Zootopie : Deux drôles de fli...

Bởi RayzerFox

9.6K 670 1.3K

Attention, cette histoire est la suite de Deux drôles de flics 1 donc assurez-vous d'avoir lu celui-ci pour c... Xem Thêm

1-Le miracle.
2-Le passé de Judy.
3-Instint sauvage.
4-Sauvé par la meute.
5-Initiation et début de l'aventure.
6-Recherche de la ville.
7-Retour dans la ville.
8-De l'aide pour Judy.
9-Attaque en territoire ennemi.
10-Retour d'une vie normale.
11-Affrontation finale.
12-De l'utopie à la dictature.
13-Soulèvement et révélations.
JE SUIS DE RETOUR !

14-Epilogue.

449 31 66
Bởi RayzerFox

Depuis l'assassina de Bellwether, plusieurs semaines s'étaient écoulées durant lesquelles ma vie, ainsi que celle de Judy, redevint enfin calme. Leodore Lionheart retourna au poste de maire de Zootopie et instaura toutes sortes de nouvelles règlemetations pour stopper le phénomène des chasseurs de canidés. Désormais, pour protéger la ville de ceux-ci, il y avait des militaires et des policers à tous les coins de rue avec l'objectif de les traquer pour les faire changer de camp, les bannir ou les tuer s'ils résistaient. Evidemment, cette façon d'arranger le problème effrayait certaines personnes qui ne se sentaient plus vraiment en sécurité, mais ce système avait déjà prouvé son efficacité. De plus, un programme pour l'intégration des canidés dans la société avait été lancé, même si ça allait mettre énormément de temps pour y arriver. Dans un premier temps, une loi avait été créée pour interdire le meurtre de canidés pour en faire de la nourriture et donc appaiser les tensions entre les animaux civilisés et les animaux sauvages. D'ailleurs, plus personne n'avait le droit de considérer les canidés comme des sous-êtres ce qui allait faciliter une bonne entente et une égalité correcte. Pendant que tous ces changements se faisaient appliquer, Judy et moi, on était dispensé de travail pour nous reposer mais aussi pour être sûr d'être en sécurité jusqu'à la fin de l'opération de nettoyage. Les premiers jours, on était retourné dans l'appartement de Judy pour nous y cacher parce que c'était trop voyant d'emménager directement dans ma nouvelle maison. Ensuite, quand on fut averti par Bogo que les environs commençaient à être sécurisés, on se mit à sortir tous les jours pour enfin profiter de notre vie à deux. Pour une raison de nostalgie et d'amusement, on avait décidé de retracer notre petite aventure qui nous avait permit de nous rencontrer jusqu'au moment où on avait été banni de la ville. On se souvenait encore de tout, ma tentative de vol dans la ruelle du centre ville, nos retrouvailles devant le repère de Mister Big dans la banquise, nos chamailleries un peu partout pour nous taquiner l'un l'autre, mon intégration dans la police, notre première enquête et tout le reste... On prit la voiture pour refaire ce parcours et, sur le chemin, Judy se tourna vers moi tout en conduisant avant de me dire :

- "Je te remercie infiniment, Nick..."

- "Heu... Ca va Judy? Pourquoi tu me dis ça soudainement?", demandais-je avec un sourire interrogateur.

- " Pour tout... Grâce à toi, j'ai pu vivre des choses incroyables et ce, même si ce n'était pas toujours joyeux... En fait, tu m'as tout simplement permis de réaliser mon rêve!", me répondit-elle en souriant à son tour.

- "Ce n'est rien, Judy... Et moi aussi je te remercie... Grâce à toi, j'ai réussi à avoir une vie normale et les canidés ne sont plus en danger de mort permanent! Tien, en parlant de ça, il y a une promesse que j'ai fait à quelqu'un et je vais bientôt devoir la tenir.", répondis-je à mon tour en me sentant soulagé d'un immense poids après toute cette histoire.

- "Ah bon? J'ai raté quelque chose? Parce que je ne me souviens pas que tu ais promis quoi que ce soit à quelqu'un.", me dit-elle d'un air intrigué.

- "Oh, c'est vrai, tu étais encore retenue prisonnière chez Bonnie... En fait, pendant que je préparais avec Bogo le plan pour te sauver, j'ai eu le temps de discuter avec lui et j'ai appris qu'il rêvait de voir la réelle nature à l'extérieure de la ville. Je lui ai donc promis que, un jour, j'allais l'y emmener... En plus, ça pourrait être pour moi l'occasion de lui présenter ma famille, ainsi qu'à toi, comme ça vous pourrez voir que certains canidés sont quand même civilisés, contrairement à ce qu'on pense.", expliquais-je en regardant la route par la fenêtre tout en ayant l'air perdu dans mes pensées.

