Alexeï.
- attendez le médecin, nous ne pouvons rien déclarer pour le moment !
Encore cette même phrase depuis maintenant deux heures que j'attendais dans cette salle d'attente froide.
Je vais tuer quelqu'un !
Lorsque j'avais vu son corps tomber des dernières marches de l'escalier, j'avais cru mon coeur s'arrêter. La voir contre le marbre froid la tête ensanglantée avait glacé l'intégralité de mon sang. J'avais eu la sensation de mon souffle se couper, j'avais eu l'impression que mes poumons n'arrivaient plus à pomper de l'air, comme si mon cerveau c'était déconnecté de la réalité un moment stoppant ainsi l'intégralité de mon organisme.
Je n'avais pas réalisé sur le moment que c'était bien son corps que je voyais inerte, que ce n'était pas elle que j'avais vu dévalé les marches comme un vulgaire sac de patates, que ce n'était pas son sang qui colorait le marbre blanc , que ce n'était pas sa boucle d'oreilles qui avait roulé jusqu'à mes pieds.
Non!
J'avais eu de la peine à assimiler cette horreur et se fût les cris d'éffrois des autres invités qui m'avaient reconnectés à la réalité.
Tel un automate je m'étais précipité sur son corps sans vie m'assurant tout d'abord qu'elle respirait encore, et ce fut lorsque je sentis son pouls sous mes doigts que ma respiration s'était affaissé mais je n'en étais pas resté moins alarmé.
Je n'avais pas attendu la venue des secours , et encore je ne savais même pas s'ils avaient appelé les secours mais de toute façon je ne les aurais pas laissé la transporter dans une civière, la voir dessus m'aurais donné l'impression de la perdre un peu plus chaque seconde.
Je l'avais ainsi moi même soulevé du sol, je l'avais serré contre moi avec une telle force que j'avais eu à la fois peur de l'étouffer, je n'en avais que faire de ceux qui m'entouraient , tout ce qui m'importais à ce moment précis était qu'elle aille bien.
- calme toi mec, tu es tellement tendu que j'ai peur que tu ne me fasses une crise cardiaque. Me dit Drake qui m'avait suivie de près avec sa voiture.
S'il n'était pas là avec moi dans cette clinique j'aurais sûrement déjà pété un câble.
- comment ne pas être sous pression ça fait des heures que j'attend des nouvelles et rien! Dis je tout en me débarrassant de cette ignoble cravate qui m'enserrait le cou.
Je m'avachis sur le sofa blanc de cette salle qui sentait affreusement le formol, raison pour laquelle je détestais les cliniques, cette odeur me donnait toujours la nausée. Mais cette fois cette envie de vomir était étouffée par le stress que je ressentais au fond de mes trippes .
Je ne pouvais pas la perdre !
Pas maintenant !
Pas toute suite !
Alors que tout commençait à bien aller, alors qu'elle avait déjà commencé à s'ouvrir à moi , elle ne pouvait pas partir au moment oú je comprenais enfin ses sensations qui me tordaient les trippes, elle ne pouvait pas me laisser au moment où j'avais déjà obtenu réponses à mes questions, elle n'en avait pas le droit et de toute façon je ne la laisserais pas.
Même s'il faille me battre contre le diable lui même pour elle, je ne quitterais pas l'enfer sans amener son âme avec moi. Je la lui arracherais des mains , car elle était à moi, son âme était à moi. J'avais plus de droit sur elle que quiconque, elle ne pouvait pas me passer entre les doigts alors qu'elle était encrée dans chaque parcelle de ma chair.
- je sais que tu as peur pour elle mais ce n'est pas en tombant dans les pommes que tu arrangeras les choses.
Il avait bien raison , je sentais déjà cette douleur nerveuse dans mon cou , l'arrière de mon crâne m'envoyait des signaux pour que je me calme , mais je ne le pouvais pas , je n'en avais pas la force , tant que je ne saurais pas s'il elle ira bien je ne me calmerais pas.
- je ne peux pas, tout ce que je veux c'est que ce putain de médecin ramène sa tête ici pour me donner de bonnes nouvelles.
- elle ira bien ne t'inquiètes pas.
Je le souhaites tellement !
- elle n'a pas d'autre choix que d'aller bien de toute façon, elle n'a pas le droit de me faire ça, je ne lui pas donné l'autorisation de me quitter.
J'étais perdu !
- je ne comprends pas comment elle a pû tomber , elle est maladroite je le conçois mais à ce point là. Dis je déconcerté.
- elle semblait pourtant très stressée ce soir peut être est ce la raison. Répondit Drake
Stressée?
Pourquoi ?
