Mais enfaite je le cache. Vois tu, ma famille n'aime pas trop avoir des personnes qui traînes dans ses pates, alors on se serre de nos pouvoir pour les mettre hors d'état de nuire. J'ai vu mon frère forcé un homme à sauter d'un pont, un jour quand j'avais quinze an. Je ne veux pas avoir de mort sur la conscience alors j'ai toujours fais semblent de ne pas en avoir, j'ai toujours menti. Mais ma mère n'est pas dupe et me torture avec des coups de ceinture pour que j'avoue. Je n'ai jamais rien dit car mon don pourrait leur être bien trop utile. Je peu voir le passé d'une personne en la regardant dans les yeux, d'un seul coup d'œil. Ça y est, je l'ai dit. Sache que tu es là première personne à qui je le dis. Alors c'était une bonne idée ou pas ?

Je me suis contenter d'écouter en silence. J'essaye de refoulé ma haine envers Sofia mais il est très probable que la prochaine fois que je la vois je tente de lui arracher les yeux. Mais je ne sais pas quoi dire, je n'est jamais été forte pour trouvé les mots et réconforter. Une larme coule sur ça joue droite. Il la sèche d'un revers de main puis continu :

- Tu comprend ? Tu comprend maintenant tout l'importance de ce mariage. Thalie, tu es une fille super et sache que te volé ta vie futur n'est pas facile pour moi aussi. Je n'ai jamais voulu te faire de mal alors si je t'ais fais souffrir d'une manière ou d'une autre, j'en suis désolé. Si je me marie, ma mère ne pourras plus me faire de mal, elle n'auras plus aucun moyen de m'atteindre( tout en disant ces mots, il se lève) Alors, je ne te le demanderais qu'une fois. (Il un objet de sa poche ) Si tu refuses je comprendrais. ( Il met un genou au sol) Thalie veux- tu devenir ma femme ? me demande-t-il en ouvrant l'écrin qu'il à sortit de sa poche.

Que faire ? C'est lui ou moi.

- Je...Oui.

- Oui ?

- Oui, dis-je dans un sanglot en lui montrant ma main pour qu'il mette la bague à mon annulaire.

- Tu es sûr que ça va ?

- Oui. C'est...C'est juste l'émotion, je ment.

Il me prend dans ses bras et sèche mes larmes.

- Trop de princesses ont eus les joues souillées de larmes avant toi, mais seule les vraies reines savent séché leur larmes et réparer leur cœur bien trop souvent brisé.

- Et suis-je une princesse ou une reine ?

- Tu es humaine.

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