Au moment où j'eus terminé de dire ça, on vit une autre voiture qui roulait très lentement, comme si elle avait un problème. On s'arrêta à côté et, une fois sorti de notre voiture, on toqua sur la vitre de celle en difficulté avant de voir, à ma grande surprise, Flash qui ouvrit la porte. Judy ne le connaissait pas, mais il me reconnu et se tourna donc vers moi avant de dire très lentement et d'un air perdu :

- "Oh... salut... Nick... Je... roulais... trop... vite... c'est.... ça...?"

- "Quoi? Trop vite? Sérieusement, tu te fiches de moi... Tu roulais seulement à du 20 km/h sur une autoroute!", répondis-je dans l'incompréhension totale.

- "Bah... tu... fais... parti... de... la... police... maintenant... donc... je... suppose... que... tu... n'es... pas... là... pour... rien... C'est... que... j'ai... fait... quelque... chose... de... mal...", rétorqua-t-il toujours aussi lentement.

- "Nick, je peux te parler en privé s'il-te-plait?", me demanda subitement Judy avec un sourire hypocrite.

- "D'accord, si tu veux.", dis-je en m'éloignant de Flash et de sa voiture.

- "Un paresseux?! Tu le connais? Parce que si tu commences à discuter avec lui, ça va mettre énormément de temps!", m'expliqua-t-elle d'un air désespéré.

- "T'inquiète pas, il n'y a pas plus rapide que Flash!", affirmais-je en tirant la langue.

- "Pardon?! T'as vu à quelle vitesse il roulait? Et c'était déjà trop rapide pour lui!", s'écria Judy d'impatience.

- "Oh mais quelle rabat-joie tu fais!", terminais-je en retournant vers Flash.

- "Alors... pourquoi... vous... êtes... là... si... ce... n'est... pas... pour... m'arrêter...?", me questionna-t-il toujours avec son même air perdu.

- "Bah justement, tu roulais tellement lentement qu'on pensait que ta voiture avait un problème! Donc ne t'en fais pas, on ne va pas t'arrêter puisque tu ne dépassais pas du tout la limite de vitesse. Et de toutes façons, on n'est pas de service en ce moment... Par contre, ça serait bien que tu ailles plus vite maintenant.", précisais-je en souriant gentiement.

Après quoi, on se fit signe et on repartit tous dans nos voitures respectives mais, avant même que Judy et moi, on puisse reprendre notre route, on vit celle de Flash démarrer brusquement et partir à au moins 150 km/h. Tandis que je me mis à rire comme jamais à cause de la situation ridicule, Judy soupira avant de frapper sa tête contre le volant ce qui activa le klaxon. Au bout de quelques secondes, elle mit son désespoir de côté pour se concentrer sur la course-poursuite qui allait s'engager. Alors qu'elle accéléra grandement pour rattraper Flash, je décidai d'appeler celui-ci sur mon téléphone d'un air amusé en lui disant :

- "Bah alors? Maintenant tu vas trop vite! Avec toi, c'est tout ou rien à ce que je vois."

- "Je... ne... sais... pas... où... sont... les... freins...!", s'écria-t-il d'un air effrayé.

- "Hahaha! Nan mais quel boulet! T'inquiète pas, on vient te chercher!", répondis-je en explosant de rire avant de raccrocher et de me tourner vers Judy pour lui dire : "Tu vois, je te l'avais dit qu'il n'y avait pas plus rapide que lui!"

Elle ne semblait pas vouloir répondre parce qu'elle conduisait et elle avait raison donc je me décidai à en faire de même en me taisant. Au final, la course-poursuite se passa très bien puisque Flash avait fini par trouver les freins et s'était donc arrêté. On lui expliqua ensuite qu'il était préférable pour tout le monde qu'il recommence à rouler doucement et c'est ce qu'il fit alors qu'on repartait sur le tracé de notre aventure. Ce petit retour en arrière dans le temps nous avait pris toute la journée et, une fois la nuit venue, Judy me conduisit au commissariat pour que je puisse tenir ma promesse à Bogo. Quand on arriva, celui-ci nous accueillit joyeusement parce que, avec le temps, il avait appris à nous apprécier et nous considérait désormais comme ses deux petits protégés. Je lui expliquai pour quelle raison on était venu et un sourire se dessina sur son visage, le même que celui de Judy au moment où elle m'avait dit que, grâce à moi, elle avait pu réaliser son rêve. Tout en discutant de choses banales, on se dirigeait tous les trois vers une des voitures de service spécialisées dans les voyages externes à Zootopie. Au même titre que les trains, qui reliaient les villes entre elles, étaient protégés grâce au fait qu'ils se déplaçaient sous terre, ces voitures étaient protégées grâce à un puissant blindage. Le Chef Bogo avait toutes les autorisations nécéssaires pour traverser diectement les murailles pour aller dans la forêt donc rien ne nous empêcha de le faire. Dans la situation actuelle, je me sentais très bizarre... En fait, je me sentais tout simplement heureux. Plus rien ne menaçait de nous tuer, j'étais enfin avec la personne que j'aimais et les gens ne me considéraient plus comme un sous-être auquel il ne fallait pas faire confiance. Une fois qu'on fut à l'extérieur de la ville, je guidai Bogo qui conduisait pour qu'il nous emmène dans les plus beaux endroits de la forêt que j'avais pu voir durant notre petite aventure et qu'il puisse les voir à son tour. Je comptais bel et bien leur montrer ma famille mais je me disais que ce n'était pas encore le bon moment... Il était préférable d'attendre encore un peu que les tensions baisses parce que, après tout, ma famille n'était toujours pas au courant de la mort de Gidéon... Et je devais bien avouer que j'avais peur de leur annoncer la mauvaise nouvelle... Voilà que je me mettais à penser aux choses négatives qui m'entouraient alors que Bogo et Judy s'émerveillaient sur les alentours magnifiques. Je repensais à ce fameux Jack Savage qui prétendait être notre nouvel allié mais qui ne m'inspirait rien de bon. Et puis, la menace que représentaient les chasseurs de canidés avait été éradiquée donc pourquoi voudrait-il nous aider? Tout ça me perturbait mais je fus stoppé dans ma reflexion lorsque Bogo fit un violent virage avec la voiture et que Judy m'attrapa le bras pour m'attirer discrètement dehors. Je ne comprennais pas ce qui se passait et je commençais à m'inquiéter en me disant qu'on se faisait attaquer mais Judy me chuchota calmement dans mon oreille :