- je ne comprends pas, elle n'avait pourtant pas l'air stressé lorsque nous sommes arrivés.
- elle semblait pourtant essayer de fuir le diable, c'est l'effet que ta mère à sur les gens.
Cette femme , encore et toujours elle . Décidément elle ne cessera donc jamais d'être là cause de mes peines .
Si c'était réellement à cause d'elle qu'elle était tombée, je ne ferais qu'une bouchée d'Athéna , elle ne s'en sortira pas cette fois.
Mais pour le moment c'était le cadet de mes soucis , savoir si elle allait bien ou non était l'objet de mes tourments .
- le plus important actuellement est d'avoir des nouvelles , lorsque je serais certain qu'elle est en un et seul morceau je me pencherais ensuite sur le cas de cette personne qui est la cause de sa chute . Dis je le regard noir.
- je crois que c'est .....
Je vis le médecin venir vers nous.
- oui docteur comment va-t-elle ? Dis-je la douleur coincée dans la gorge.
Je m'étais redressé ainsi que Drake, la nouvelle qui allait arriver pourrait m'assomer telle une massue ou libérée mon être de tout ce stress qui le rend depuis maintenant trop longtemps.
- qui êtes vous pour la patiente Monsieur ? Je ne peux délivrer des informations sur la santé de la patiente à un inconnu.
Il se fou de ma gueule ce quincagénaire?
- nous l'avons transporté jusqu'ici docteur alors...
Commença drake .
- c'est ma femme docteur alors j'exiges de savoir dans quel état elle se trouve . Dis-je la rage dans la voix. J'avais cette violente envie de lui rentrer dedans à ce foutu médecin .
- mais je ne vois pourtant pas de bague à son annulaire et au votre non plus. Dit il me dévisageant à travers ses lunettes.
Porní!!
- elle est ma fiancée c'est du pareil au même , dites moi comment elle va ! Rugis-je presque.
- pardonnez mon insistance monsieur, bon la patiente n'est pas dans un état critique alors vous pouvez vous redescendre, elle a juste eu un léger traumatisme crânien à cause de sa tête qui violemment frappé les marches, elle a une légère entorse au poignet gauche mais rien de bien alarmant, elle pourra se reservir de son poignet d'ici deux semaines en attendant elle portera une attelle. Débite-t-il les yeux rivés sur le dossier qu'il tenait entre ses mains .
L'entendre dire ces mots me soulageait plus que ce que je l'avais imaginé. J'avais l'impression de redescendre comme un ballon remplie d'air qui se degonflait. Elle allait bien , elle était encore là avec moi .
Drake me tapota l'épaule signe de son soutien , c'était vraiment mon ami .
- vous êtes sûr qu'elle n'a rien de plus de casser ? Tout est en ordre ? Demandais- je encore pour en être certain.
- oui j'en suis plus que certain mais , elle souffrira de fortes migraines dans les semaines ou même les mois à venir, le choc était assez fort et elle a été bien sonnée, nous lui avons prescrit une ordonnance pour ça , tenez . Dit il tout en le tendant un bout de papier .
Je le pris .
- lorsqu'elle sera soumit à ces fortes douleurs faites lui prendre ce comprimé elle dormira ensuite et ira mieux après .
- il n'y a rien que l'on puisse faire pour lui éviter ces douleurs docteur ? Demanda Drake à ma place .
- malheureusement non, nous sommes passé de près à un traumatisme crânien , si elle était tombée un peu plus fort elle n'aurait pas eu la même chance, peut être même qu'elle serait en ce moment même dans le coma, la personne qui l'a poussé avait vraiment l'intention de lui faire du mal.
Pardon!
Je n'ai pas bien compris .
- vous faites sûrement une erreur docteur elle a glissé dans les escaliers, elle est tombée toute seule. Dis je décontenancé.
- non, une simple chute ne pas faire autant de dégâts Monsieur, elle est sûrement tombée ça c'est un fait , mais la puissance avec laquelle sa tête a heurtée les marches ne veut dire qu'une chose, elle a été poussée et la personne n'y est pas allée de main morte.
Ce n'était pas possible , qui lui avait fait ça et pourquoi ? Et Moi qui pensais qu'elle était simplement tombée.
La rage que j'avais dans mes tripyes se decupla davantage. Déjà cela ne pouvait être Athena , elle était dans mon champ de vision, me nargant du regard comme elle savait si bien le faire. Et cela était d'autant plus impossible car je n'avais pas eu le temps de faire les présentations, elle ne savait même pas que j'étais accompagné ce soir.
Un suspect en moins.
- je peux aller la voir ?
- oui elle est en salle de réveil, porte 237, vous pouvez rentrer avec elle dès ce soir si vous le souhaitez.
- vous êtes sûr qu'elle ne risque plus rien ? Demanda Drake.
- cela ne sert à rien de la garder ici, tout a déjà été fait et les examens ne révèlent rien d'alarmant alors elle peut rentrer , elle est déjà réveillée de toute façon, bonne chance mon garçon. Dit il avant de tourner le dos.
Je me tournai vers Drake .
- merci d'avoir été là pour moi mon ami , tu as été d'un grand soutient . Dis je tout en lui faisant une accolade d'homme .
Un frère d'une autre mère , mais un frère très bête et stupide!
- c'est normal! je t'ai déjà dit qu'on ne remercie pas sa famille Zeus, maintenant cours comme le Héros que tu es et par retrouver ta belle humaine saine et sauve , je l'entends d'ici crier ton nom.
- tu ne pouvais pas rester sérieux quelques minutes de plus ? Demandai-je désespéré.
Il m'épuisait!
- être sérieux me donne des oedèmes, non merci , bon ! Je dois y aller maintenant Darel m'a appelé pour que j'ailles la récupérer à une soirée qui est je cites "nulle à chier".
Darel était sa petite soeur. Une magnifique peste qui lui en faisait voir de toutes les couleurs.
- elle est assez grande pour conduire sa propre voiture non! N'était-elle pas déjà censée avoir son permis ?
- cette imbécile à fait l'exploit de rater son code, résultats je suis son chauffeur personnel, un jour je vais briser la nuque de cette gamine et jeter son corps à la mer et je dirais aux parents qu'elle s'est faite la malle avec un drogué du Queens .
Je souris , toujours aussi créativité ce type .
- engage lui un chauffeur personnel, ça te fera gagner en temps .
- dit ça à ma mère , elle ne veut pas laisser sa fille entre les mains d'un inconnu, bon je te laisses avant que sa majesté Darel ne m'appelle pour la cinquantième fois . Dit il avant de tourner le dos et de partir sa veste bleu à la main.
Moi je me dirigeai dans la direction opposée, afin de rejoindre la chambre de Maëlys.
Lorsque je passai la porte, elle était là, couchée sur ce lit blanc toujours vêtue de sa robe noire. Elle avait une petite bande sur le front et son poignet gauche était dans une attelle.
Ses lèvres roses était blanche et gersées, et sa peau qui était pleine de couleurs était tout aussi pâle.
Mon bébé !
Je me rapprochai du lit et pris place sur la chaise près d'elle. Elle avait les yeux fermé. Je me demandais comment elle avait pû supporter une telle douleur avec son petit corps à peine menu. Ses cheveux noire était éparpillés en halo sur l'oreiller immaculé. Elle ressemblait là, à cette instant même, à un ange tombé du ciel. Elle était tout bonnement magnifique.
Je caraissai tout doucement sa joue et frôlai la bande qui recouvrait la moitié de son front.
J'avais tellement mal de la voir ainsi. Je voulais tellement être à sa place, que cette douleur qui lui faisait plisser les sourcils soit mienne, que ce soit moi et non elle qui soit couchée dans ce lit d'hôpital.
Je la sentis bouger un tout petit peu avant d'ouvrir les yeux. Ses petits yeux gris se remplirent directement de larmes lorsque son regard rencontra de mien.
- mon amour ne pleure pas je t'en supplie tout va très bien agapí, c'est finit maintenant. Dis je en la serrant contre moi tout en lui déposant un baiser sur le haut de son crâne.
- je suis désolée... Je suis désolée d'avoir gâché ta soirée.
Elle pensait encore à cette stupide soirée, alors que je m'étais fait un sang d'encre pour elle.
Cette fille était décidément folle !
- tu n'as rien gâché du tout, le plus important c'est que tu ailles bien mon ange d'accord. La rassurais- je
- je veux rentrer à la maison Alexeï, je ne veux pas rester ici . Dit elle la voix tremblante.
- oui on va rentrer à la maison mais je dois d'abord signer les papiers pour ta sortie de l'hôpital je reviens .
Je me détachai d'elle afin de sortir de la pièce m'enquérir du prix des factures d'hôpital.
- ne me laisse pas seule trop longtemps s'il te plaît. Me dit elle la voix pleurante.
Elle était si vulnérable à ce moment, je voyais sans peine la femme brisée qui avait traversé le seuil de mon appartement quelque six jours plus tôt.
- ferme les yeux et à ton réveil tu seras dans notre lit.
Les gouttes d'eau froides qui ruisselaient le long de mon torse détendaient doucement les muscles de mon corps.