- "Regarde là-bas, un renardeau qui cherche à manger! Il a l'air seul..."

- "Quoi? Et il n'a pas peur de nous? Avec le bruit qu'a fait la voiture, il aurait dû fuir depuis longtemps!", répondis-je d'un air étonné.

- "Non, et c'est ça qui m'a le plus intrigué... En plus du fait qu'il semble venir vers nous pour chercher de la nourriture.", continua Bogo sur les explications de Judy.

- "C'est plutôt étonnant... Je pense qu'elle n'a pas eu le temps d'apprendre à se méfier des gens, vu son jeune âge. Parce que, oui, c'est une femelle, ça se voit.", rétorquais-je en ayant l'air de réfléchir.

Après quelques secondes, je me levai pour retourner dans la voiture et chercher de la viande avant de revenir et de m'approcher lentement de la renarde qui ne semblait toujours pas avoir peur de moi. Ensuite, contre toutes attentes, elle vint manger le morceau de viande que je lui tendais avant de venir encore plus près pour se frotter amicalement contre moi. Clairement, cette petite renarde avait été abandonnée par ses parents car elle était encore beaucoup trop jeune pour pouvoir se débrouiller seule. Je me décidai à la prendre dans mes bras et à la soulever pour l'emmener vers la voiture alors qu'elle se laissait faire. Quand j'arrivai devant Judy, je lui fis une proposition étrange et sur un coup de tête qui consistait à garder la renarde auprès de nous pour s'en occuper, comme si on l'avait adopté. Bogo n'avait pas l'air de contester cette idée et semblait même être d'accord. Judy réfléchit pendant un petit moment avant de prendre à son tour timidement la renarde dans ses bras et d'accepter ma demande tout en se mettant à sourire chaleureusement. Puis elle la déposa sur l'un des sièges arrières de la voiture où celle-ci s'endormit directement avant de me dire qu'il fallait lui trouver un nom. Sans vraiment y penser, je soumis ma première idée qui était de l'appeler Clara, et Judy tomba tout de suite sous le charme de ce nom qui, selon elle, allait très bien à la renarde. Après quoi, Bogo se contenta de nous faire signe de remonter dans la voiture pour qu'il puisse nous reconduire dans la ville. Judy et moi, on s'était assis chacun d'un côté de Clara alors qu'on pensait sûrement tous les deux à la même chose, on allait entammer une nouvelle vie qui nous plaisait déjà énormément.

_____________________________________________________________________________

Merci d'avoir lu, n'hésitez pas à voter pour le chapitre, à laisser un commentaire, à partager avec vos amis et à vous abonner ça me ferait énormément plaisir, à la prochaine! :D


Đọc tiếp

Bạn Cũng Sẽ Thích

1.5K 75 26
Mélanie à un dernier souhait avant de partir! Va t-il se réaliser? Et quelle est son souhait? Qui va tout faire pour qu'elle sois heureuse pendant un...
108K 3K 33
Une discussion sur Whatsapp Des rencontres inoubliables Mais surtout UNE rencontre inoubliable Élisa//EDF le plagiat c'est pour les pizzas🍕🍕 1k💥:...
56.9K 3.2K 70
La nouvelle génération débarque! Feront-ils mieux que leurs parents? A vous de le découvrir!
7.1K 163 22
{Terminé} Yooooooooooooo salut ici c'est des choses en rapport avec les rappeurs/rappeuses. En gros je vais faire des biographies, mettre des punchl...