J'en avais besoin.
J'avais besoin d'une bonne douche froide afin de calmer les nerfs qui depuis sa chute n'avaient de cesse de monter. Elle était là dans le lit, à quelques mètres de moi, en santé.
J'essayais tant bien que mal de convaincre mon esprit que tout allait bien mais je n'y arrivais pas.
Il avait fallu la voir dans cet état pour comprendre tout se qui se passait en moi, il avait fallu que je la vois la tête ensanglantée pour comprendre ce sentiment qui faisait battre mon coeur un plus fort chaque seconde , il avait fallu que la peur de la perdre soit si grande pour que je perces enfin ce mystère à jour, que j'assimiles la raison de mon changement, il avait fallu qu'elle soit hors de ma portée pendant deux heures pour que j'ai toutes les réponses à mes stupides questions.
Je l'aimais cela ne faisait aucun de doute, j'aimais cette femme, j'aimais tout d'elle, j'aimais sa peau laiteuse et pâle, j'aimais son regard de biche appeurée, j'aimais ses longs cheveux jaie, j'aimais la candeur qu'elle dégageait ainsi que le désir qu'elle provoquait en moi , j'aimais sa façon de gémir lorsque ma bouche rencontrais la sienne, j'aimais sa façon de chouiner lorsque je la pénétrais, j'aimais l'histoire que son regard racontait, j'aimais le passé qui brillait dans le tréfonds de ses iris .
je l'aimais tout simplement.
J'avais enfin compris ce que je ne voulais pas comprendre, c'était pourtant si clair, depuis le début j'avais eu cette attirance pour elle mais j'avais toujours pensé que ce n'était que du sexe. Que cela ne se limitait qu'à une attirance sexuelle mais lorsque je l'avais pénétré au lieu d'en être dégouté j'en avais encore et encore voulu, je ne m'en étais jamais lassé. Je la voulais un plus chaque jour, un peu plus près de moi chaque seconde , pas seulement dans mon lit mais aussi dans ma vie.
C'était donc de l'amour, c'était donc ça qui me rendais si protecteur envers elle, c'était donc ça qui me faisait retenir chacune de ses mimiques, qui m'obligeais à toujours chercher à la rendre heureuse.C'était donc ce sentiment étrange qui m'obstruait les poumons , qui fesait battre plus vite mon cœur, qui faisait monter le sang plus vite dans ma tête , qui enserrait mes trippes , qui soulevait cette vague de désir en moi .
Tout était plus clair maintenant !
Je passai une main dans mes cheveux lorsque je sentis une main dans mon dos. Je me retournai ainsi surpris et je tombai sur Maëlys complétement nu.
Mais qu'es ce que......
- qu'es ce que tu fais là Maëlys tu es censée te reposer. Dis je troublé de voir ses tétons ainsi dressés devant moi plus pointus et beaux que jamais.
Cette femme allait décidément avoir ma peau !
- oui mais j'avais envie de te rejoindre sous la douche , un problème ? Me demanda t-elle le regard chargé d'innocence pourtant son bras valide qui caressait mon torse me faisait ressentir le contraire.
- tu dois aller te recoucher tu as fait une chute assez violente alors tu dois te reposer. Dis-je tout en la repoussant doucement.
- l'eau est très froide! Constata-t-elle d'une voix très suave .
L'effet de la morphine sûrement, le médecin lui en avait injecté afin de soustraire la douleur de sa tête et apparemment cette dernière avait un effet ravageur sur elle comme sur 90% de la population.
Elle n'avait même pas conscience de ce qu'elle faisait, la Maëlys lucide n'aurait jamais eu autant d'audace.
- j'avais besoin d'une douche froide pour détendre mes nerfs.
Elle pencha la tête sur le côté.
- oh! Tu es stressé mon amour ! Dit elle tout en prenant mon membre dans sa main .
Ses doigts autour de mon sexe me fit l'effet d'un électrochoc. Elle venait en un geste de réveiller le désir en moi .
- Maëlys non .... Tu ....ne
Elle exerçait des vats et vient lents tout le long de ma verge .
Seigneur !
- laisse moi t'aider à déstresser bébé, tu verras, tu vas adorer.
Elle descendit à genoux et pris sans crier gare mon sexe dans sa bouche .
Thee mou!
Lorsque la chaleur de sa bouche recouvra mon sexe je fus obliger de retenir un grognement dans ma gorge. Elle me suçait le regard farouchement accroché au miens. Elle le faisait si bien , c'était si bon .
Elle la prenait profondément, elle me faisait une pipe digne de ce nom. Elle le faisait si bien que je sentais mon bas ventre se contracter et ma respiration s'affaisser. J'avais l'impression qu'elle aspirait mon âme tellement j'étais pris dans l'engouement.
Dans le feu de l'action je mis ma main dans ses cheveux afin de l'aider, mon bassin bougeait sans même mon avale et plus elle me suçait plus j'allais de plus en plus vite, je levai les yeux au ciel et grogna comme un animal .
Porní!
- Maëlys ! Vas y ...... Vas y bébé .... Prend là..... elle t'appartient.
Je resserrai ma prise dans ses cheveux, je sentais le plaisir monter , la sensation était si délicieuse que les gémissements se mouraient dans ma gorge, je n'avais jamais ressenti une telle explosion de sensation, c'était puissant , si puissant que j'avais l'impression d'être son maître.
La voir ainsi à genoux me donnais l'impression de la dominer complètement, comme si elle se soumettait totalement et se pliait à mes désir. Ainsi active elle satisfaisait le mâle dominant en moi .
Et j'adorais ça !
Des violents spasmes parcouru mon corps tout entier et enfin de ne pas céder mes muscles se raidirent davantage et mes doigts se crispérent dans ses cheveux.
- je viens ..... Maëlys si tu continues comme ça ....je vais ......
Et je n'eus même pas finit ma phrase que ma semence se déversait dans sa bouche.
Elle se releva tout en se léchant les lèvres, elle avait un regard diablement sexy et ses cheveux mouillés la rendait encore plus diabolique.
Je la retournai assez brutalement avant de la pénétrer comme un sauvage en manque de sexe. La tension nerveuse à laquelle mon corps était soumit associé à ce plaisir vorace fesaient de moi un animal sauvage.
J'en avais oublié son poignet blessé et son front bandé. Je la pillonais avec force et les gémissements assourdissant qui sortaient de sa bouche me donnaient d'autant plus la force de continuer .
La joue contre la parois en verre de la douche cette dernière cherchait de quoi s'appuyer mais il n'y avait rien , avec son poignet blessé elle ne pouvait pas se soutenir convenablement car ses jambes flageolaient sous mes coup de reins. La conscience brouillée par se plaisir inéluctable mais qu'en même fonctionnelle, je la retournai afin de la porter et d'entourer ses jambes autour de ma taille afin qu'elle prenne appuis sur mes épaules.
-ahnnnnn! ....oui plus fort bébé...... vas-y. Criait-elle d'une voix aigüe.
Ce n'était rien d'autre que de la baise, aucune douceur, aucune tendresse, juste cette envie pressante et irréppressible d'en finir avec cette boule d'excitation qui tritillait nos entrailles.
Les dens serrées, j'allais et venais en elle toujours plus fort et encore plus vite. Je regrettais d'être aussi violent avec elle mais je n'arrivaient pas à me tenir , tout la rage que j'avais accumulé cette soirée avait besoin d'être évacué.
Ce fut lorsque je jouis pour la deuxième fois de la soirée, que j'arrêtai enfin !
- tu es totalement inconsciente Maëlys. Dis-je tout en la déposa sur ses jambes .
Elle n'arrivais pas à tenir debout.
- c'était génial ... humm... Tu es indéniablement un Dieu du sexe bébé tu m'avais caché toute cette passion. Dit-elle le sourire Béa aux lèvres .
La dose de morphine était bien corsé apparemment, elle ne savait clairement pas ce qu'elle disait.
Je fermai la boîte de secours après avoir changé son pansement et lui avoir appliqué la pommade sur sa blessure.
Elle était vêtue d'un de mes t-shirts ainsi que d'un de mes boxers sous sa demande je tiens à préciser .
Couché dans le lit en boule elle me regardait les yeux luisant.
- tu n'aurais jamais dû me retrouver sous la douche Maëlys . Lui reprochais-je .
Il était bien vrai que j'en avais aussi profité, mais là n'était pas le sujet .
- oui mais tu ne pas repousser non plus , au contraire tu m'as montré que tu étais bel et bien un dieu Grecque.
Quoi!
- je ne sais même pas pourquoi je te parles tu es littéralement droguée on en reparlera de tes bêtises lorsque tu retrouveras tes esprits. Lui dis je tout en lui déposant un baiser sur le front .
- moi j'aimerais me réveiller au paradis. Dit elle comme une enfant avant de s'assoupir contre moi .
Et si.....
Bien-sûr !
- tu te réveilleras dans le pays où les dieux tombent amoureux des petits humaines fragiles moró mou, S'agapó ( je t'aime )!
Bonne lecture mes waliwalous.
Kiss sur vos fronts 😘.